Symbolique
Maçonnique &
Serge
Papy Le Guyader nous donne maintenant une analyse érudite
sur la mystique des
Nombres. Un beau sujet sur lequel il est manifestement à
l'aise. Je regrette
pourtant, et je le lui ai dit, les remarques du style impossible
d'aller
plus loin ... sous peine de dévoiler quelques secrets
réservés aux initiés.
Je pense pour ma part qu'il n'y a pas de secrets
réservés à une élite,
fusse-t-elle ésotérique, mais que tout chercheur
doit faire preuve de pédagogie
et d'humilité pour amener ses frères sur le
chemin qu'il a découvert. Bon,
c'est dit !
La
symbolique des nombres existe depuis qu'existe l'écriture
et, il n'est pas une
civilisation humaine qui ne la connaisse. Elle transparaît
directement dans les
rituels magiques les plus anciens, dans les repères
astronomiques ou encore
dans ceux qui rythment la vie quotidienne des hommes. Or cette
symbolique
connue de la plus haute antiquité, participe
fondamentalement de la vie et des
principes maçonniques. C'est pourquoi il est
intéressant en cette époque, si
avide de chiffres, de nombres et de quantités, d'explorer
les relations
qualitatives, même superficielles qui peuvent exister entre
la symbolique maçonnique
et celle des nombres.
- Remarquons au
passage que selon le niveau auquel on se place, l'approche des
relations entre la symbolique des nombres et la symbolique
maçonnique différera quelque peu. Aussi, au
risque d'être assez réducteur, je me conterai ici
d'effleurer un sujet qui reste encore, il faut l'avouer, l'apanage de
spécialistes et d'exégètes en
général fort érudits. Que ceux-ci
veuillent donc bien me pardonner les banalités et les
approximations que je serai amené à
énoncer dans ce qui suit. Heureusement, il reste assez de
points à aborder en surface pour donner matière
à discussion et éclairer utilement les lecteurs
sur quelques uns des mystères et secrets de la symbolique.
- Les nombres sont
partout en maçonnerie, à commencer par le symbole
ternaire, (triangle ou pyramide) image symbolique par excellence de
tout ce qui est maçon. Aussi ne surprendrai-je personne en
affirmant que si la mystique touche aux harmonies du COEUR, la
maçonnerie et son symbolisme touche aux harmonies de la
STRUCTURE du monde, donc à la mesure de l'univers
à la fois dans ses formes (géométrie)
et dans les rapports mathématiques qu'entretiennent entre
elles ses composantes (arithmétique divine). C'est ainsi que
le Temple de Salomon est censé refléter cet
univers et qu'en cherchant la Lumière, tout maçon
est en mesure de percer les secrets des lois universelles qui
régissent ce Temple, dont j'ai rappelé dans un
texte sur le Labyrinthe (cf Murmures d'Irem n°2/septembre 95,
p.70) à quel point le corps de l'homme en était
à la fois l'image secrète et le sanctuaire. C'est
bien pourquoi l'initiation et les enseignements de la
maçonnerie sont si intimement liés à
la sagesse des philosophes grecs tels que Platon et Pythagore.
Signalons à ce sujet l'existence d'un ouvrage pour le moins
remarquable et rare, bien que moderne, publié en 1950 par
Guy Trédaniel (Editions de la Maisnie, 76, rue Claude
Bernard 75005 Paris) et réédité aux
éditions Véga en 1988 intitulé "
L'Architecture Naturelle ". Oeuvre prestigieuse s'il en est, bien que
de peu d'intérêt bibliophilique, solidement
étayé sur des fondements
géométriques irréfutables et sur les
données les plus précises de la
métaphysique et des philosophies anciennes, ce livre est
à la fois un grand livre de science mystique et d'art
symbolique. Cet ouvrage de 7,5 kg, volume in-folio grand
jésus (38,5 cm X 56,5 cm, presque le format A2), de 476
pages, présenté en feuillets
détachés est illustré de 76 dessins
géométriques, de 22 planches architecturales et
de 113 gravures dus au talent du Maître Marcel Nicaud.
