Obédience : NC | Loge : NC | Date : NC |
Une ou deux choses que je crois savoir sur Noël et son symbolisme Musique préconisée - Les Concerts En Chine - Jean – Michel Jarre - 70 à 90 secondes puis suinter - (Suinter = diminuer progressivement le son). 1) Avant-proposCe (long) Tracé d’Architecture comprend comme toute Planche. Un avant propos, une introduction et pour finir une conclusion. Conclusion en forme de synthèse qui heureusement laisse une très large place à de nouveaux Morceaux d’Architecture. Synthèse qui sera une délivrance pour vous mes Frères [et Sœurs] et délivrance de l'Orateur de ce Midi qui pourra peut-être répondre à vos questions. (C’est l’Orateur du jour qui parle). Mais commençons par le commencement. Si la plus grande fête Chrétienne est Pâque, du Vendredi Saint crucifixion au dimanche de Pâque avec la résurrection du Christ après son supplice sur la croix. (On remarquera que le trois et la symbolique racontée – rencontrée - lors de l’Initiation et que la Franc-Maçonnerie fait un abondant usage de ce TROIS). Il reste que dans le monde profane La plus grande fête Chrétienne, la plus populaire est et reste incontestablement NŒL. De par sa signification, son symbolisme, son organisation (aussi bien religieuse que profane. Nous devrons dire commerciale, voir mercantile). Cette Fête dépasse, et de loin, des fêtes que nous citons dans l’ordre chronologique. L’Epiphanie – La Chandeleur – Les Cendres – les Rameaux – La Pâques – L’Annonciation – L’Ascension – La Pentecôte – L’Assomption – La Toussaint – La Fête Des Morts – L’Avant – La Saint-Nicolas – L’Immaculée Conception – Noël - nous rajoutons le Saint-Sylvestre denier jour de l’année. Rappelons que les dates des fêtes citées sont en générale changeantes, sauf bien entendu la Saint-Nicolas (6 décembre) l’Immaculée Conception (8 décembre). Et bien entendu Noël (25 décembre). Les Protestants, faut-il le souligner célèbrent moins de fêtes que les Catholiques Romains. Seul : Pentecôte, Pâques, Ascension, Toussaint et Noël sont célébrées. Noël et la contraction du latin Die Natatis « Jour de la naissance » qui désigne aussi bien la naissance ou la renaissance victorieux de l’Astre Solaire dans les religions païennes. Le moment du solstice d’hiver donnait lieu à des cultes à « mystères » dans les Rites Polythéistes. [Le polythéiste = plusieurs dieux – le monothéiste = un seul Dieu]. En tant qu’Orateur, disons que c'est la fête qui marque le plus les enfants et que nous, adultes, regardons encore avec les yeux de l'innocence cette Fête (pleine) De Lumière. Même ceux qui, pour une raison ou une autre, ont rejeté leur éducation religieuse et l'enseignement biblique reçu dans leur enfance à « l’Ecole du Dimanche ». Les « nouveaux athées », les « agnostiques » de mai 68. [Athée = Celui qui ne croit pas que Dieu existe – agnostique = (peux ce résumer par) Celui qui ne sait pas si, il y a un Dieu ou des dieux mais fait comme si – on ne sait jamais – la définition est plus « subtile »]. Sans être spécialistes, nous pensons que les autres confessions, telles que : Les Bouddhistes, Les Juifs, les Musulmans ou toutes les formes de convictions religieuses, qui pour une raison ou une autre vivent dans un contrée où Noël est fêtée doivent ressentir, une joie, un bonheur tout comme les Chrétiens qui participent à une grande fête d'une autre religion, d’un autre mouvement. Qu’il soit polythéiste ou monothéiste. Nous autre Franc-Maçon nous éprouvons une grande joie, un bonheur instance lors d’une initiation, d’une augmentation, d’un passage, d’une Saint-Jean (qu’elle soit d’été ou d’hivers). Ce Midi, nous voudrons vous entretenir du symbolisme de la fête de Noël et du rapprochement que nous, Francs-Maçons, pouvons faire avec une fête de cette importance et les symboles qu'elle nous apporte. Il est, bien entendu, que c'est un survol que nous ferons ce Midi. N'étant ni historien, ni psychologue, ni maître es symbolisme. Nous sommes restés des Apprentis, des Apprenants. Il ne serait être question pour l’Orateur de ce midi de développé d’une manière « universitaire » donc un brin dogmatique un thème aussi riche en signification aussi multiple que divers. Nous emploierons un vocabulaire simple, peut-être simpliste, mais que tout un chacun comprend sans se prendre la tête. Nous souhaitons simplement vous apporter des informations qui, nous l’espérons, éveilleront, suscitera une réflexion. 2) Introduction : Musique préconisée - Rio Bravo - 2 minutes (puis suinter) Que nous dit la Bible : Un petit rappelle : Un homme d’un certain âge dénommé Josèphe à comme promise (fiancée) une jeune fille ayant pour prénom Marie. Celle-ci par un miracle est enceinte. (Elle attend un heureux événement). A son terme, elle accouchera dans une étable d’un enfant mâle dénommé Emanuel – Jésus. Des bergers viendront rendre hommage à ce nouveau né. Des (Rois) Mages viendront porter des offrandes. (La légende de Mages est tardive). Nous écartons volontairement la conception de Jésus-Christ, conception immaculée bien sûr, c'est-à-dire sans tache, sans désir, sans passion, sans convoitise, sans sensualité, sans sexualité aucune. « Dans les Évangiles, la virginité de Marie n’est pas mentionnée. C’est au contact du monde grec que la mère de Jésus devient physiquement vierge. Le dogme de la virginité de Marie fut proclamé à Ephèse en 431, à l’endroit même où était vénérée la déesse vierge Anthémis. Le péché de chaire remonte à Saint Augustin : l’évêque d’Hippone, l’un des Père de l’Eglise latine a profondément marqué la philosophie et la psychologie européenne ». (Dixie « L’esprit des religions » (Connaitre les religions pour mieux comprendre les hommes d’Hesna Cailliau - Edition Milan, page 213). Pour que le Fils de l'Homme, comme, il s'appellera plus tard, naisse, il faut un homme et une femme : Un homme de métier manuel ayant de l'expérience et une femme vierge (qui n’a pas connu d’homme), mais de plus une femme-enfant. (Nous n’osons dire une « Lolita »). Joseph, ce n'est pas seulement le manuel, le chef d’une PME, c’est aussi l'intellectuel, l'esprit de l'homme. Marie, c'est le Cœur, l'Ame. Pour l’instant nous n'entrons pas en matière sur la croyance ou l'incroyance de la Virginité de Marie, la conception de Jésus pouvant faire à elle seule un Travail, une Planche, un Tracé d'Architecture, des exposés profanes, bien des livres sont écrit à ce sujet, bien des sites de la Toile sont consacrés à ce riche thème. Rappelons que dans d'autres religions, nous retrouvons ce même archétype symbolique de la Vierge qui enfante un Sauveur. Le sauveur : Dans cette Planche, le seul fait que nous avons retenu est la naissance de Jésus et tout le symbolisme s'y rattachant, y compris le fameux sapin (de Noel) avec ses boules, ses guirlandes et ses bougies, sans oublier les trop copieux repas avec dinde qui, des fois sont pour nos foies de vrais calvaire. 3) Que nous dit la bible ? Musique préconisée - Violon Pour Les Jours De Fêtes - Delalande - (Suinté à 90 secondes) Mais commençons par le commencement, c'est-à-dire ce que nous dit la BIBLE. (Nous avons choisi sur « Internet » le site http://lire.la-bible.net/index.php qui offre plusieurs traductions du LIVRE). Edition Traduction Œcuménique de la Bible. Evangile Selon Matthieu Chapitre 2 Versets 1 à 12 La visite des mages 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Entre parenthèse, dans d’autres traductions que nous avons lues de la BIBLE, il est fait mention de la maison, mais pas de grotte ni d'étable. Dans l'Evangile de Marc, rien sur la naissance de Jésus, sinon un bref rappel de l'Ancien Testament que nous trouvons au chapitre 1 verset 2. « Conformément à ce qui est écrit dans le prophète Essaie » ; « Je vais envoyer mon messager devant ta face et il te préparera le chemin... » A Isaïe au chapitre 4, verset 3. Là le prophète nous parle plutôt de Jean le Baptiste, mais l'un n'allant pas sans l'autre, nous avons cru bon de citer ces passages de Marc et d'Isaïe. Isaïe Autre version (Second - 1910) « En ce temps-là, on publia un édit de la part de César-Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. Ce recensement fut le premier et eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. Joseph aussi monta de la vallée en Judée, de la ville de Nazareth à la ville de David nommée Bethléem, parce qu'il était de la maison de David, pour se faire enregistrer avec Marie son épouse. Pendant qu'ils étaient là, le jour où elle devait enfanter arrive. Elle mit au monde son fils premier-né, l'emmaillota et le coucha dans une crèche parce qu'il n'y avait point de place pour eux dans l'Hôtellerie. Or, il y avait dans la même contrée des bergers qui couchaient dans les champs et gardaient leurs troupeaux pendant les veilles de la nuit. Un ange du Seigneur se présenta à eux. La gloire du Seigneur resplendit autour d'eux et ils furent saisis d'une grande crainte. Alors l'ange leur dit : Ne craignez point, car je vous annonce une bonne nouvelle qui sera pour tout le peuple le sujet d'une grande joie. C'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, un sauveur qui est le Christ, le Seigneur, vous est né. Et vous le reconnaîtrez à ce signe, vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche... » Et les bergers se rendirent à la crèche pour voir l'enfant nouveau-né. Les versets 13 à 20 disent simplement que les bergers admirent l'enfant et rendent gloire à Dieu et répètent tout ce qu'ils ont entendu et vu à tout le monde. Au verset 21, on nous dit que suivant la coutume juive, Jésus est circoncis et on lui donne le nom de Jésus, comme l'ange l'avait dit lors de l'annonce faite à Marie. Jusqu'à maintenant, nous avons vu les chapitres du Nouveau Testament dans l'ordre, mais, il est important que l’on revienne un peu en