Obédience : NC Site : http://hermetisme.over-blog.com 06/05/2008

Silence,
alchimie & Franc-Maçonnerie
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Cet article, divisé en quatre parties, portera ses fruits après trois lectures attentives (des quatre parties) espacées dans le temps.

 

Dans une époque où les clameurs et le rugissement des moteurs dominent, où se reconnaît en filigrane le rythme hallucinant de la planche à billets, les valeurs du silence relatif restent à redécouvrir, non seulement dans la vie de tous les jours, mais aussi dans notre vie intérieure. Souvenons-nous que depuis les époques les plus reculées, nous sommes porteurs de cette sagesse immémoriale qui réside dans le non-dit et la paix du silence. Si cette paix est anéantie ou profondément blessée, elle entraîne inéluctablement dans sa mort la sagesse. Vue sous cette perspective la folie matérialiste – qui caractérise notre civilisation (si l’on peut appeler civilisation un monstre aveugle qui, à l’instar du dieu Cronos, dévore ses propres enfants) – est un combat entre la face prédatrice lovée dans le bruit et celle silencieuse liée au sublime.  C’est à chaque individu de faire son choix entre « la force forte de toutes forces » d’Hermès Trismégiste, et la gloriole trompeuse et confortable du pouvoir de l’argent et le plus souvent de la vantardise de bas étage trop fréquente dans les sociétés dites initiatiques.

 

Notre intention n’est évidemment pas de brosser un tableau sombre de notre humanité – cela ne servirait à rien –, mais de montrer combien chacun de nous peut accéder, au sein du silence des pensées, à l’indicible, dans une joie permanente et sans failles fondement de toute réelle vie spirituelle et mystique.

Qu’est-ce que le silence ?

Donnons une première définition succincte du silence relatif. C’est essentiellement une notion abstraite qui signifie que l’individu ne dit rien et se maintient durant un certain temps dans le mutisme et l’immobilisme psychique. En fait nous sommes dépendants de deux sortes de silences :

 

Le silence extérieur signifie que l’on se trouve en un lieu où le bruit est réduit à son strict minimum qui est celui de la vie en nous et autour de nous. De ce silence n’émerge aucun bruit perceptible par notre ouie.

 

Le silence intérieur est l’acte de réduire à néants toutes pensées qui traversent notre esprit, essentiellement celles qui consistent par exemple à se demander si l’on a bien fait une chose banale, si l’on a fermé la porte du garage…

 

Le support biologique du silence.

Nous avons parlé de la pollution des cerveaux, car le cerveau ne peut être indéfiniment agressé par le bruit. Il est un fait incontestable, il a besoin de silence comme il a besoin de sommeil, et le sommeil est un retrait vers cet aliment, nécessaire pour lui, qu’est le silence relatif.

Pour bien fonctionner le cerveau doit harmoniser les échanges entre ses principales parties.

« Le cerveau est constitué de trois étages :

 

Le « cerveau reptilien » qui est le plus archaïque ;
Le « cerveau limbique », au dessus du « cerveau reptilien ».
Le « cortex cérébral », ou matière grise qui est sur le « cerveau limbique ».

 

Le cerveau reptilien – Particularise les vertébrés inférieurs comme les reptiles. L’homme possède un « cerveau reptilien ». Il produit des réflexes pour maintenir en vie l’espèce. Ce cerveau est à l’origine de comportements primitifs comme l’agressivité, les relations sexuelles ou le réflexe de protection d’une femme vis-à-vis d’un enfant.

Il enlève par son automatisme de réflexes innés, toute valeur à un acte spirituel.

Le cerveau limbique – Cette masse cérébrale recouvre le « cerveau reptilien ». Toujours présent chez l’homme, il est plus évolué que le « cerveau reptilien ».

Il est le centre physiologique des émotions.

C’est un « filtre » qui sélectionne les informations et les achemine vers le cortex pour stimuler les zones motrices concernées.

Ce cerveau peut, sous le coup d’une émotion, bloquer des messages et donc certaines paroles ou certains gestes, car les réactions émotionnelles se propagent uniquement du centre émotionnel vers la zone de la raison et de l’action.