Présenté comme le " Rapport d'un Maître
d'Oeuvre " sur les secret d'une doctrine compagnonique, L'Architecture
Naturelle, est en fait une somme d'hermétisme, de
numérologie transcendante, d'alchimie spirituelle et de
cabale, offrant au cherchant un formidable outil de synthèse
sur l'architecture humaine reliée au divin par la stricte
observation des lois cosmiques dont elle dérive. Avec cet
ouvrage nous sommes en plein dans le sujet qui nous
intéresse, mais il est impossible ici d'aller plus loin dans
sa présentation sous peine de dévoiler quelques
secrets réservés aux initiés.
- Dés le
départ, le nombre est présent dans les loges :
pour commencer, la forme même de celles-ci (je pense surtout
ici aux loges bleues, ie loges des trois premiers grades
maçonniques). Carré long, dont les justes
dimensions (à condition de les respecter !) permettent le
calcul du nombre d'or (ou rapport de la Section Dorée) soit
" un plus racine de 5 le tout sur 2 " : (1+V5)/2 = 1,618... = rapport
des côtés du rectangle, qui représente
la divine proportion des choses, car elle permet d'en
déduire toutes les figures planes ou spatiales du pentagone
au dodécaèdre en passant par les cinq corps
platoniciens. Le nombre d'Or est utilisé par certains grands
peintres comme Poussin son ta tableau " Les bergers d'Arcadie ".
D'aucuns ont vu dans ce tableau une solution au mystère de
la célèbre affaire de
Rennes-le-Château. Peut-être ont-ils raison, mais
ce n'est guère le sujet ici. On relie ainsi le microcosme au
macrocosme par la théorie des correspondances harmoniques,
de l'architecture, de l'esthétique, de la musique, de la
mécanique céleste (ou musique des
sphères), et bien d'autres choses encore. C'est le moment de
rappeler cette enluminure célèbre,
emblème de certaines loges de la maçonnerie
régulière, montrant le Grand Architecte de
l'univers (est-ce le Christ ?) mesurant le monde à l'aide
d'un compas. Ne voila-t-il pas une splendide image ? Ne voila-t-il pas
une nouvelle preuve que les vrais compagnons et authentiques
maçons francs et acceptés sont bien des enfants
de Dieu, nés dans l'Eglise pour la servir, et non pour la
combattre ? La servir oui, mais, ajouterons certains,
jusqu'à s'opposer à elle, lorsque mal
inspirée, elle se fourvoie dans les méandres de
la politique et du temporel. Ne voila-t-il pas un signe qui resurgit en
cette fin du second millénaire après JC pour nous
montrer la Voie Juste ? Les Constitutions du Pasteur Anderson textes
fondateurs des doctrines maçonniques précisent
d'ailleurs clairement cette Juste Voie. Que ceux qui
éprouvent encore des doutes n'hésitent pas
à les consulter.
- Les
éléments de la science maçonnique (Art
Royal) se retrouvent non seulement dans les outils (maillet, niveau,
règle, équerre etc...), les mots de passe, les
signes, comme l'apprenti le découvre lors de son
instruction, mais encore et surtout dans les symboles, chiffres,
nombres et figures géométriques qui ornent ou
décorent la loge. Je viens de citer la forme de la loge. Ce
n'est qu'un début. Le nombre 2 est
représenté par le pavé
mosaïque où alternent le noir et le blanc (ombre et
lumière, dualité fondamentale), par le soleil et
la lune, par les deux colonnes B et J ou encore par le 1er et le second
surveillant. Quant au nombre 3, le plus utilisé de tous les
nombres maçonniques, il est représenté
par une multitude de symboles : les trois grandes lumières
(Volume de la loi sacrée, équerre, compas), par
le triangle divin qui représente à la fois les
trois mondes (matière, esprit, âme) et leur
unité, mais aussi les trois dimensions de l'espace. A cela
on peut ajouter que les trois grades de la maçonnerie bleue
que sont les grades d'apprenti, de compagnon et de maître
s'établissent par le dévoilement progressif de la
quadrature hermétique du cercle universel. En effet, au
grade d'apprenti, se dévoile le 1er quart du cercle; celui
de compagnon dévoile le second quart (donnant ainsi
accès à la moitié du tout), enfin au
grade maître sont dévoilés les deux
quarts restants et le centre (d'où le terme " en chambre du
milieu "). Le cercle est alors bouclé. On comprendra ici une
des raisons pour lesquelles le dernier Passé
Maître devient couvreur de la loge.