arrière, jusqu'à Mathieu, chapitre 1, verset 23, où il nous dit que la jeune fille (Marie) concevra et mettra au monde un fils qu'on nommera Emmanuel, ce qui signifie « Dieu avec nous ». Alors pourquoi le nom de Jésus ? Jésus est une déformation du mot JESHOUAH qui veut dire « YAHWEH est notre secours ». (Certains théologiens ont recensés jusqu’à 700 noms pour le Christ – n’allons pas si loin, rappelons-nous, que pour certains degrés maçonnique il y a plusieurs dénomination possible). L'un et l'autre ont une signification évidente. C'est la naissance miraculeuse qui promet au monde, son Sauveur égale (=) le Messie ou Christ, dérivé du mot grec Christos qui veut dire « oint ». (Les chevaliers du Moyen-Age étaient oints en souvenir du Messie). Mais ce terme dérivait aussi phonétiquement de l'égyptien hiéroglyphique « khery-cheta » « signifiant » « Celui qui domine le mystère », « l'Initié ». Comme on peut le constater, ces quelques lignes bibliques nous donnent très peu de renseignements sur la naissance « de Jésus La Nativité ». Remarquons que les Rois Mages sont venus voir Jésus, que des Bergers sont venus l'admirer, alors que les gens du village ne se sont pas dérangés pour voir un nouveau-né ? bien que dans la religion juive un nouveau-né, surtout du sexe mâle, était très important et donnait lieu à des réjouissances de toute première importance. Quant à la légende de l'Ane et du Bœuf, rien dans Le LIVRE ne s'y trouve, si ce n'est dans Essaie, chapitre 1, verset 3, Un bœuf connaît son
propriétaire et un âne la mangeoire chez son
maître : Version Second 1910 « Le bœuf a connu son maître et l'âne la crèche de son Seigneur ». 4) Historique : Musique Préconisée - Grandes Orgues - Du Jean-Sébastien Bach - Envions 60 secondes puis suinter. Nous avons vu ce que nous enseigne le LIVRE SAINT sur la naissance de Jésus. Il nous faut maintenant voir si, historiquement, Jésus a réellement existé et si nous pouvons retrouver des traces de son passage sur la Terre dans les écrits des historiens de l'époque Juifs et Romains, ou d'autres peuples, qui ont laissé des écrits sur leur histoire. (Rappelons que le boum des vidéos amateurs est toute récent et qu’à l’époque il n’y avait pas encore de téléphone portable permettant d’immortaliser des événements familiaux tels la naissance d’un premier né…). La plupart des renseignements que l’on va vous donner sont tirés du livre de Daniel Rops « Jésus En Son Temps » tome 1, pages 104 et suivantes. « Son existence paraît être incontestable. Mais on ne peut parler de Jésus sans y mettre une passion où les intérêts de la connaissance ne sont malheureusement pas seuls en jeu. Les textes bibliques ne le situent pas dans un temps légendaire comme Orphée, Osiris ou Mithra. L'Empire Romain nous est bien connu ainsi que les noms d'Auguste, Tibère, Hérode le Grand, Pilate, les philosophes Sénèque, Tite-Live, Virgile, les grands prêtres hébreux comme Anne et Caïphe, qui sont contemporains de Jésus, tout comme Flavius Joseph qui a rapporté la mort de Jean le Baptiste. Flavius par contre ne parle pas de Jésus ; il faut à sa décharge dire que l'on n'a pas retrouvé tous ses écrits. Jésus vécut entre le règne d'Auguste et de Tibère. Nous savons qu'il y eut à cette époque trois recensements ordonnés par Auguste, l'un en 726 de l'ère romaine, c'est-à-dire 28 ans avant Jésus-Christ, l'autre en 746 et le dernier en 767 de l'ère romaine, c'est-à-dire 14 ans après Jésus. Hérode est mort en l'an 4 avant Jésus-Christ à Jéricho. Les Mages l'ont vu à Jérusalem probablement en 5 ou 6 avant Jésus-Christ. On peut donc dire avec certitude, si certitude il y a, que Jésus est né entre l'an - 8 et - 4, vraisemblablement en moins 6. Cette incertitude n'a d'ailleurs, pour ce qui concerne sa vie, qu'une importance fort minime. Quant à savoir le jour de sa naissance, aucune date précise, en été probablement, puisque les bergers se trouvaient dans les champs et qu'il fait trop froid en Palestine pour mettre des bêtes dehors en décembre. (Le climat depuis cette époque n'a que peu évolué). La date du 25 est simplement une tradition. Clément d'Alexandrie, au IIIe siècle tenait pour le 19 avril ». Selon « Religions et Histoire » fiche 17b. Le choix du 25 décembre est selon la tradition en 354 que le Pape Libère aurait désigné la date de la fête romaine des Brumalia (le 25 décembre, au lendemain des Saturnales célébrant le Solstice d’Hivers. Ce n’est qu’en 525 fut définitivement fixée. Dès 440, Rome impose qu’on célèbre annuellement le 25 décembre la naissance du Christ. Début de l’année liturgique. On a proposé aussi le 29 mai, et le 28 mars. En Orient, pendant longtemps on admit le 6 janvier. La date du 25 décembre fut généralement admise vers 350. Nous reparlerons de cette date du 25 plus loin dans mon exposé. Pour la naissance : Mandfred Hein donne : « Moins 7 – 5 avant notre ère. Les sources ne permettent pas de dater avec précision la naissance de Jésus ». (Page 15, « 2000 dates pour comprendre l’Eglise » - Edition Albin Michel [Espace Libre] 2006). 5) Considérations générales : Musique préconisée - One Love - 2 minutes 53 - (Mais suinté vers 45 secondes) Que Jésus ait réellement existé, qu'il ait été un homme politique, un révolutionnaire, un charlatan (nombreux sont les gens qui se prenaient pour le Christ, pour le Messie annoncé dans l’Ancien Testament. A cette époque et à la nôtre aussi, un Grand (ou petit) Prophète ou le Fils de Dieu et annoncé et beaucoup le prennent pour le Fils de Dieu. Nous laissons chacun d'entre vous de croire, de penser et le terme plus approprié, ce qu'il veut. Là n'est pas notre propos, et de toute façon nous ne sommes ni théologien, ni philosophe, ni historien ; nous ne sommes que Franc-maçon cherchant la LUMIERE et nous sommes bien incapables de vous donner une réponse plausible. Encore un mot sur l'histoire pour rappeler que les textes écrits sur les grands hommes de cette époque ont presque tous été écrits bien après leur départ pour l’Orient Eternel. Ceci peut expliquer un certain nombre d'erreurs, d’inexactitudes. Mais revenons à Jésus. 5 Sur l'art : Pas de musique proposée ! Avant d'entrer dans le symbolisme de pleins pieds, encore un mot sur les représentations artistiques que nous ont laissé les grands créateurs, les peintres, les écrivains, les musiciens, les sculpteurs, j’en oublie sans doute. C'est, sans aucune ambiguïté possible La Nativité qui a le plus inspiré les 8 arts, comme on peut le voir dans les musées publics ou privés et les grandes collections privées du monde entier. Le cinématographe appelé Le Septième Art a largement contribué à la diffusion d’une image d’Epinal souvent « Kitch » quelquefois polémique. Pensons aux admirables Mystères joués sur les parvis de cathédrales au Moyen-Age ainsi qu'aux peintures d'artistes tels que Raphaël par exemple et aux mosaïques que les archéologues ont retrouvées à Byzance. Les musiciens se sont aussi inspirés de la naissance de Jésus. Le morceau de musique suivant est représentatif de notre propos, même si nous en avons bien d’autres en tête. 6) Introduction symbolisme : Musique Préconisée - Chantons Noël - 2 minutes 30 - (En entier) Dans cette première partie, L’Orateur du jour, s’est un peu éloigné volontairement du but du Travail de ce Midi. Mais, il fallait, replacer l'histoire de Jésus dans son contexte histéro-biblique. Rappelez-vous, votre dernier Noël, ou imaginez le prochain : des boîtes dans de jolis papiers cadeaux, des boules brillantes, des guirlandes argentées ou dorées, des Santons (statuettes un peu païennes - n’est-il pas vrai ?) sont éparpillés au milieu du Salon. (De la Salle à Manger). Ce n’est pas dans un ordre chronologique qui a été choisi. Commençons par les Santons, statuettes qui ne sont pas forcément de Provence ; nous les retrouvons dans toutes les régions de l'Europe et du monde, sorte de poupées, petite figurines, statuettes divines. Réminiscence d’un paganisme pas si éloigné des monothéismes. Les santons : Comme déjà esquissé. Si l'on y réfléchit bien, les Santons sont des statuettes magiques auxquelles nous vouons une adoration très idolâtre. Un certain rite entoure la façon dont nous plaçons ces figurines. Nous mettons l'enfant Jésus au centre, en premier ou en dernier, suivant notre propre tradition familiale. Toutes les autres figurines convergeront vers ce point, vers ce centre. Les points et les centres sont des thèmes Franc-Maçonnique récurant mais ce n’est pas le moment d’en parler. Une « crèche » contient pour être digne de se nom tout les personnages que l’on peut rencontrer dans la vie courante, tout les corps de métiers y sont représentés. (Y compris ceux qui n’étaient pas encore pratiqué il y a plus de deux milles ans…). Nous n’avons pas trouvé de santon Franc-Maçon, nous sommes pratiquement sur qu’il doit en exister… L'Enfant : Le nouveau né Symboliquement, que représente un nouveau né, un bébé : Il incarne la pureté originelle avant la faute, LE BIEN dans sa forme la plus pure. C'est le symbole universel de l'innocence, c'est la spontanéité. Le nouveau-né a besoin de ses parents pour vivre. Il ne sait pas encore parler seul ses pleurs, ses rires sont communiquant LE SON est primordial car sa gestuel est peu expressive, ses gestes sont gauches, malhabiles. C’est en somme un impétrant à l’entrée du Temple de LA VIE. Le bébé à besoin des grands pour pouvoir évoluer tout comme l’Apprenti à besoin d’être guidé sur le chemin de l’Initiation. Les anges : Dans notre tradition chrétienne, sont, il faut le rappeler, souvent représentés sous les traits d'enfants, Cupidon, dieu de l'amour aussi est représenté comme un beau gros bébé joufflu, et nous sommes appelés LES ENFANTS DE LA VEUVE. [Il ne faut pas confondre Cupidon avec Eros qui lui est souvent représenté