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V.I.T.R.I.O.L. Visita Interiora Terrae Rectificandoque
Invenies Occultum Lapidem Cette inscription latine, traduite en
maçonnerie par "Visite
l'intérieur de la terre et en rectifiant tu trouveras la
pierre cachée" se
trouve dans le cabinet de réflexion. Néanmoins, cette traduction ne me
satisfait pas complètement. Je lui préfère
à ce jour celle-ci : "Visite l'Intérieur de la
Terre
et en Rectifiant tu Illumineras l'Occulte Légiste". Ce que j'exprime en fait ici, explique que
cette recherche de la vérité,
doit s'employer par tout stratagème, à
éclairer sa vie occulte à l'aide de la
seule lumière de sa conscience. Notamment par la recherche de la connaissance
et l'étude des lois de
l'homme qui sont de sa vraie nature. Pour me permettre de vous rapporter ce qui
m'incite à vous dire cela, la
présentation qui va suivre abordera quelques
détails d'une théorie ; la théorie
de l'ADN fantôme. Je fermerai cette planche sur les conclusions
et extrapolations que
j'estime légitimes à la vue de ce que nous
apporte cette théorie. LA THEORIE Une fois plongé dans
l'obscurité du cabinet de réflexion, je
découvre
devoir avancer au milieu de la nuit, dans l'ignorance de ce qui
m'attend. Seule la faible lueur d'une bougie souligne le
contour des choses en
présence. Il est reconnu de façon gnostique,
spirituelle, chamanique... qu'il
existe une substance rayonnante nommée aura, pouvant dans ce
cas éclairer
symboliquement mon chemin. J'ai donc choisi le mot VITRIOL, dans la mesure
où il participe à me
faire connaître de moi-même. Dans la mesure où l'introspection
que ce mot suggère doit nous permettre
de connaître ce qui fait ce que nous sommes, simplement et
objectivement tels
que nous sommes. Tout ceci dans le but de vous faire comprendre
comment cette aura
s'emploie réellement à illuminer mon
être, et à éclairer le chemin. D'une part, le terme aura désigne un
contour coloré, comme un "halo
de lumière" qui rayonnerait autour du corps ou de la
tête d'un être vivant
et qui serait la manifestation d'un champ d'énergie ou d'une
force vitale,
unissant notre corps à cette terre... D'autre part, cette aura serait visible...
presque visible, présente,
systématique et connue de certains de manière
mystique... elle serait presque
imperceptible... Tout un programme. En 1950, sous la présidence Russe de
Staline, les Dr. Poponin et
Garjajev ont mené une expérience scientifique
insolite en mesurant les
vibrations émises par des échantillons d'ADN. Ils ont irradié un
échantillon d'ADN avec la lumière d'un laser, et
ont
obtenu, sur un écran, un modèle typique d'ondes. Ces ondes de photons n'étaient pas
disposées au hasard comme d’habitude,
mais sous la forme d'un modèle ordonné et
géométrique. Pour vous donner un exemple, on pourrait
imaginer voir de tels photons
polarisés être alignés en suivant les
courbes d'une fonction géométrique sur un
oscilloscope. S'ils enlevaient l'échantillon
d'ADN, ces ondes ne disparaissaient pas,
comme on pouvait s'y attendre, mais persistaient sous forme de
structure
régulière, comme s'il y avait persistance de
l'échantillon matériel. Ces expériences
établissent par ailleurs que la seule présence de
l'ADN
polarise, on pourrait dire magnétise les photons. Cette polarisation est intrinsèque,
corrélative de la présence en un
même espace d'une source d'ADN et d'une source de
lumière. On appelle cette théorie, la
théorie de l'ADN fantôme. Ainsi la science montre que nous sommes
effectivement entourés et
pénétrés, tous et toutes, sans
distinction, d'une onde de photons, traduisant
nos vibrations personnelles, inscrites dans le code
génétique. L'aura serait selon moi assimilable en tant que
halo lumineux, à cette
seconde peau de grains de lumière, polarisés et
orientés par notre ADN. PREMIERE CONCLUSION Voila donc un ADN, codé dans un
langage chimique, mettant en vibration
des grains de lumière, et qui illumine
l'impétrant de l'intérieur de ses
ténèbres. Cette onde de photons est capable de rayonner
en nous et autour de nous,
sur une fréquence caractéristique. On pourrait parler d'une signature de
lumière qui soit autobiographique,