- Mais les rapports
entre la symbolique des nombres et celle des loges ne
s'arrêtent pas là. Un exemple peut être
donné par la citation suivante : " chacun sait que toute
droite perpendiculaire à une autre, forme avec celle-ci un
angle de 90° (ou angle droit) dont le symbole
mathématique, un T renversé (ou tau grec
majuscule) sert justement à indiquer
l'orthogonalité; or cet angle droit est aussi le signe de
l'équerre qui n'est autre que la représentation
imparfaite du triangle rectangle dont on sait depuis Pythagore que le
3è côté (l'hypoténuse) se
calcule comme la racine de la somme des carrés des 2 autres;
Cette formule connue de tous les collégiens du monde
s'applique notamment au calcul des diagonales d'un carré ou
d'un rectangle mais aussi à celles d'un cube. Qui dit Cube,
dit Compagnon, et qui dit diagonale, dit aussi ligne ou espace
intermédiaire, c'est-à-dire celle ou celui qui
permet de passer d'un point à un autre, d'une situation
à une autre, enfin d'un état à un
autre : c'est la ligne ou la passerelle qui relie les choses entre
elles. Comme on le devine aisément, cette
hypoténuse cache une richesse symbolique certaine et
constitue à n'en pas douter, l'un des passages
privilégiés de la Perpendiculaire au Niveau. "
Notons qu'on peut encore retrouver le nombre d'or à partir
de la pierre cubique. Comme on le voit le symbolisme des nombres et des
figures est en rapport à la fois statique et dynamique avec
le symbolisme maçonnique. Selon que l'on regarde les
symboles dans leur signification apparente ou dans leur sens
caché (donc plus complexe, sinon ce sens serait
évident) on se trouve dans une logique de situation ou une
logique de mouvement. Mais toute situation ne cache-t-elle pas
justement un mouvement ?
- Autre exemple tout
à fait saisissant : celui de l'utilisation des nombres 5 et
7 comme symboles maçonniques. Sans dévoiler ici
les arcanes et secrets des second et troisième grades, il
est intéressant de constater que la maçonnerie
rejoint souvent les révélations mystiques. Mais
quel maçon sérieux pourrait en douter ? En effet,
au 12è siècle Sainte Hildegarde de Bigen,
à la suite de " révélations divines "
sur l'origine des maladies et leurs traitements, fait une
synthèse entre la santé et la
spiritualité, dans une vision éblouissante et
totale de l'être humain : corps, esprit et âme, et
donne des indications très précises sur la
structure de l'homme. On obtient alors une représentation
symbolique de la constitution universelle de l'homme par la figure de "
l'homme carré "; dénomination quelque peu
impropre d'ailleurs, car il vaudrait mieux dire " l'homme en croix ".
Cette représentation est la suivante : le corps d'un homme
en croix (comme le Christ en croix), les jambes parallèles,
est décomposé en 9 carrés
égaux, 5 placés verticalement, des pieds
à la tête, et quatre (2X2) à droite et
à gauche de la poitrine. Or, tout maçon
(même au premier d°) connaît la figure de
MANPOWER, l'homme de Léonard de Vinci, que l'on trouve
déjà dans la symbolique romane des 11è
et 12 siècles. Cette représentation
diffère de celle de Sainte Hildegarde en ce qu'elle montre
un corps humain les jambes écartées; on obtient
ainsi une étoile à 5 branches, inscrite dans un
cercle, ou si l'on veut, un pentagone qui n'est autre que la figure "
enveloppée " de la grande mystique du 12è. Le
cercle et son centre, ajoutés aux 5 branches
(tête, 2 bras, 2 jambes) de l'étoile, donnent
alors le nombre 7, si important au troisième grade.