avec un phallus démesuré]. Les anges sont des messagers bons ou mauvais. La mère : Marie, la pure, la sage, la vierge, la femme-enfant, sans tache, sans salissure. La vierge, ce mythe de la pucelle, nous le retrouvons dans plusieurs Religions, plusieurs Légendes, plusieurs Mythes. La Saga finnoise par exemple pour ne citer qu’une légende parmi bien d’autres. La vierge n'a pas connu d'homme au sens copulation bien entendu, et pourtant elle est féconde et est fécondée. La virginité de Marie n’est pas mentionnée dans la Bible. La virginité de la mère du Christ fut proclamée à Ephèse en 431, (le 22 juin s’ouvre dans cette ville le troisième Concile qui fut convoqué par l’empereur Théodose II. Ce concile confirma la légitimité du titre Theotokas « Mère de Dieu » pour Marie) dans la ville ou était vénéré la déesse vierge Artémis. [Notons que dans la BIBLE ont ne dit pas que la fiancée de Joseph est vierge il est simplement dit que Marie n’a pas connu d’homme…ce qui n’est pas la même chose]. Dans les civilisations antiques, la vierge est une femme forte, courageuse comme un homme, elle était souvent une courtisane ou une prostituée sacrée. Elle était une des figures de l’amour – agapè – universel elle était initiée aux mystères des dieux, des sciences, de la magie. Ce n’est que bien plus tard que la virginité fut imposée aux pubères avant la consommation du mariage… (Si, jusqu’aux années soixante, il était de « bon ton » pour les fiancés de ne pas avoir de relations sexuelles (pénétrations vaginales - le reste des pratiques usuels étant simplement toléré, depuis Mai 68, la virginité n’est plus guère demandée). Terminons sur cette décrétions par les apparitions de la Vierge Marie qui ne serait que la manifestation de la fameuse « Dame Blanche », de la Grande déesse Mère qui hante la conscience des hommes (et aussi des femmes)]. Revenons à notre Vierge à nous… Sa pureté permettra qu'elle enfante un Dieu. Dans les signes du zodiaque, la vierge est le 6ème signe, il se situe juste avant l'équinoxe d'automne et symbolise la moisson, le travail, la minutie. En Egypte, c'est le signe d'ISIS. Entre parenthèse, on peut faire un rapprochement entre le culte de Marie et le culte d'Isis pratiqué en Egypte. L'on peut bien entendu retrouver ce même mythe de la Vierge dans d'autres religions de par le monde, comme déjà dit. Vierge qui mettra au monde un enfant mâle, n'en déplaise au mouvement de la libération féminine, et ceci dans pratiquement toutes les religions, dans toutes les cultures. (Nous n’avons pas trouvé de mythe où la femme joue le premier rôle est la SAUVEUSE du monde). Encore un mot sur la Marie. La BIBLE ne cite que peut la mère de Jésus. Matthieu 1 : 16 Matthieu 1 : 18 Matthieu 1 : 20 Matthieu 2 : 11 Matthieu 13 : 55 Matthieu 22 : 25 Matthieu 27 : 56 Matthieu 27 : 61 Matthieu 28 : 1 Marc 6 : 3 Marc 15 : 40 Marc 15 : 47 Marc 16 : 1 Marc 16 : 9 Luc 1 : 27 Luc 1 : 30 Luc 1 : 34 Luc 1 : 38 Luc 1 : 39 Luc 1 : 41 Luc 1 : 46 Luc 1 : 56 Luc 2 : 5 Luc 2 : 16 Luc 2 : 19 Luc 2 : 34 Luc 8 : 2 Luc 10 : 39 Luc 10 : 42 Luc 20 : 28 Luc 24 : 10 Jean 2 : 9 Jean 11 : 1 Jean 11 : 2 Jean 11 : 19 Jean 11 : 20 Jean 11 : 28 Jean 11 : 29 Jean 11 : 31 Jean 11 : 32 Jean 11 : 45 Jean 12 : 3 Jean 19 : 25 Jean 20 : 1 Jean 20 : 11 Jean 20 : 16 Jean 20 : 18 Actes 1 : 14 Actes 12 : 12 Romains 16 : 6 1 Corinthiens 7 : 28 1 Corinthiens 7 : 32 1 Corinthiens 7 : 33 Nous noterons que les Catholiques Romains donnent une très grande importance à la mère du Christ, qu’il y a des prières, un culte voué à Marie par contre chez les Reformés (protestants – parpaillots) à la suite de Martin Luther et de Jean Calvin, Marie reste très en retrait. Le père : Joseph : Ou trouvons-nous le père de Jésus dans le Livre de la Loi Sacrée : Matthieu 1 : 16 Matthieu 1 : 18 Matthieu 1 : 19 Matthieu 1 : 20 Matthieu 1 : 24 Matthieu 2 : 13 Matthieu 2 : 14 Matthieu 2 : 19 Matthieu 2 : 21 Matthieu 13 : 55 Matthieu 27 : 56 Marc 15 : 43 Marc 15 : 45 Marc 15 : 46 Luc 1 : 27 Luc 2 : 4 Luc 2 : 16 Luc 3 : 23 Luc 3 : 24 Luc 3 : 30 Luc 4 : 22 Luc 23 : 50 Luc 23 : 55 Jean 1 : 45 Jean 4 : 5 Jean 6:42 Passons au cocu de service. (Vous avez bien entendu Cocu de service). Rappelons-nous simplement que dans les mythologies grecque, romaine, aztèque, ou indoue, nous trouvons souvent ce trio, femme, homme et dieu ou demi-dieu engendrant la femme). Joseph est, nous dit la BIBLE, fils de David, fils d'Abraham. Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, etc... Salmon engendra Boaz qui à son tour engendra Obed, qui lui engendra Isaïe qui est le papa de David et le grand-papa de Salomon. Je vous fais grâce du reste pour vous citer le dernier verset de l'évangile de Matthieu : Il y a donc 14 générations depuis Abraham jusqu'à David, 14 générations depuis David jusqu'à la déportation à Babylone et 14 générations depuis la déportation jusqu'à Jésus. « 3 x 14 = 42, 4 + 2 = 6, 6 = nous l'avons vu le signe de la vierge. C'est peut-être un peu tiré par les cheveux ». Mais revenons à Joseph, il est, nous l'avons vu, de sang royal. Il est d'une famille illustre, mais il n'a pas toutes les richesses. Il doit travailler de ses mains pour nourrir sa petite famille. Que peut-il faire comme métier ? Pourrait-il être forgeron ? Voyons dans le dictionnaire des symboles, au mot forgeron : « Le métal est extrait de la terre, la forge est en relation avec le feu satanique, c'est pourquoi le forgeron est souvent exclu de la société ». (La citation n'est pas complète). ZEUS, THOR, HORUS sont des forgerons. Pour plus d’information, nous vous renvoyons à Tulbainlcain le forgeron. Le forgeron, par son symbolisme, ne pouvait pas être un père valable pour le Christ. Aurait-il pu avoir un métier intellectuel, scribe, avocat, prêtre ? Rien de tout cela. C'est facile à comprendre, il fallait non pas un métier intellectuel, mais bien un métier manuel et propre. Menuisier ferait-il l'affaire ? Reprenons le dictionnaire des symboles au mot bois : « Le bois est par excellence la matière, il symbolise en Inde la substance universelle ». Et bien voilà, le métier du père du Fils de l'Homme est tout trouvé ; il sera menuisier et travaillera la substance universelle, le bois. Joseph, c'est le chef de la famille, c'est l'homme qui pardonne les fautes (quel exemple pour le fiston plus tard). Il est l'Homme, il est le travailleur. Il va, pour un enfant qui n'est pas de lui, abandonner son village, son petit confort de chef d’une PME et voyager afin que cet enfant puisse vivre. Les mythes de la naissance des héros font souvent appellent à un « bâtard » Moïse etc. Jésus, Marie, Joseph, la trilogie, le Père, le Fils, le Saint-Esprit, trois côtés du triangle, source de toute activité infinie, activité intelligente ou si vous voulez Force, Beauté, Sagesse. Le ternaire a, aux yeux des Pythagoriciens, une grande importance, puisqu'ils considèrent le chiffre trois comme clef de la vie. Hérodote a écrit : « Un siècle contient trois générations viriles ». Et dans la vie de Jésus, le nombre, le chiffre (l’un et l’autre sont toujours confus dans notre esprit). Trois a une très grande importance comme vous le savez. Son ministère commence à 30 ans, il passe 3 jours dans le désert, il ressuscite au 3ème jour et il meurt à 33 ans, selon la légende (les écrits bibliques devront nous dire). Dans la BIBLE, de nombreux exemples du 3 ou de ses multiples existent et dans le monde le chiffre 3 est important. Pensons entre autres aux pyramides d'Egypte. Pour le Livre Sacré (BIBLE) - même si cela nous éloigne un peu de notre propos de ce Midi. Mais cela reste dans l’esprit Franc-maçonnique nous aimerons citer pour mémoire parmi les très nombreux exemples possible (environ 450), quelques versets qui nous semble rentrer dans notre discours : Genèse 18 : 2 Exode 10 : 22 Proverbes 30 : 18 Proverbes 30 : 21 Proverbes 30 : 29 Siracide 25 : 1 Siracide 25 : 2 Siracide 26 : 5 Matthieu 18 : 20 Matthieu 26 : 34 Matthieu 26 : 61 Matthieu 26 : 75 Matthieu 27 : 40 Matthieu 27 : 45 Matthieu 27 : 46 Matthieu 27 : 63 Marc 8 : 2 Marc 8 : 31 Marc 9 : 5 Marc 9 : 31 Marc 10 : 34 Marc 14 : 5 Marc 14 : 30 Marc 14 : 58 Marc 14 : 72 Marc 15 : 29 Marc 15 : 33 Marc 15 : 34 Luc 1 : 56 Luc 2 : 46 Luc 1 : 56 Luc 2 : 46 7) Les bergers : Nous allons voir maintenant les 2èmes rôles ; Commençons par les bergers. La BIBLE nous indique : Evangile selon Luc Chapitre 2 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 Suivant l'importance et la richesse de la crèche, nous plaçons 3, 5, 7 ou même plus de figurines, de Santons représentant les bergers. Pour bien situer les bergers dans le mythe qu'il représente pour nous et avant de parler de leurs symbolismes, écoutons une chanson qui, représente assez bien l'idée qu'on peut se faire d'eux à notre époque. Musique préconisée - Les Bergers - Jacques Brel - 2 minutes 44 - En entier Merci de votre écoute : Symboliquement, que peuvent représenter les Bergers ? Les Bergers sont des pâtres, des pasteurs, c’est les gardiens et les guides du troupeau l’étoile du Berger, c’est Vénus qu’est la deuxième des huit planètes de notre système solaire en partant du Soleil, et la sixième par masse ou par taille... Leur réputation (qui perdure de nos jours) est la prudence, la vigilance, ils sont non seulement protecteur du troupeau qu’ils gardent avec leurs chiens contre des prédateurs tel le LOUP. D’où l’adage : « Le loup et dans la bergerie » (Il rentre dans la prérogative des Bergers, la fabrication des fromages - nourriture -, la tonte des poiles des moutons - poiles qui donnera de la laine - laine protectrice de chaleur. Ils assurent la naissance des agneaux et le Christ n’était-il pas « L’agneau de Dieu »). Leurs attributs sont la canne et un chasse-mouches deux des symboles que l’on retrouve sous une forme