C’est pourquoi les manifestations à fortes charges émotionnelles se traduisent difficilement. C’est le cas pour le « coup de foudre » amoureux et aussi l’extase mystique.

 

Le cortex cérébral – Ce qui caractérise l’homme est l’importance de son cortex cérébral. C’est une fine couche de cellules grise (d’où le nom de matière grise en parlant de l’intelligence) qui enveloppe le « cerveau limbique ».

Il permet les relations entre les choses. A partir des éléments épars d’un objet il va les associer et déterminer la forme d’un objet.

Ces trois cerveaux superposés fonctionnent en étroite collaboration. Ils combinent leurs activités avec celle de l’encéphale droit et gauche.

Le cerveau droit et le cerveau gauche

L’hémisphère cérébral droit ne fonctionne pas de la même manière que le cerveau gauche.

 

Le cerveau droit gère l’intelligence intuitive. En lui siège le sens de la globalisation et de l’hologrammorphisme (capacité holographique [1] de percevoir la forme du tout, sans analyse rationnelle, à partir d’une de ses parties). Il est donc capable de discerner des ensembles à partir d’éléments épars perçus inconsciemment (perception subliminale). Cet hémisphère gouverne notre appartenance à la nature, et a notre corps, ainsi qu’à l’univers avec lequel il est susceptible de communiquer grâce à ses fonctions dites non verbales : Il est silence


Le cerveau gauche est le siège de la pensée qui analyse, dite « digitale » des intellectuel. Il est le siège de la parole, ou fonctions verbales, et gère notre action sociale et ce que l’on qualifie « d’intelligence ».

 
Les cerveaux reptiliens, limbiques et corticaux associent leurs capacités avec les encéphales droit et gauche pour donner à chaque individu son originalité. » [2]

 
Pour bien fonctionner, notre encéphale « penta unique » doit harmoniser les échanges entre les cinq « cerveaux » qui le constituent. Les recherches scientifiques prouvent depuis plus de vingt ans l’absolue nécessité d’un fonctionnement harmonieux de toutes les parties. L’observation, même grossière, du comportement humain actuel met en évidence d’importants déséquilibres de la quasi-totalité des individus de notre espèce. Si, dans un lointain passé, nos ancêtres cavernicoles utilisèrent leur encéphale gauche, et plus particulièrement leur néocortex, pour survivre face aux prédateurs et aux rigueurs du climat, cette tendance est restée et s’est considérablement amplifiée. Ainsi la vie intuitive, le sens de l’hologrammorphisme et la dimension émotive [3] est refoulée et opprimées. C’est l’aspect rationnel et intellectuel qui est exalté constituant ainsi une hypertrophie de l’ego responsable des guerres fratricides et des destructions de la nature. Il résulte de ce grave déséquilibre de multiples stress, insomnies et « dépression » nerveuses mise en évidence par la consommation galopante de divers tranquillisants et neuroleptiques qui ne font qu’envenimer la déstabilisation en détraquant les systèmes nerveux et hormonaux par leur action sur l’axe hypothalamo-hypophysère. D’où un dérèglement profond de nos sécrétions glandulaires, ce qui provoque de multiples maladies dont le cancer. N’en doutons pas, les incohérences des fonctions cérébrales notamment l’hypertrophie des activités intellectuelles, peuvent perturber considérablement notre comportement et détruire notre corps et même l’espèce humaine.

 

Malheureusement le bruit infernal créé par notre cerveau gauche, dont le bavardage est une expression, non seulement tend à nous détruire mais surtout nous dissimule la symphonie de la sagesse innée qui réside dans le cerveau droit.