et en tout cas singulière de l'espèce et de son
aura. Autrement dit, nous sommes
"éclairés" de l'intérieur. On
pourrait paraphraser le philosophe Thomas Hobbes, en disant que l'homme
est un
"phare" pour l’homme. DEUXIEME CONCLUSION Nous sommes pour le cas illuminés,
et porteurs de lumière. L'archange de
la bible qui porte La lumière est appelé Lucifer. Lucifer est un nom propre qui signifie "Porteur
de lumière"
selon l’étymologie latine : Lux -
"lumière" et Fero -
"porter". Cette notion désignait chez les latins la
première étoile
qui se lève le matin. Baptisée Hesperus (étoile
du matin) ou encore Phosphorus (étoile du
soir), il s'agit en réalité de la
planète Vénus. Le nom de Vénus fut
transposé à tort dans le récit
biblique par le nom
de Lucifer. Lucifer fut par la suite associé à un
démon, car il tenta de
s'élever par la connaissance au-dessus de sa condition et de
dépasser Dieu. Le parallèle rapide que je vous
suggère est de vous laisser imaginer
devant qui marche Vénus dans le système solaire,
ce qui se manifeste lors de
concerts dirigés par de grands chefs d'orchestre, et, pour
nous, devant qui le
Maître de cérémonie déambule
lors de l'entrée du temple, chandelier à la main. TROISIEME CONCLUSION Certains scientifiques voient dans l'ADN, ce
que nous sommes capables de
voir du monde. Nous essayons de découvrir, de voir ce qui
éclaire le monde. Mais pour y parvenir, nous sommes tout de
même tributaires de ce que
l'œil humain peut voir. Nous serions tributaires du paradigme
énoncé comme :
"ce que l'oeil voit en regardant l'oeil". Pour nous, frères et soeurs de
lumière si vous me l'accordez, se met
alors en place le scénario de l'observateur
observé. Nous sommes à la fois
objet et sujet de nos études, confondant sans limite ce que
nous cherchons avec
ce que l'on est. Le VITRIOL nous aide à faire la part
des choses, en séparant le
contingent de l'accessoire pour que s'épanouisse le seul
essentiel. On pourrait dire alors que tout est
lumière et vibration. Tout est
lumière, présente dans des états
variables et divers de densité, d'harmonie et
de géométrie, et qui caractérise ce
que sont les choses. PETITE PARENTHESE Si l'on peut voir sur Internet que la lecture
des couleurs de l'aura
expliquerait nos états de santé physique et
mentale, ainsi que nos émotions et
notre évolution spirituelle. Cette couleur, si comme je le pense pouvait
être attribuée aux photons,
tiendrait sa valeur chromatique en particulier, de trois
caractéristiques
extraites des lois générales de la Physique de la
lumière : •
la caractéristique de la
"dispersion" qui veut que la lumière blanche soit
réfractée et
décomposée lorsqu'elle passe à travers
un prisme optique. Cela veut dire que la
chose perçue absorbe une partie des fréquences de
la lumière blanche des
photons. La couleur qui est caractéristique de la chose vue,
est établie comme
une différence chromatique entre : la couleur blanche et
naturelle des photons,
moins celles qui sont absorbées par la chose
perçue. •
la caractéristique de
"non indépendance" qui dit que lorsque des photons sont
polarisés,
ils échangent et partagent entre eux leurs
propriétés. Cela veut dire que
chaque objet est perçu comme faisant partie d’un
continuum. Les photons sont le
"ciment" qui délimitent et nous permettent de
désigner les objets
dans le champ visuel. •
la caractéristique de
"non localité" qui exprime que la polarisation qui a
été réalisée ne
peut pas être influencée par de nouvelles
conditions locales, passées ou
futures. Cela veut dire que la chose perçue reste ce
qu’elle est. Que cette
chose soit dans notre champ visuel, dans celui d’autrui ou
dans notre souvenir. Ainsi l’aura se constituerait de
manière autonome en fonction des
évènements
rencontrés, et persisterait chez tout un chacun, de
manière durable et
singulière. Ces trois caractéristiques issues de
la théorie de la lumière, ne sont
pas exhaustives, mais permette d'imaginer ce que l’on nomme
aura, comment elle
se forme, se développe ou se caractérise. Par ailleurs la lecture de la couleur d'une aura, pour ceux qui sont capables de la "voir", ne peut pas mentir, étant donné qu'elle échappe à tout acte volontaire de contre façon.