quelque peu modifiée chez les pharaons. Le sceptre en forme de crosse et le fouet. Les Bergers sont nomades tout comme Abel et Abraham est au degré de Compagnon nous sommes appeler à voyager (ce qui consiste à changer de jour de visite mais à rester à la même adresse car un Temple Maçonnique accueille plusieurs Loges - si ce n’est plusieurs Obédiences). Chez les Hébreux, faut-il le rappeler ? Les nomades étaient toujours préférés aux sédentaires. Le nomade a donc une condition sacrée. Les Bergers sont donc des gardiens de troupeaux, des rassembleurs. Pour rester dans la bible où ils sont très souvent employés, citons : Le Psaume 23, verset 1 : « L'Eternel est mon berger; je ne manquerai de rien », L’on pourrait vous lire la BIBLE en entier, il n'y a que des Bergers. Nous avons trouvé 35 entrées avec Bergers au pluriel et 45 entrées au singulier. A titre indicatif les voici… Bergers (avec S) Genèse 13 : 7 Genèse 13 : 8 Genèse 26:20 Genèse 46 : 32 Genèse 47 : 3 Exode 2 : 17 Exode 2 : 19 Nombres 14 : 33 Juges 5 : 11 1 Samuel 21 : 8 1 Samuel 25 : 7 2 Rois 10 : 12 Esaie 13 : 20 Esaie 31 : 4 Esaie 56 : 11 Jérémie 33 : 12 Jérémie 51 : 23 Ezéchiel 34 : 2 Ezéchiel 34 : 7 Ezéchiel 34 : 8 Ezéchiel 34 : 9 Ezéchiel 34 : 10 Amos 1 : 2 Malachie 5 : 4 Nahoum 3 : 18 Sophonie 2 : 6 Zacharie 10 : 3 Zacharie 11 : 3 Zacharie 11 : 5 Zacharie 11 : 8 Luc 2 : 8 Luc 2 : 15 Luc 2 : 18 Luc 2 : 20 Actes 20 : 28 Berger (sans S) Genèse 46 : 34 Genèse 48 : 15 Nombres 27 : 17 1 Samuel 17 : 34 1 Samuel 17 : 40 1 Rois 22 : 17 Esaie 38 : 12 Esaie 40 : 11 Esaie 44 : 28 Jérémie 43 : 12 Ezéchiel 34 : 5 Ezéchiel 34 : 8 Ezéchiel 34 : 12 Ezéchiel 34 : 23 Ezéchiel 37 : 24 Amos 3 : 12 Zacharie 10 : 2 Zacharie 11 : 15 Zacharie 11 : 16 Zacharie 11 : 17 Zacharie 13 : 7 Zacharie 13 : 7 Psaumes 23 : 1 Psaumes 28 : 9 Psaumes 78 : 71 Psaumes 78 : 72 Psaumes 80 : 2 2 Chroniques 18 : 16 Judith 11 : 19 Sagesse 17 : 17 Siracide 18 : 13 Matthieu 9 : 36 Matthieu 25 : 32 Matthieu 26 : 31 Marc 6 : 34 Marc 14 : 27 Jean 10 : 2 Jean 10 : 11 Jean 10 : 12 Jean 10 : 14 Jean 10 : 16 Jean 21 : 16 1 Pierre 2 : 25 1 Pierre 5 : 4 Apocalypse 7 : 17 Il faut dire que les Hébreux ne font que suivre les peuples voisins dans leurs habitudes comme l'Egypte et la Mésopotamie. Rappelons pour terminer sur les Bergers qu'ils représentent aussi des sages, des philosophes, qu'ils ne sont jamais fortunés et que le Nouveau Testament fait une place toute particulière à la pauvreté. (A cette époque, ni les banquiers, ni les agents d'assurances existaient…le nomadisme était encore pratiqué à grand échelle). Nous pouvons dire, que les bergers font, la nuit de Noël, la transition entre le Nouveau et l'Ancien Testament. Un petit poème avant de passer aux animaux de la « Crèche » « Bergers, écoutez la musique
Angélique Mêlons nos voix avec les anges [Extrait d’un Noël du XVIIIème siècle, cité dans « Noel populaire de France ». Et un cantique : Tiré du Psaume 23 Que nous reproduisons : Traduction Œcuménique de la Bible Chapitre 23 PSAUME 23 (22) 1 Le SEIGNEUR est mon berger, 2 3 4 5 6 Chant tiré de Psaumes et Cantiques - Numéro 387. Tiré du Psaume 23 Augsburg 1531 (arrangement E. Pidoux). « Le bon berger, le Dieu
très haut, (Nous n’avons pas recopié les deux dernières strophes). Source « Psaumes et Cantiques Et
Texte pour le culte » 8) L'âne et le bœuf : Musique préconisée - Divine Liturgie Orthodoxe - 1 minute - N’oublier pas de suinter Maintenant que nous venons de placer les principaux personnages, parlons de l'âne et du bœuf. Nous l'avons vu plus haut, ils sont cités dans Essaie et ils ont leur place symboliquement dans la crèche de toute manière. Essaie, chapitre 1, verset 3. « Le Bœuf connaît son possesseur, et l'âne la crèche de son maître, Israël ne le connaît pas ». (Version Bible de Jérusalem - Edition Cerf 2000) Dans la crèche, l'âne et le bœuf symbolisent le binaire ; c'est un des points de vue. L'univers est tout entier pénétré de la dualité. Quelques exemples : le cerveau est composé de deux hémisphères ; nous avons aussi deux poumons, deux reins, deux bras, deux jambes. Les organes sexuels sont doubles, seins, etc. pour la femme, testicules pour l'homme, et faut-il le rappeler, dans chaque homme, il y a une femme, dans chaque femme l’on trouve un homme, et sans homme pas de femme, sans femme pas d'homme. Ils sont un + un. Ils sont complémentaires. Le deux est le premier chiffre pair. Ecartons la conception in vitro voire la conception dite parthénogenèse. Capacité de reproduction sans copulation, sans relation sexuelle, cette reproduction peu commune est appelée et est observée chez beaucoup d’insectes (abeilles, fourmis…) et plus rarement chez certaines espèces de vertébrés (des poissons, des amphibiens, des reptiles et des oiseaux). Internet nous indique que récemment un requin serait né de cette manière ? Ce phénomène n’a jamais été constaté chez les mammifères. Certains théologiens avanceraient cette forme de procréation à la naissance de la Nativité - comme il est très mode de trouver une explication scientifique à tout même aux merveilleux laissons aux savants cette piste… A propos de deux, de dualité, vous savez tous que les Ecritures Saintes sont à double sens, l'un pour le profane, l'autre pour l'initiable ; Nous ne disons pas initié qui n'est pas tout à fait la même chose. Il y a donc dans la BIBLE le sens caché, le sens fermé, et le sens ouvert, le sens simpliste. Mais revenons à nos moutons, c'est-à-dire à l'âne et au bœuf. Ils ne sont pas là uniquement pour faire joli dans la crèche et de leur souffle chaud réchauffer l'enfant nouveau-né, mais bien pour nous rappeler que dans toutes les religions les animaux ont joué un rôle très important. Par le mot, le terme religion, il faut entendre l’ensemble des croyances et pratiques mises en œuvre par l’homme pour établir un lien entre lui-même et un au-delà plus ou moins pressenti. Religions et Histoires numéro 45 page 21. En Egypte, les dieux étaient représentés avec des têtes d'animaux. Dans l'Antiquité, les sacrifices d'animaux ont remplacé les sacrifices humains. La BIBLE nous relate la transition entre les sacrifices humains Dieu disant à Abraham d’épargner son fils et de sacrifier un mouton. La Genèse chapitre 22 versets 1 à 14. Chapitre 22 Abraham sacrifiant 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 17je m'engage à te bénir, et à faire proliférer ta descendance autant que les étoiles du ciel et le sable au bord de la mer. Ta descendance occupera la Porte de ses ennemis ; 18 19 Cette longue digression Biblique pour nous rappeler deux choses : 1) 2) Une bonne lecture de nos Rituels a la même essence. Faut-il encore se donner la peine de les lire et de les comparer entre eux. On peut les lire sous des angles très différents, on peut y faire de nombreux allé et retour et ceci du Premier Degré, celui d’Apprenti au Trente-troisième celui du Souverain Grand Inspecteur Général (Consistoire). Cette digression étant faite revenons à nos propos. Dans la BIBLE le symbolisme des animaux est fréquemment utilisé. Noé prendra un couple de chacun d'eux. La colombe représente la paix, (L’esprit Saint qui descend sur les disciples est souvent représenté par une colombe ((voir une flamme – langue de feu)) l'âne et le bœuf nous rappellent nos passions animales qu'il nous faut dompter. L'instinct que nous avons perdu, la force du lion, le regard perçant de l'aigle, la souplesse du chat, sont des représentations symboliques qui nous sont bien connues et familières. Le bœuf est un symbole de bonté, de calme, de puissance, de force. Il est dans certaines religions symbole du prêtre, en Egypte, le bœuf APIS de MEMPHIS. Le bœuf est donc bénéfique. Il a encore une particularité, il n'est ni mâle (plus mâle) ni femelle, il est coupé ses « attributs » manquent, il ne peut plus se reproduire. Il n'est plus grand chose. (Mais rappelons-nous qu’on ne mange pas une entrecôte de vache on mange du bœuf ?). Chez les grecs, le bœuf est un animal sacré ; il est souvent immolé en sacrifice. L’adage populaire « Il est bœuf » ce qui veut dire « Il n’est pas très futé, il manque de savoir ». L'âne représente pour nous le symbole de l'ignorance, la bêtise, l'âne a l'esprit borné. Il est l'emblème de l'obscurité, voire même de tendance satanique. Guénon a fait observer qu'il s'oppose au bœuf, comme les tendances maléfiques aux tendances bénéfiques. Il signifie aussi l'instinct de l'homme. Cette détestable réputation viendrait de la Genèse : L’âne se montra incapable de se nommer lorsque Dieu lui demanda son nom. Dieu son créateur (est aussi le notre) lui tira les oreilles d’où leurs longueur… A Delphes, dans le culte Apollinien, l'âne est sacré et il est offert en sacrifice. L'âne est rattaché à Saturne, le deuxième soleil qui est l'étoile d'Israël. Aussi y a-t-il eu, dans certaines traditions, identification entre Yahvé et Saturne. Cela expliquerait peut-être l'âne dans la crèche la nuit de Noël et que des caricatures satiriques aient représenté des crucifix à tête d'âne, le Christ étant le fils du Dieu d'Israël, L'âne est aussi humilité et pauvreté. Le mythe de Dionysos qui aurait inspirait les rédacteurs de la vie de Jésus. Le voici tel que conté pas le cite de Wikipedia. Dans la mythologie grecque, Dionysos (en grec ancien Διώνυσος / Diốnusos ou Διόνυσος / Diónusos) est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès ainsi que du théâtre et de la tragédie. Il est le fils de Zeus et de la mortelle Sémélé. Selon les listes, il fait partie ou non des douze Olympiens, bien qu'il ne vive pas sur le mont Olympe : c'est essentiellement un dieu errant. Il a été adopté par les Romains sous le nom de Bacchus (du grec ancien Βάκχος / Bákkhos, un de ses autres noms), assimilé au dieu italique Liber Pater. Dionysos est le