« Cela paraît presque trop simple, pourtant… Parlant de ce qui pourrait être une entité humaine idéale, un sage ermite de soixante-dix-huit ans me dit un jour : « C’est si simple qu’on passe à côté. » [4]

Le fait d’inverser la situation, c’est-à-dire de donner une dominance écrasante du cerveau droit fait perdre contact avec la réalité. Cette attitude nous ferait revenir à l’époque troglodyte d’où nous sommes sorties grâce aux aptitudes de notre cerveau gauche, dont l’excès d’utilisation bascula dans le déraisonnable à un tel degré que notre pensée est devenue notre ennemie. L’intellect n’est plus en phase avec notre intuition et la pensée se sépare du corps. Nous avons de regrettables exemples de cette attitude dans les monastères. La raison s’aveugle et devient la proie des systèmes sectaires. Ainsi se cristallise notre ego, à un tel degré qu’il peut nous conduire à notre perte.

 

« Ce déséquilibre entre les parties gauche et droite, ce conflit disproportionné entre les messages du silence naturel et ceux, surimposés, de la parole sociale sont les racines de la maladie mentale et, aussi, de toute faiblesse psychosomatique. C’est un problème de communication, à l’intérieur comme à l’extérieur de soi. » [5]

 

Tout l’art de bien penser consiste à utiliser harmonieusement nos deux encéphales droit et gauche. Les spécialistes des neurosciences appellent cela la logique cruciforme. En d’autres termes, si nous avons deux encéphales cérébraux c’est pour nous en servir d’une manière équilibrée, et non pour solliciter l’un et laisser en sommeil l’autre. L’abrutissement par le manque de pensée logique ou l’abrutissement par l’excès de spéculations intellectuelle sont tout deux déséquilibrants et ne sauraient amener l’homme à l’entité humaine qu’il est réellement.

 

Mais actuellement l’humanité vit dans un état insensé tellement accentué qu’il devient nécessaire de rééduquer la moitié du cerveau. Notre encéphale droit ne nous sert pratiquement à rien. Il faut donc réapprendre à s’en servir. Pour montrer l’importance de ce rééquilibrage, rappelons que notre encéphale gauche intellectuel et rationnel ne représente que dix pour cent de nos capacités intellectuelles. Les quatre-vingt dix pour cent restant résident dans notre encéphale droit ! Nous croyons qu’il est inutile d’insister sur la nécessiter de tenter une reconquête de nos continents perdus. Il est certain que sur le plan de la pensée il nous reste l’Amérique et l’Inde à découvrir ou à redécouvrit !

 

Ce vide qui est en nous, cette amputation d’une partie importante de nous-même est à l’origine de la progression des drogues douces dans lesquelles il faut ranger l’alcool les tranquillisants et les antidépresseurs. Ces substances donnent accès à un ailleurs de l’être d’une manière artificielle. Quant aux drogues dures, elles suivent la même progression. Toutes ces substances nocives permettent un recentrage de l’être, « un arrêt dans le carnaval mental » pour reprendre une expression de Marc de Smedt. Elles amorcent un silence dans notre bavardage « intello » – devenu aliéné – véritable spécialiste de la non-communication entre le rêve et la réalité. Notre logique est momentanément détruite, elle part en morceaux, s’éclate en miettes délirantes et le discours sans fondement devient inutile se rapproche du silence en tournant autour d’idées fixes…

Ces drogues calment le désordre mental créé par l’hypertrophie du cerveau gauche. Elles entravent le cheval fou, mais ne guérissent pas. Elles sont des expériences difficiles à supporter pour notre système nerveux – et donc à proscrire – mais ne constituent pas des remèdes.

 

Approchons un peu plus concrètement le rôle du silence dans la vie de tous les jours en l’illustrant par un exemple qui peut être extrapolé à plusieurs situations. Supposons un couple (ou deux frères) qui se dispute souvent et pourtant s’aiment. L’un accuse l’autre de ceci ou de cela et l’autre se défend en répondant que ceci et cela est faux mais que l’autre est « parano », « mégalo », « schizo » etc. Vous l’avez compris les noms d’oiseaux ont remplacés ceux de la bonté de la bienveillance ou de la tendresse. Ainsi chacun se renvoie la balle et sombre dans un délire d’interprétation des intentions de l’autre, et les échanges aussi négatifs les uns que les autres se poursuivent à n’en plus finir empoisonnant l’atmosphère relationnelle jusqu’à l’étouffement sous le venin des regards vindicatifs et haineux qui se croisent. Apparemment, face à cette situation, ne se présentent que deux solutions : la séparation ou le divorce. Ors, ces deux décisions sont des fuites que la majorité des frères (qui se disent fâchés) ou des couples choisissent. De plus c’est une solution de facilité. Vouloir se réaliser ne passe par aucun de ces chemins. Il ne passe pas non plus par une vie indépendante sous le même toit. Vous pourriez vous demander où je veux en venir, et quel rapport entre cette histoire et le silence !