- Par cette symbolique
numérique on en revient donc encore, et toujours
à l'HOMME, archétype universel, à
l'image de Dieu, microcosme dont les proportions corporelles
représentent celles de l'univers. D'abord univers physique
et matériel : celui qui tombe sous les 5 sens et dont le
cerveau est l'instrument de coordination; ensuite univers
éthérique ou psychique: celui qui fait appel aux
symboles ésotériques et magiques; enfin univers
de l'âme ou spirituel : celui qui fait appel à la
révélation mystique et à la
transcendance. C'est toute cette symbolique que l'on retrouve dans les
ouvrages du célèbre égyptologue
ésotérique R.A. Schwaller De Lubicz (pour ceux
que cela intéresse voici un petit livre résumant
toute son oeuvre sur cette question : " le Temple dans l'homme ", chez
Dervy-Livres, collection architecture et symboles sacrés-
Paris 1982). On retrouve ici l'analyse de la structure de l'homme
à travers l'architecture des édifices religieux
de l'ancienne Egypte, rappelant sans nul doute
l'exégèse du Temple de Salomon, et les plans
architecturaux de nos cathédrales. On peut donc affirmer une
nouvelle fois, comme l'ont fait depuis longtemps de nombreux
exégètes, qu'il existe une "
géométrie profane " et une "
géométrie sacrée "; cette
dernière nous vient de la géométrie
ésotérique pythagoricienne et nous a
été transmise par les compagnons et les
bâtisseurs. On la retrouve certes dans l'architecture mais
aussi dans les rites et les rituels maçonniques et magiques.
Il est intéressant à ce sujet de citer
l'Ordonnance latine du chapitre de la cathédrale d'York en
Angleterre (1352) , prescrivant " que les anciennes coutumes en usage
parmi les artisans du bâtiment doivent continuer à
être respectées " et que la maçonnerie
est l'art dérivé de la
géométrie, et que c'est le plus noble des arts
(voir à ce sujet le " Regius M.S. " ou poème
maçonnique du British Museum, qui date du XIVè
siècle. Ceci nous amène tout naturellement
à nous poser quelques questions sur les origines exactes des
symboles qu'utilisent les maçons. Sans entrer dans le
détail, ce qui serait hors du sujet qui nous
intéresse, disons que les différents symboles
maçonniques ont en fait des sources diverses. Il y a les
symboles explicitement cosmiques (et donc universel) comme les
étoiles, le soleil ou la lune; les symboles d'origine
pythagoricienne ou platonicienne, comme les 4
éléments, les 5 sens ou le pentagramme, la pierre
cubique etc...; il y encore les symboles de source biblique comme le
volume de la loi sacrée, la pierre brute, la colonne Boaz ou
le pavé mosaïque. On connaît les symboles
d'origine compagnonique que sont le fil à plomb, le compas,
le maillet etc..., les symboles de source chevaleresque, comme
l'épée ou l'accolade, les symboles de nature
alchimique, comme le mercure, le soufre et le sel. Il reste les
symboles d'origine proprement maçonnique que sont le cabinet
de réflexion, les trois pas de l'apprenti, ou encore la
chaîne d'union. Les couleurs et les symboles comme le sablier
et la faux sont plus universels et leur source respective reste souvent
indéterminée.
- Cette
brève incursion dans le domaine si riche du symbolisme, nous
incite aussi à nous interroger sur les positions de la
pensée moderne au regard de la symbolique des nombres.
Pensée psychanalytique d'une part, pensée
physicienne d'autre part.