EXTRAPOLATIONS L'on ne peut
connaître que, ce que l'on peut nommer. Ainsi vous ne pourrez voir quelque
chose se trouvant devant vous, si vous affirmer l'avoir perdu : puisque vous
dites cet objet perdu ! De même, vous
seriez face à quelque chose que vous n'auriez jamais vu, que vous ne pourriez
pas désigner, cette chose n'existerait pas en soi : puisqu'elle n'aurait pas de
nom. Le pouvoir de
nommer, d'invoquer sont de puissants alliés pour les hommes de toutes les
civilisations, et de toutes les cultures. L'exemplarité de la
prière, de la psychanalyse, de l'éducation n’est plus à démontrer pour exprimer
la transcendance de la parole sur nos affects, et vice versa. La parole a pour
fonction, pour objectif véritable de mettre en œuvre chez nous, de faire naître
certaines vibrations positives, thérapeutiques, ou sociales capables de changer
notre vie. Aussi, je considère
à son tour la parole comme un révélateur de la nature humaine, au même titre
que le faire est celui de l'être, et qui sait, l'aura celui de l'âme. Je considère que la
parole serait à son tour capable de polariser ce qui est épars, et de réaliser
ce que fait l'ADN pour le photon, et traduire en cela et très respectueusement
ce que l'on est par ce que l'on nomme. Cette traduction se
ferait pour le cas sur une autre gamme de fréquence, sur une gamme de
vibrations d'ondes acoustiques. On pourrait alors
très bien imaginé qu'il existe un alter ego sonore à l'aura. Cette déclinaison
serait une enveloppe acoustique, un halo musical identique au mode de
fonctionnement de l'aura, et que l'on pourrait nommer "auris" par
exemple, en référence à son étymologie latine qui signifie "oreille". A présent, en ayant
défini une aura pour la lumière et une pour le son, pourquoi ne serions nous
pas tentés de continuer ainsi, et d'extrapoler ces notions aux autres sens
comme le goût, le toucher ou bien encore l'odorat... Nous aurions alors
la possibilité de connaître ce que nous sommes, en L’image de soi est
fondamentale pour tout être humain. Ce que suggère
cette introspection c’est de pouvoir mieux se connaître, en imaginant que notre
réalité matérielle et spirituelle se clonerait d’un double "parfait"
de ce que nous sommes. Ainsi ce double
omniprésent et authentique serait la somme de nos expériences, la somme de ce
que nous sommes, au delà de toute censure, de tout interdit et de toute
inhibition. Pour conclure, la
volonté et le libre arbitre, tout comme la persévérance, le VITRIOL ou
l'initiation maçonnique, permettent de déclencher de telles transformations,
qui contribuent à modifier notre façon de voir le monde, de l'éclairer et de le
changer. Une question me
vient à l'esprit avant de refermer cette planche... Si la sagesse est
de chercher à rétablir l'ordre dans le chaos, d'y voir clair dans la nuit, et
de trouver son chemin lorsque tout est obscur, en se guidant soi-même vers une
lumière réconfortante aperçue dans le lointain; Une fois établies
les choses pour les voir simplement telles qu'elles sont, je m'interroge du
désir qu'éprouve cette lumière, de s'attacher ainsi à ma conscience et à mon
corps, de me faire découvrir de tels infinis, et, un jour, de devoir en être
quitte ? J'ai dit A\ Z\ |
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