Et bien, le silence peut faire revenir ces frères ou ce couple à son amour initial. Non, je ne vais pas parler de faire des concessions ou de savoir être tolérant et bienveillant. Ce sont des mots qui disparaissent vite de notre mémoire s’ils ne deviennent des leitmotive.

Quant à l’apostrophe désagréable de l’un des conjoints dès le saut du lit (le cerveau gauche ne dors jamais et « pompe » l’énergie vitale quand il s’agit d’assurer sa suprématie) l’autre fait le silence des pensées et va prendre son petit-déjeuné comme si de rien n’était dit et parle aimablement à l’autre, il aura fait un saut considérable en avant dans sa propre réalisation et vers l’éveil. Dans ces cas répondre à la parole ou à l’écrit par le silence est la plus belle des choses qui puissent arriver. Le jour où vous chantonnerez avec le sourire sous le regard furieux et réprobateur de l’autre vous aurez gagné la bataille.

Quelle bataille aurez-vous gagnée ? Un véritable petit Austerlitz ! Vous ne vous en doutez peut-être pas, mais vous aurez commencé à dompter votre cerveau gauche et donc vous rééquilibrerez votre dimension psychologique. De plus vous aurez donné une belle leçon à votre ego. Le bénéfice est totalement pour vous, même si l’autre fanfaronne sur sa propre victoire. Laissez-le se bercer d’illusions. Cela est normal puisque son cerveau gauche n’admet pas de défaite et devient misérable dans ses combats donquichottesques d’arrière-garde. Vous progresserez d’autant plus si vous devenez capable de ne plus réagir face à de gros reproches qui ne manqueront pas de vous être faits, ce qui est normal puisque celui où celle qui vous fait des reproches cherche consciemment ou non à vous faire « craquer ».

D’autre part le frère ou l’épouse peuvent être conseillé par un individu « libérée » (quand on s’appelle de la sorte, cela signifie, directement ou indirectement, que l’on est prisonnier ou prisonnière du sexe, de l’argent, de la solitude ou de toute autres choses). Cet être « libéré » dira évidemment qu’il/elle est soumis/e ! Voilà comment les amis mettent de l’huile sur le feu ! Il faut donc apprendre à être sourd à de pareils arguments en se retirant (et non en se réfugiant) dans le silence régénérateur et puissant.

La suite c’est une prise de conscience subite de sa propre bêtise et vous finirez par comprendre que très réellement la bêtise est la chose au monde la mieux partagée. En faisant silence vous sortez de la sottise distillée par le raisonnement logique et revendicateur de votre encéphale gauche qui veut toujours avoir raison. C’est normal puisque depuis votre naissance il règne en maître sur votre vie. N’en doutez pas une seconde : vous en êtes le pantin ! C’est lui qui tire les ficelles en vous faisant croire que… vous êtes libre ! Oui, vu sous cet angle la vie de la plupart des hommes et des femmes est une pantalonnade ! Voici une citation qu’il serait instructif de lire attentivement :

 

« Réfléchissons un peu sur les principes de l’agressivité commune, banale, celle qu’on rencontre sans cesse. A la base s’y trouve toujours une histoire d’ego.

Qui se heurte ? Pourquoi se heurter ? C’est parfois nécessaire. Mais rarement.

Pourquoi ces « clash » entre les êtres ? Et plus on est proche, plus le choc est fort. Violent. Stupide en fait.

Tu me vois tel que tu veux me voir.

Je te vois tel que je te représente.