seul dieu né d'une mère mortelle : dès Homère et Hésiode, il est présenté comme le fils de Zeus et de Sémélé, fille du roi de Thèbes Cadmos et d'Harmonie. Poussée par Héra jalouse, déguisée en sa nourrice, Sémélé demande à contempler Zeus, de qui elle est enceinte, dans toute sa majesté. Incapable de supporter cette vue, Sémélé trouve la mort. Zeus tire alors son fils du ventre de sa mère et, s'entaillant la cuisse, y coud l'enfant pour mener sa gestation à terme.C'est l'origine de l'expression « être né de la cuisse de Jupiter ». La cuisse pouvant être une désignation euphémique pour les organes sexuels (procédé courant, voir par exemple le français « bas-ventre »), Dionysos pourrait être considéré comme issu directement du sperme (ou de l'urine) de Zeus. Dans la version orphique du mythe, Dionysos-Zagreus est le fils de Perséphone et Zeus. Héra, jalouse, demande aux Titans de se débarrasser du nouveau-né. Ceux-ci coupent donc Dionysos en morceaux et le font cuire dans une marmite. Athéna ramasse pourtant son cœur et le donne à Zeus qui en féconde ensuite Sémélé. Dans les deux cas Dionysos connaît deux naissances, ce qui explique l'une de ses épithètes, δίογονος / díogonos, « les deux fois né ». Pour le soustraire à la vengeance d'Héra, il est confié à sa tante Ino (sœur de Sémélé) et à son époux, Athamas. Mais découvert par Héra, Dionysos est alors remis aux nymphes, sous la direction de Silène, sur le mont Nysa (ou Nyséion), en Thrace, c'est-à-dire, pour les Grecs, en Asie. Pour échapper à Héra, il est transformé en chevreau. Cependant, après l'épisode de Penthée, Héra, réputée pour sa rancune tenace, décide de punir Ino et Athamas pour avoir recueilli le bâtard de Sémélé. Elle rend le couple fou. Jeunesse Il mène une adolescence mouvementée : selon l’Iliade, il est d'abord poursuivi par Lycurgue, puis est fait prisonnier par des pirates tyrrhéniens qu'il transforme en dauphins, auxquels il n'échappe qu'en réalisant d'effrayants prodiges (Hymnes homériques). Son culte excite d'abord les railleries, et il doit châtier les filles d'Argos près d'Éleuthère ainsi que Penthée, roi de Thèbes, pour cela. Dionysos est, avec Apollon, un dieu qui se manifeste par épiphanies (apparitions) : éternel voyageur, il surgit par surprise. Il se présente toujours comme un étranger, courant le risque de ne pas être reconnu. Désireux d'aller visiter sa mère aux Enfers, Dionysos demande l'aide d'un guide, Prosymnos, qui accepte de lui montrer le chemin en plongeant avec lui dans le lac de Lerne, qui communique avec le royaume d'Hadès. Ce plongeon est associé à de nombreux rites initiatiques en Grèce ancienne, généralement liés au passage de l'adolescence à l'âge adulte, et donc aussi aux amours entre un aîné (éraste) et un cadet (éromène). Prosymnos accepte ainsi d'aider le jeune dieu mais exige en échange que celui-ci, lorsqu'ils seraient de retour, lui accorde ses faveurs. Mais lorsque Dionysos revient des Enfers, Prosymnos, lui, est mort. Le dieu décide de tenir son engagement malgré tout : il taille un morceau de figuier en forme de phallus et s'acquitte de sa dette sur la tombe de Prosymnos. Revenu des Enfers, Dionysos avait également arraché Sémélé au royaume des Ombres. Il la transporta dans l'Olympe grâce à Hestia qui lui cède sa place, où elle devint immortelle sous le nom de Thyoné. Dans le panthéon grec, Dionysos est un dieu à part : c'est un dieu errant, un dieu de nulle part et de partout. À la fois vagabond et sédentaire, il représente la figure de l'autre, de ce qui est différent, déroutant, déconcertant, anomique. « Le retour de Dionysos chez lui à Thèbes, s'est heurté à l'incompréhension et a suscité le drame aussi longtemps que la cité est demeurée incapable d'établir le lien entre les gens du pays et l'étranger, entre les autochtones et les voyageurs, entre sa volonté d'être toujours la même, de demeurer identique à soi, de se refuser à changer, et, d'autre part, l'étranger, le différent, l'autre ». A propos de ces deux animaux, citons les vers de Victor Hugo dans : « La légende des siècles », le 26, Le Satyre « Fussiez-vous dieu, songez en voyant l'animal Car il n'est pas le jour, mais il n'est pas le
mal Est dans la brute, larve auguste et solitaire ». Dans l’un de nos premiers brouillons on comparait ces premiers personnages à l'organisation d'une Loge Maçonnique. C'était quand même nous le pensons près de 30 ans après : « Vous faire trop d'honneur, nous faire trop d'honneur ». 9) Les rois mages : Musique Préconisée - Is There Somebody Else - 2 minutes 47 - Suinter vers une minute Mais revenons à notre petit monde ; il nous manque les Rois Mages du reste, selon la Bible, ils viennent plus tard, le 6 janvier, et c'est la raison qui nous les fait placer en avant dernier dans la crèche. Le dernier Santon que nous plaçons est bien entendu le « Petit Jésus » (que nous appelions avec notre voix enfantine le « Petit Têtu ». Seul l’Évangile de l’Apôtre Mathieu en parle. Chapitre 2, Versets 1 à 12) La visite des mages 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 On le constate : Mathieu ne précise ni le nombre, ni leurs noms et il ne dit rien sur une royauté. Cette royauté (sauf erreur) peut se retrouvé en lisant le psaume 72, les versets 10 et 11. 10 11 Sur le nombre de Mage qui sont venu rendre allégeance au Fils De Dieu tous les chiffres ont été proposés entre deux et douze. (À notre connaissance jamais un seul) douze peut s’expliquer par le nombre des Tribus d’Israël. Le trois est resté grâce ou à cause des présents. La seule précision qu’il donne c’est qu’ils sont venus d’Orient En Franc-Maçonnerie le Vénérable et placé à l’Orient. Voici un petit extrait d’un des nombreux Rituel d’Ouverture pratiqué dans une Très Respectable Loge de langue française. Vénérable : Premier Surveillant : Vénérable : Premier Surveillant : Vénérable : Second Surveillant : Vénérable : C'est une tradition postérieure, nous dit (entre autre) le Petit Larousse, qui leur a donné les noms de Melchior, Gaspard et Balthazar. (Avec des orthographes variées). Ces noms traditionnels de Gaspard, Melchior et Balthazar apparaissent pour la première fois dans un manuscrit du VIe siècle, conservé à la Bibliothèque Nationale de France à Paris et intitulé Excerpta Latina Barbari. Ils y sont désignés sous les noms de Bithisarea, Melichior et Gathaspa. Vers la même époque, ils apparaissent dans un écrit apocryphe, l'Évangile arménien de l'Enfance, qui leur donne les noms de Balthazar, Melkon (Melchior) et Gaspard. Référence l’un des nombreux sites Internet consacrés à nos héros. (Site dont nous avons perdu les références). Qui sont-ils ? Des savants, des astrologues, des prêtres de la religion de Zoroastre ? D'où viennent-ils ? De Perse qui se trouve à l'orient d'Israël. Le Nouveau Dictionnaire Biblique, édition Emmaüs, [1979] nous dit à propos du mot Mage « qu'il vient du perse « magau » qui veut dire grand. Les mages étaient une caste sacerdotale formant l'une des six tribus de Médée. Les Mages adoraient l'air, la terre, l'eau et surtout le feu » (Fin de citation). Eléments que nous retrouvons lors des Voyages Initiatiques au degré d’Apprenti. Ils sont donc aussi un peu Divins, ils sont même Magiciens. Ils sont à l'opposition des Bergers. De par leurs titres de rois ils personnifient la puissance temporelle. Ce sont des chefs ; ils gouvernent. Ils sont par leurs pouvoirs l'incarnation de la volonté divine. En venant admirer l'enfant, ils reconnaissent plus puissant, plus grand qu'eux. Ils viennent faire allégeance à leur souverain. Ils placeront de ce fait la Chrétienté et plus tard la papauté plus haute que le pouvoir civil, avec toutes les intolérances que nous connaissons et les dogmes que nous savons. Les cadeaux : Les Mages ne viennent pas les mains vides ; ils apportent des présents. Les cadeaux que nous faisons encore à Noël sont la survivance tenace des dons que les Mages firent à Jésus. La notion de donner et de recevoir et importante dans la BIBLE à titre d’exemple : Lévitique 25 : 38 Deuteronome 1 : 8 1 Rois 9 : 11 Proverbes 1 : 4 Matthieu 7 : 11 Matthieu 20 : 28 Luc 22 : 47 Jean 13 : 29 Jacques 3 : 12 1 Jean 3 : 16 Deutéronome 9 : 9 Jérémie 17 : 23 Matthieu 21 : 34 Apocalypse 5 : 9 Sans vouloir créer une polémique nous vous rappelons qu’en Franc-Maçonnerie à part les poignées de mains, les belles promesses, les Francs-Maçons ne se font que peu de cadeau... Nous ne parlons pas des « fraternelles » ou sous le couvert de fraternités des petits échanges se font – cela n’a rien de Maçonnique et bien des « affaires » qui salisse notre ordre se font autour d’un digestif…et d’un gros cigare. Seul et rare moment d’échange, c’est après une Initiation, un Passage, une Augmentation de Salaire, lorsque le Parrain Maçonnique donne à l’impétrant un livre ([presque] toujours le même « La Franc-maçonnerie Rendu Intelligible A Ses Adeptes » d’Oswald Wirt édition Dervy). A l'époque de la « Nativité », les présents avaient des symbolismes beaucoup plus fort qu'actuellement. Du reste, nous voyons dans les cadeaux que nous faisons plus une forme de politesse et de savoir-vivre qu'autre chose. Ne parlons pas des « cadeaux » qui sont plus des « pots de vins » qu'autre chose. (Appeler « retour sur commission », donner et recevoir (voir les versets de la Bible) ce n’est qu’un échange de bons procédés). Que représentent, les présents que les Rois Mages offrent en cadeau ? Ils apportent de : L'OR, L'ENCENS, et de la MYRRHE. L'OR : L’or est un élément chimique de symbole Au (du latin aurum) et de numéro atomique 79. Métal précieux très recherché et apprécié sous forme de parures ou de pièces de monnaie depuis l'aube des temps historiques. L’or se présente sous forme de pépites, qui peuvent avoir été réduites en poudre ou en