- Et tout d'abord on
peut remarquer que la psychanalyse, qui étudie la symbolique
des nombres dans l'inconscient à travers les rêves
et leurs interprétations retrouve assez souvent la
symbolique maçonnique. Par exemple pour le nombre 3, le
psychanalyste dira que tous ceux qui ne considèrent pas
simplement le 3 comme le chiffre qui succède au 2, mais
guidé par un sentiment instinctif, laissent parler le
nombre. Dans ce cas 3 rétablit ce que le 2
(dualité, opposition) a troublé. En fait, il fait
davantage : le passage du 2 au 3 permet de dominer la
dualité et non de la nier ou de la rejeter. Voilà
qui est intéressant. D'autre part, le psychanalyste parle
ici du chiffre trois ou du chiffre 2. Or le lecteur n'aura pas
été sans remarquer qu'il n'a jamais
été question dans cet article du chiffre 3 ou 2
ou 5 etc, mais toujours du nombre correspondant. Ceci était
intentionnel, mais on pourrait travailler également au
niveau du chiffre. Il faudrait alors faire une distinction subtile
entre celui-ci et le concept de nombre. Ce problème est
lié bien sûr à celui de la
numération ou plutôt du système de
numération utilisé, mais aussi à des
considérations philosophiques, mathématiques et
historiques assez abstraites. On connaît aujourd'hui de
nombreux systèmes de numération depuis que
l'informatique a vulgarisé le système binaire (0
et 1), et que l'on évoque parfois dans le monde profane des
systèmes comme l'octal ou l'hexadécimal; mais un
développement sur ce sujet dépasserait le cadre
du présent article. Par contre on peut s'interroger sur
l'absence quasi total du nombre 10 dans les repères
maçonniques. A moins qu'il ne faille comprendre 10 (0
à 9) comme 2 x 5 ! Vient alors la double figure de Manpower
ou l'antique Janus.
- En ce qui concerne
la pensée physicienne, il est maintenant clair, que l'on
assiste à un retour en force de la mathématique
pythagoricienne, et, que les découvertes sur les structures
intimes de l'univers matériel des physiciens se rapprochent
de plus en plus de la géométrie du
sacré. L'exemple du pavé mosaïque avec
les 4 colonnettes (les trois apparentes et celle manquante) rappelle
étrangement le concept universel des 4 dimensions
spatio-temporelles de la relativité d'Einstein. On voit les
trois directions de l'espace, et l'on devine celle du temps. Mais le
rectangle n'a aucun sens sans la quatrième colonnette
virtuelle. Donc d'une part ce rectangle reste ouvert , car incomplet
pour le non initié, d'autre part il faut apprendre
à le fermer par la recherche intérieure, et le
dépassement de soi; de même que le physicien ne
peut voir que l'apparence des choses en 3 dimensions, il
découvre leur nature subtile en y associant le temps, c'est
à dire la notion de relativité : l'infiniment
petit et l'infiniment grand intègrent le concept de
relativité et sa conséquence exprimée
par la célèbre formule : ENERGIE = MASSE (de
matière) X carré de la {VITESSE de la
lumière}. Le présent article, loin
d'épuiser le sujet sur les rapports entre le symbolisme
maçonnique et la symboliques des nombres, ouvre au contraire
la porte à de multiples interrogations de nature assez
diverses, qui, pour chacune d'entre elles mériteraient de
faire l'objet d'un nouvel exposé. En voici quelques unes :
- - au sujet du nombre
(ou du chiffre) 1; sur la notion d'unité,
- - chiffre 3 et
carrés celtiques,
- - sur l'affirmation
concernant la constitution des loges bleues : trois la dirigent, 5
l'éclairent etc,
- - progrès
entre l'équerre, instrument de mesure rigide (90°)
et le compas instrument souple (tous les angles),
- - où se
trouvent les progressions arithmétiques et
géométriques dans la symbolique
maçonnique, la notion de zéro et d'infini ?
- - correspondance
entre les chiffres et les lettres (" La Parole perdue " ?)
Serge
Le Guyader
Pour en savoir
plus :
* Tous les livres classiques sur la FM
* Le nombre d'Or de Matila C. Ghyka chez Gallimard, 1931 puis 1959,
avec une
lettre-préface de Paul Valéry
* Initiation à la Symbolique Romane (XIIè
siècle) de Marie-Madeleine Davy, chez
Flammarion, 1964
* François Mitterand, Grand Architecte de l'Univers, de
Dominique Setzepfandt,
chez Faits & Documents, 1995, pour ceux
qu'intéressent l'aspect politique
de l'architecture et des ouvrages symboliques (document quelque peu
explosif !)
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