C’est valable pour tous et pour toutes…

Reproches. Faciles les reproches. D’abord quand ils vous arrivent on ne se sent pas concerné, c’est une image de nous insupportable qui nous est jetée à la figure : c’est la vision de l’autre. Au fond de soi, on sait très bien que « je » est autre chose : on se voit toujours mieux, plus beau, plus fin, plus intelligent, plus sage… Nous, on sait.

Que savent les autres ?

On oublie que si notre propre cheminement intérieur est connu de nous seuls, par contre notre représentation quotidienne, notre théâtre de chaque jour, de chaque geste, de chaque parole, notre moi extérieur qui se donne l’air de singer son idéal, ce moi-là est plus souvent apparent aux autres qu’à nous-même. Si l’autre prend le temps, donc le silence, de me regarder, il me lit à livre ouvert. Et vice versa. On peut voir nos grandeurs et faiblesses. Toutes les mesquineries et vérités du personnage.

La vraie personnalité se dégage à ce moment-là (quel qu’il soit) et, l’image que l’on veut donner de soi. Jeu incessant qui sert à se rassurer, grandir et exister à d’autres yeux, prouver sa pénétration, sa force, ses capacités d’expression, son expérience, souvent inexistante. Ou réduite à si peu de chose par rapport à l’idéal qu’on s’en fait. Nous sommes tous des colosses aux pieds d’argile.

Scènes, disputes, colères ; il s’agit toujours d’écraser l’autre [6].

Peut-être que cet autre a tort ou raison. Peut-être n’a-t-il ni tort ni raison. Il est dans son personnage, tu es dans le tien. Une bulle en côtoie une autre. Un univers particulier coexiste avec d’autres univers tout aussi particuliers, tout aussi étranges, tout aussi tristes et joyeux. Chacun projette ses tentacules vibratoires sur le monde, chacun se projette sur ce qui l’entoure, chacun pense, sent, vit d’une certaine façon…

Solitaire et très vaguement solidaire.

Il n’y a pas une empreinte digitale pareille au monde, et on voudrait que les êtres se ressemblent. Pourtant, la formule chimique de la peau est la même, pourtant, pourtant, les mêmes éléments nous constituent… Pourtant cela paraît si simple à atteindre, l’harmonie…

Bien des choses nous séparent, bien d’autres choses nous réunissent… Faut simplement faire avec.
Et si l’on n’a pas le courage de le faire, on tombe dans la violence quotidienne.
Un pas en arrière, un instant de silence, un regard permettent souvent d’éviter le déroulement de la violence. » [7]

par Hermophyle publié dans : hermetisme

[1] L’hologramme est une photographie sur plaque de verre prise avec un éclairage laser (lumière cohérente). Quand on éclaire cette lame transparente avec un rayon laser, elle manifeste une image en relief. Si on brise l’hologramme, chacun des morceaux éclairés au laser restitue la même photo en relief. Cette particularité est due au fait qu’en chacune des parties de l’hologramme est enregistré le tout. Telle est la

profonde différence entre l’hologramme et une photographie prise avec un éclairage naturel (lumière incohérente). Il est un truisme de dire qu’une photographie déchirée est définitivement détruite, ses morceaux ne peuvent reproduire la totalité de l’image.

[2] Léon Gineste, Holoscopie de la spiritualité occidentale p. 185 – 186. Éditions Memor, Bruxelles 1997.

[3] Actuellement nos affairistes financiers ou autres considèrent que le quotient intellectuel (QI) doit être accompagné d’un bon QE ou quotient émotionnel d’autant meilleurs que les émotions sont bridées !

[4] Marc de Smedt Éloge du silence p 63. Éditions Albin Michel. Collection « Espaces libres ». Paris 1989.

[5] Marc de Smedt. Op cité p. 64.

[6] Cette charmante particularité est exaltée par les politiques affairistes de notre société… « Assassiner » l’autre fait partie du catéchisme de la majorité des hommes d’affaire. En sortant du bureau, comment voulez vous changer votre costume de criminel avec une aube blanche de pureté ? (Note ors citation)

[7] Marc de Smedt. Op. cité, p 183 à 185.


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