paillettes, par érosion mécanique. L'or pur est un métal noble, le plus malléable et ductile des métaux connus, à la fois dense et tendre. Sa couleur jaune brillant qui ne s'oxyde ni à l'air ni dans l'eau : le fait qu'il préserve son éclat, perçu comme esthétique par toutes les cultures humaines, lui confère l'essentiel de sa valeur. L'or trouve des applications en odontologie, électronique, en raison de sa très bonne tenue face à la corrosion et de son excellente conductivité électrique, mais sa principale utilisation demeure la thésaurisation. L’art du travail de l’or est l’orfèvrerie. Source « WikipédiA » (encyclopédie libre). L'OR est considéré comme le métal le plus précieux ; C’est Melchior qui serait selon l’iconographie usuel un vieillard de peau blanche avec une longue barbe blanche qui offre l’OR. [Même, si de nos jours des métaux ont sur le marché boursier une valeur plus grande telle que (sauf erreur) le platine, le palladium, le rhodium. L'or et l'argent ont perdu de leurs intérêts quant bien même en orfèvrerie. Ils restent très prisés de nos Sœurs]. L’OR est Solaire, il est même Royal, voire Divin. En Egypte, chez les pharaons, l'or est le symbole de la connaissance. D'après le Dictionnaire Des Symboles, l'or a été un des symboles de Jésus. On comprendra mieux pourquoi des artistes chrétiens donnèrent au Christ des cheveux blonds, dorés comme à Apollon, et placèrent une auréole sur sa tête. Mais l'OR, monnaie, est un symbole de perversion et d'impureté. Question restée sans réponse, pourquoi les Rois Mages n'ont-ils pas apporté des diamants qui sont aussi très symboliques ? Ou d’autres pierre précieuses, d’autres métaux qui à l’époque qui nous intéresse était considéré comme précieux. L'Encens : 1 2 3 « Mais vous avez cent fois notre
encens refusé, … » 4 5 Arbre d'encens, plusieurs arbres produisant des résinés, tels que les amyris, les bursera, les icica, … C’est Gaspard aux traits asiatiques qui offre ce parfum. Deux symbolismes se dégagent de l'encens, celui du parfum et celui de la fumée. La fumée symbolise la montée de la prière vers le ciel, bien entendu, mais aussi la fumée est l'image des relations entre la Terre et le Ciel. Dans la Chine antique, la fumée de jonc (en argot jonc veut dire or), et de roseau jouait un rôle de purification rituelle au même titre que l'eau et le feu. La fumée de l'encens est aussi utilisée chez les Indiens d'Amérique du Nord comme fonction purificatrice. Pour en terminer avec l'encens, ajoutons qu'il est comparable à l'élément air. La myrrhe : La myrrhe est une gomme-résine aromatique produite par l'Arbre à myrrhe (Commiphora myrrha ou Commiphora molmol), appelé aussi « myrrhe ». Une gomme à peu près similaire, le baume de La Mecque, est produite par Commiphora opobalsamum. Elle pouvait être un des multiples constituants de la thériaque de la pharmacopée maritime occidentale au XVIIIe siècle. Le mot vient du latin murra ou myrrha, lui-même emprunté au grec, l'étymon est certainement dérivé de la racine sémitique mrr « être amer » (une des composantes de l'odeur de la myrrhe) attesté dans toutes les langues sémitiques anciennes (hébreu : mōr). (Diverses sources et concordantes) La myrrhe est comme chacun le sait une racine odorante et médicale (Pour nous rappeler que le Christ a une odeur de sainteté, expression qui deviendra à la mode, et que le Christ soignera les malades). La myrrhe représente l'élément terre. Mais pourquoi avoir fait des dons de parfums et non pas de valeur pécuniaire, des richesses temporelles (comme des actions cotées en bourse), c'est que le Christ doit être pauvre pour remplir son ministère et qu'il ne fait que passer sur cette terre ; l'argent ne peut pas l'intéresser. D'autre part, les parfums ont une signification autre, plus ésotérique, plus évocatrice de mystère. Il nous faut rappeler le rôle très important des senteurs, des odeurs dans les religions, en particulier chez les Hébreux, où les aromates jouent un rôle important, primordial. La subtilité insaisissable et pourtant réelle des parfums représente une présence spirituelle et la nature de l'âme y joue un rôle purificateur. Il est aussi, il faut le souligner, un élément de lumière. Pour mémoire, les Égyptiens embaumaient leurs morts et les Grecs jetaient des parfums sur les statues de leurs dieux. Et nous dégageons tous une odeur, chaque être, chaque individu, chaque chose, chaque endroit a son odeur particulière (la forêt, une maison abandonnée, la mer, le feu, un homme). L’odeur d’un fumet ne nous met-il pas les papilles en ébullition. Arrêtons-nous là pour les parfums. Donc, les trois Rois Mages ont apporté en présent à l'Enfant-Dieu. De l'OR comme à un roi, De l'ENCENS comme à un dieu, et de La myrrhe comme à un homme promis à la mort. Après avoir rendu hommage à « L’Enfant Dieu » Ils sont partis, nous dit la Bible, par un autre chemin; ils ont fait une boucle, un tour - circombulation dirons-nous. Comme nous faisons, nous Francs-Maçons des voyages lors de notre Initiation et des autres montées de degrés. Voyages qui nous ramènent toujours à notre Place. On aura aussi remarqué qu’ils sont : Blanc de type Européenne
(Melchior), Jaune de type Asiatique (Gaspard), Noir de type Africain (Balthazar). 10) Le cercle : Musique préconisée - Li Pastoureu - 2 minutes 57 -Pensez à suinter Le Cercle représente le temps. Il exprime aussi le souffle de la divinité, sans commencement ni fin. Dans la tradition islamique, la forme circulaire est considérée comme la plus parfaite de toutes et il est aussi un symbole de protection. C'est comme cela qu'il faut voir, nous le pensons, le périple des Rois Mages. Entre parenthèses, le cercle protecteur prend la forme pour l'individu, de la bague, du bracelet, du collier, de la ceinture, de la couronne. Elle sera d’épine pour « Le Fils De L’Homme ». Pour tracé un cercle, les Francs-Maçons utilisent un compas… Transition : Les principaux personnages de la pièce (le drame de la crucifiassions se jouera plus tard à une autre Tenue) sont posés ; Il nous reste ce nous appellerons les rôles de figuration, tels que l'Archange Gabriel, le messager de Dieu, son porte-parole, venu nous rappeler l'annonce faîte à Marie et la visite aux Bergers. Les provinciaux parmi d’autres, ont rajouté au cours des ans, des statuettes (Santons) des personnages qui représentent tous les métiers de la création. L'énumération de tous ces métiers et de leurs symbolismes serait trop longue et n'a pas de véritable justification dans cette Planche d'Architecture. Il nous faut maintenant placer ce petit monde dans un lieu, un endroit géographique ; dans nos appartements, nous plaçons la Crèche sous le sapin. Mais revenons au symbolisme. Que nous dit la Bible sur le lieu de naissance du Christ. La Bible est avare de détails, une bergerie, une maison, une écurie (l'âne et le bœuf), une grotte. Pourquoi la grotte s'est-elle imposée à notre esprit ? Pourquoi pas un hôtel ? Une auberge ? Il fallait une grotte, autrement la symbolique n'aurait pas été complète. (L'hôtel ne fait pas pleurer dans les chaumières autant que la crèche). La caverne : La caverne, (cavité naturelle dans la roche nous indique le Littré) ou la grotte (cavité naturelle dans un rocher nous indique le même Littré) comme vous voulez, est une excavation naturelle, vaste et profonde. C'est une chambre naturelle souterraine. La caverne est l'archétype de la matrice maternelle. La caverne figure dans les mythes de renaissance et d'initiation de nombreux peuples. La grotte est aussi considérée comme réceptacle d'énergie tellurgique. C'est un lieu de renaissance. Dans d'autres religions, que ce soit toyste, zaroustienne. Qu’elles viennent de Chine, d'Inde, d'Egypte, du Mexique, la caverne représente un centre. C'est la raison pour laquelle on place la naissance de Jésus dans une grotte. La grotte représente le centre du monde. Le crâne du Cabinet de Réflexion est une caverne. La naissance d’un sauveur dans une caverne appartient aux légendes Parthes du Saoschian-Mithra qui inclut le mythe de la fécondation virginale de la Mère. 11) Le sapin : Musique préconisée - Mon Beau Sapin - 2 minutes - En entier Noël ne serait pas complet sans l'Arbre de Noël, le trop fameux sapin. Même si nous avons vu les principaux symboles se rapportant à la naissance de Jésus, le sapin, ses boules, ses guirlandes, ses bougies, sa flèche, ont leurs symboles propres et ils peuvent nous apporter quelque chose, nous enrichir, oserais-je le dire ? Nous ILLUMINER, nous réchauffer. (Nous l’avons dit). Tout le monde le sait. Les journaux dans leurs [marronniers] platitude annuelle nous l'ont souvent rappelé, l'Arbre de Noël, et le sapin, arbre résineux d'Europe centrale qui pousse entre 500 et 1500 mètres d'altitude, - donc nous ne le trouvons pas, bien entendu, en Palestine, lieu de notre histoire - c'est une légende venue du froid, des pays scandinaves. Nous voyons mal un palmier recevoir des boules, des guirlandes. Mais cet arbre, que peut-il représenter pour nous comme symbole ? Reprenons encore une fois le Dictionnaire Des Symboles. Sa lecture va nous apporter une partie de la réponse : l'Arbre est l'un des thèmes les plus riches en symbolisme, l'un des thèmes les plus répandus. Il est le symbole de la vie, en perpétuelle évolution. Il est mort et résurrection. Par ses racines, il fouille les profondeurs de la terre-mère. Son tronc a la surface entre ciel et terre. Enfin son sommet monte vers le ciel, vers les nuées. La terre s'intègre à son corps par les racines. L'air nourrit ses feuilles (ses épines). Le feu jaillit de son frottement. Il est souvent considéré comme axe du monde. Il est, nous dit la Bible (La Genèse), arbre de vie, de savoir. Par sa racine, il représente l'enfer. Sa cime est le paradis. Chapitre 3 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Certaines traductions parlent de plusieurs ARBRES. Celui de la connaissance, celui du savoir etc. N'oublions pas encore une chose primordiale : il est un symbole phallique dans presque toutes les religions païennes. Pour finir, disons que le Christ est mort sur du bois, serait-ce de l’acacia (comme le buisson ardent de Moïse ?) [A chaque mythe sa légende, à chaque légende son mythe] comme certains le disent, et que dans la tradition juive et chrétienne, l'arbre symbolise la vie de l'esprit. Le SAPIN représente par ses aiguilles la multitude humaine ; c'est dans le fond le signe de ralliement au christianisme. Ses branches nous indiquent les 4 points cardinaux, directions que prendront plus tard les disciples pour enseigner « La Bonne Parole » entre guillemets. Nous accrochons les BOULES (qui n’ont pas forcément une forme de sphère), les guirlandes, la flèche (que nous plaçons au faîte [sommet] de l’Arbre. Les boules ce sont des sphères, les planètes telle la terre, les étoiles telle le SOLEIL, le cosmos, c'est tous les œufs du monde. Les boules sont en général de différentes couleurs. Là aussi le symbolisme des couleurs est important. Nous l'esquissons en quelques lignes :Le jaune = l'or, le soleil, Les boules d'argent = la pureté, Les boules vertes - comme vous le savez, c’est l'espérance de la Nouvelle Alliance, Le rouge, c'est le feu, le sang, l'action, la passion du Christ sur la Croix. La pointe : Musique préconisée - Minuit Chrétien - 3 minutes 44 - On peut si le temps manque suinter. Le symbolisme de la pointe est facile à comprendre, c'est la flamme montante du Christianisme naissant qui monte vers le ciel, en quelque sorte un GLAIVE FLAMBOYANT. Les guirlandes sont la représentation symbolique de la chaîne que les hommes formeront comme chrétiens, et par ses reflets d'argent, elle illumine, elle reflète la clarté des bougies. Lorsque nous formons notre Chaine d’Union nous formons une guirlande et si l’égrégore passe nous illuminons la Loge. Ce qui est malheureusement trop rare… La bougie symbolise la Lumière. Dans la flamme d'une bougie, toutes les forces de la nature sont actives. La flamme est verticale. Un léger souffle suffit à la faire vaciller ; c'est la force ascensionnelle de l'âme. C'est la lumière du Christ-Roi. La bougie contient trois parties distinctes. La cire qui représente le corps, le travail ; la mèche qui fait fondre, qui consume la cire ; La flamme dont la mèche est l'axe indispensable, flamme qui représente l'esprit, le savoir, la connaissance. La flamme est notre âme. Nous voilà arrivés presque à la fin de l'énumération des pièces du dossier, mais avant d'aborder le repas et son rituel, il nous faut revenir maintenant sur la date et l'heure à laquelle nous célébrons, nous vivons là Noël. A nouveau, nous ferons appel au livre de Daniel Rops « Jésus en son temps » Comme nous l'avons vu au début de cette Planche, Jésus serait né en été ou dans une saison chaude pour que les Bergers puissent faire paître leurs troupeaux. Alors pourquoi la date du 24 décembre à minuit ? C'est la date du solstice d'hiver (nous savons que c'est le 21) mais que voulez-vous, un pape une fois s'est trompé et voilà le 24 au soir immortalisé. C'est vraiment la tradition, puisqu'au 3ème siècle, Clément d'Alexandrie tenait pour la date du 19 avril. (Comme déjà dit, on a aussi proposé les 29 mai et 28 mars. Dans les églises d'Orient, c'est le 6 janvier.) Mais pourquoi changer la date maintenant, puisqu'il y a plus de 1630 ans que nous fêtons là Noël la nuit du 24 au 25 décembre. Cette date du 24 est à rapprocher de la fête du dieu Mithra (ou du Soleil invincible). Placée en concordance avec le Solstice d'Hiver. (Entre parenthèse, ce n'est pas la seule fête chrétienne qui ait une concordance avec des fêtes païennes ; disons même qu'elles ont toutes une concordance, un point commun, le 24 est bien pris comme Solstice d'Hiver qui ouvre la phrase ascensionnelle du cycle annuel). Il représente la Nouvelle Alliance, le renouveau de la parole de Dieu, la promesse. Pour le nombre 24, il faut rappeler que la Bible connaît 24 classes de prêtres, 24 classes de chantres. Le nombre 24 indique la double harmonie du ciel et de la terre. Il y a 24 heures dans un jour, 24 est le multiple de 12, 12 est le nombre des apôtres, des Tribus d'Israël, donc 24 intensifie le caractère sacré. Pour finir avec les nombres 12 et 24, disons que c'est au douzième mois de l'année que nous plaçons la naissance de Jésus et que la 24ème heure représente, comme le Solstice, le renouveau de la journée. Le jour finit à minuit et commence à minuit. La date indique clairement pour les chrétiens le renouveau. 13) La table : Le manger Musique préconisée - Symphonie - Pour Les Soupers Du Roi - 2 minutes 30 - Suinter à une minute Passons maintenant à table. Que représentent symboliquement le ou les repas que nous prenons le 24 ou le 25 pourquoi mettre les pieds sous la table avant ou après la Messe de minuit (qui débute à zéro heure) ou chez les protestants ou le Culte fini à minuit ? N’oublions pas que les Orthodoxes, les Coptes pour ne citer qu’eux commémorent la naissance du Christ à d’autres moments, avec d’autres solennités. Une Agape, un Banquet rituel, le fait de se réunir autour d'une table pour manger à l’occasion d’une fête est quasiment universel. C'était d'abord un repas anthropophagique, puis de millénaires en millénaires, les mœurs ayant un tout petit peu changé, nous mangeons des dindes. (Dans d’autres régions, c’est une oie, de la morue, une carpe etc.) Le Banquet était souvent constitué par des offrandes préalablement consacrées. Donc, nous pouvons dire que les Cadeaux que nous faisons le 24 (ou le 25) ne sont pas uniquement pour commémorer les présents des Rois Mages, mais bien par une survivance du passé. Le Banquet est d'une façon générale le symbole de la participation à une société, à un projet, à une fête. Le Banquet est aussi un rite d'alliance. Ne pas confondre Banquet, Agape, et simple repas ou l’on met, « Les petits plats dans les grands » Il y a des repas pour les baptêmes, les mariages, les enterrements. Etc. Dans les bandes dessinées « Astérix » il y a un monstre banquet final ou le barde (chanteur) est exclut…alors que souvent la musique accompagne les banquets nous passons au souper du Roi de Lully ou à Telemann… L'Oiseau : (Certaines traditions servent une carpe…nous renonçons à aborder les différents mets servi à Noël). La dinde, cet oiseau qui nous vient d'Amérique, que représente-t-il ? C'est le symbole de puissance virile et de fécondité maternelle, et puis c'est probablement le volatile le plus prolifique ; c'est tout ce que nous savons sur les repas ; La buche : La buche de Noël représente le tronc du sapin et nous avons aperçu la symbolique de l'arbre précédemment. La question est de savoir si dans d'autres religions, d'autres croyances, d'autres ethnies, l'on retrouve les mêmes légendes, les mêmes histoires, les mêmes contes, les mêmes symboles ? La réponse est, vous le savez déjà, OUI Sans contestation possible. Bon, nous savons aussi bien que vous qu'on ne peut pas retrouver exactement la même histoire partout ; il y a forcément des différences assez notoires et Noël est un amalgame de différentes légendes, telles que Mithra, né le 25 décembre ; Hathor sauvée en Egypte avec Horus, enfant sur un âne, poursuivi par Seta. Les religions Celtiques ont-elles aussi d’histoires semblables. A la naissance de Krichna, le méchant roi Kamsa ordonna l'assassinat de tous les bébés du pays (comme Hérode). La croix, à laquelle on a pendu les condamnés était un triple poteau (en grec « stauros ») qui n'avait rien de commun avec cette forme symbolique apparu bien des siècles avant notre ère. Ces informations viennent de RENAN. La Vierge, la mère de l’enfant Jésus, Marie est une déesse, ou même une bête suivant les régions et les religions. L'enfant n'a pas de père, etc. etc. Comme nous l’avons déjà dit : Mais, et il faut le souligner par contre, son lieu de naissance est presque toujours une grotte et il doit presque toujours se sauver, que ce soit en Inde, en Chine, en Amérique. Des Rois, des Bergers, des Mages ou leurs équivalences, viennent le reconnaître et l'admirer. Nous pouvons dire que l'archétype de Noël est universel, qu'il a toujours existé et, si Dieu prête vie à la terre, dans 5000 ans un nouveau Noël sera raconté aux enfants. 14) Le père Noel : Musique préconisée - Petit Papa Noël - 3 minutes 30 - En entier Il reste le Père Noël qui arrive porteur de cadeau, de présent, comme les Rois Mages sont venus apporter leurs cadeaux. Mais d’où vient le Père Noël il a un « ancêtre » et pas n’importe qui. C’est, Nicolas de Myre (ou de Bari) né en Lycie à Patara en 270 décédé en 345. Saint Nicolas puisqu’il s’agit de lui est fêté le 6 décembre. Parmi d’autres sources Wikipédiat nous apprend : Saint Nicolas intervient au IVe siècle pour sauver trois officiers (ou trois notaires) que la légende transforme en petits enfants sortant du saloir. À la Saint-Nicolas, la tradition veut que les enfants qui, durant toute l'année, ont été sages, reçoivent des friandises, de nature variable selon les régions, et des cadeaux. Ceux qui n'ont pas été sages se voient offrir un martinet par le père Fouettard, ce qui est rare, car il est possible de leur pardonner s'ils se repentent. Il est Saint Patron des Lorrains, des Russes, des Fribourgeois, (en suisse) des Ovillois, des écoliers, des étudiants, des enseignants, des marins, des hommes et femmes souffrant de stérilité, des célibataires, des vitriers, des bouchers, des voyageurs. Suivant les régions, les notaires se placent sous la protection de Saints différents parmi lesquels : Saint Lazare, Saint Luc, Sainte Catherine, mais le plus souvent Saint Nicolas, Saint Marc et saint Yves. Il y a un Saint Nicolas d’été fêté le 9 mai et un Saint Nicolas d’hivers fêté le 6 décembre (anniversaire de sa mort). (Comme pour nous il y a un Saint Jean d’été et un Saint Jean d’Hivers). La légende de Saint Nicolas est à l'origine du personnage du Père Noël : Les Hollandais exportèrent au XVIIe siècle à la Nouvelle-Amsterdam (devenue New-York), la fête de Sint Niclaes ou Sinterclaes où, par déformation, « Sinte(r)claes » il devient « Santa Claus ». Selon une légende, Saint Nicolas se serait tenu peu après sa naissance tout seul debout, bien droit sur ses jambes. Il s'agirait de son tout premier miracle. Nicolas est mis à l'orphelinat à la suite d'une épidémie de peste. Par suite, il devient l'évêque de la ville de Myre, toujours en Lycie, située dans l'Anatolie du sud-ouest. Selon la tradition, il est présent au premier concile de Nicée en 325. Sa réputation de charité le fit proclamer Saint. Ses ossements sont conservés dans une église de Myre en Lycie jusqu'au XIe siècle. Ils ont la particularité de suinter une huile sacrée. Cette manne est connue dans l'Europe du Moyen Âge. Cette célébrité attire soixante-deux marins venus de Bari, qui volent et ramènent ces reliques le 9 mai 1087 en terre chrétienne à Bari. Une basilique lui est spécialement construite entre 1089 et 1197. Quelques fragments de la relique seront cédés à la cathédrale Saint-Nicolas de Fribourg. Suisse. Saint Nicolas ressuscite trois petits enfants. Bien que destinée aux enfants et à l'instar de tant de contes et de comptines, une des légendes de saint Nicolas est plutôt effrayante. « Ils étaient trois petits enfants qui, s'en allaient glaner aux champs » comme dit la chanson. Perdus, ils demandent l'hospitalité chez un boucher qui ne trouve rien de mieux que de les tuer, les découper et les mettre au saloir. Le Bon Saint Nicolas vient à passer sept ans plus tard et demande à son tour l'hospitalité. Il insiste pour manger le petit salé préparé sept ans plus tôt. Le boucher s'enfuit et saint Nicolas ressuscite les trois enfants ». Il semble que cette légende du meurtre et de la résurrection de trois enfants comporte une part de vérité. Elle remonte au moins au XIIe siècle. Selon certaines traditions, Le père Fouettard qui accompagne Saint Nicolas serait en fait le boucher de l'histoire. Pour lui faire regretter son méfait, Nicolas l'aurait condamné à l'accompagner lors de sa distribution de récompenses, en lui assignant la tâche de punir les enfants désobéissants. Une morale de la comptine, peut-être plus tardive, mais plus heureuse, fait s'enfuir le boucher ; saint Nicolas l'interpelle et lui dit que s'il se repent, Dieu lui pardonnera. Selon certains, le Père Fouettard est une invention des Messins lors du siège de leur ville par les Impériaux, en pleine période de festivité de la Saint-Nicolas en 1552 après la mise en place du protectorat français. De là leur serait venue l'idée de se moquer de l'assiégeant, Charles Quint, en le représentant sous les traits du boucher de la légende de saint Nicolas. La vie de Saint Nicolas est remplie d'anecdotes souvent représentées dans l'iconographie religieuse : ainsi, apprenant qu'un père n'a pas de quoi fournir une dot de mariage à ses trois jeunes filles et qu'il n'a d'autre moyen de survivre que de les livrer à la prostitution, Nicolas jette des bourses pleines d'argent dans leurs bas qu'elles avaient mis à sécher sur la cheminée. Grâce à lui, le père peut préserver l'honorabilité de ses filles et de son nom afin de leur assurer un mariage respectable. C'est pour commémorer ce geste qu'à la Saint-Nicolas, les enfants reçoivent une orange, anciennement appelée pomme d'or. Il sauve également de la tempête les marins d'un bateau portant une cargaison de blé pour la ville de Myre. En France Fêter Saint-Nicolas le 6 décembre est dans le nord-est (Alsace-Lorraine) une tradition très vivace : Les enfants des écoles reçoivent des oranges et une brioche en forme de bonhomme connue sous le nom de « mannele ». En Belgique et aux Pays-Bas. Le 6 décembre en Belgique et le 5 décembre aux Pays-Bas, la fête de Saint Nicolas est l'un des événements les plus importants pour les petits Belges et Néerlandais. Saint Nicolas défile dans les rues des grandes villes, sur le dos de son âne, accompagné du Père Fouettard, en distribuant des friandises et des speculoos aux enfants. Le jour où se déroule la fête les enfants se lèvent et découvrent, comme à Noël, un cadeau, des bonbons et des spéculoos en forme de saint Nicolas. Dans les écoles, il est fréquent que les élèves reçoivent soit un cadeau, soit un paquet de bonbons. Saint Nicolas étant le patron des écoliers, chants, musiques et danses rythment la journée. En Belgique, certaines entreprises distribuent le 6 décembre un petit colis (speculoos, chocolat et mandarine) à leur personnel. Saint-Nicolas est une manifestation très vivante en Belgique et aux Pays-Bas, où elle est aussi importante que Noël. On constate un certain alignement de cette fête avec celle de Noël: Ainsi par exemple, les cadeaux du matin du 6 décembre se trouvent parfois au pied d'un Sapin de Noël. Selon les différentes traditions régionales ils sont tenus de s'affubler de pyjamas, bonnets de nuits ou de sabots de la Lorraine, de la Russie, de la ville de Houilles, de la ville de Fribourg, de l'île de Terre-de-Bas aux Saintes, de l'Université de Valladolid en Espagne, de la ville de Bari en Italie. Célébrée en Allemagne, Autriche, Belgique, Croatie, France (pays Lorrain et Alsace, Luxembourg, Pologne, Suisse (Suisse Allemande jusqu'à Fribourg). Ces informations sont conformes aux autres sources consultées (dictionnaires, revues, etc.). Dans certaines familles, la coutume veut que le Père Noël arrive à la fin du repas, avec sa robe rouge, sa hotte et sa grande barbe blanche. Dans bien des familles cela peux devenir sujet à dispute d’après « ripaille ». Dans l’une de nos familles, c'était un des oncles qui tenait ce rôle. Sa voix, reconnaissable entre toutes, a fait que très vite l’enfant de quatre ou cinq ans l’a reconnu et n’a plus cru au Père Noël - ce qui vexa beaucoup ce tonton et provoquât une belle altercation verbale. Il a fallu que ce gamin rentre en maçonnerie pour qu’il y croie de nouveau - que bien vite il déchante - car la Franc-Maçonnerie a les mêmes travers que le monde profane célébrant la venue du Messie - beaucoup de belles déclarations bien peu de réelles Fraternité - une fois le joli papier de fête jeté à la déchetterie, il ne reste que des cartons et des objets pas toujours bien choisi…. Et qu’on garde au fond d’une armoire avant d’en faire don à une vente de paroisse pour avoir bonne conscience… Cette décrétions entant faite revenons à Chalande, (autre nom du Père Noël parmi de très nombreux noms qu’on donne à ce personnage d’une mythologie récente). Tiens, il frappe à la porte ; que nous apporte-t-il comme symboles ? Dans les foyers où la joie d’un jour de Fête l’on voit « un bon vieillard débonnaire, joufflu portant sur son dos une hotte débordante de cadeaux ». Selon certain auteur, il serait un Dieu laïque né d’un Saint (Saint Nicolas). Noël est-il masculin ou féminin ou d’un autre genre doit-on dire LE Noël ou LA Noël. Les dictionnaires consulté le présente au masculin mais parle plus volontiers nous disent-ils au féminin. C’est en 425 que l’empereur Théodose codifia les cérémonies de Noël et en fit une fête Chrétienne. L’Eglise de Rome fixa d’une manière définitive la Nativité le 25 décembre en 440. (En 601 le Pape (Rome) Grégoire Premier aurait déclaré : « Ne détruisez pas leurs temples païens, mais transformez-les en églises chrétienne, baptisées du nom des Saints. Par la force de la coutume, le peuple continuera à venir là et vénéra désormais leur nouveau Dieu. Leurs sacrifices d’animaux devraient être maintenus, mais transformés : au lieu de purs sacrifices, ils fourniront la matière d’un repas chrétien en l’honneur de Dieu ». Notons que les réformateurs tel un John Knox interdit de fête Noël car disait-il c’est une fête païenne… Les Protestants fêtent le 25 décembre avec un peu moins de solennité que les Catholiques (Romains ou Chrétiens) les Luthériens et les Calvinistes ont redonné une certaine solanité à la Nativité. Les Témoins de Jéhovah, ne fête pas Noël. C’est sous l’influence d’une firme de soda d’Atlanta (en 1931) que le costume du Père Noel s’impose définitivement en rouge. La symbolique du Père ; symbole de la possession, de la domination, de la valeur. Le père est Dieu pour les petits-enfants que nous sommes restés ; le Père est le patron, le chef, le professeur. Le Père Noël avec le martinet représente la justice, la bonté, la droiture, la miséricorde. Dans le cas présent, en termes psychanalytiques, il serait castrateur, Extrait du dictionnaire de psychologie : Mot utilisé fréquemment par les analystes dans la conversation mais rarement dans les formulations théoriques. Se rapporte à des individus qui ont l'habitude de saper chez les autres toute confiance en soi. Dans le premier cas, il s'applique aux femmes qui souffrent d'ENVIE DU PÉNIS et en conséquence déprécient les hommes ou entrent en compétition avec eux. Dans le second cas, il s'applique aux pères qui sapent leurs fils, mais par extension ce terme peut même être utilisé pour des hommes qui ont l'habitude de susciter chez les femmes l'impression qu'elles sont sans attrait, ou incompétentes avec leurs enfants. Les experts en psychologies oublient qu’un bon chapon, qu’une excellente poularde est aussi des mets que l’on sert à Noël (voir à nouvel ans). Saint Nicolas – Père Noël - Chalande représente l'autorité. Notons que suivant le pays, la région, le continent l’appellation varie, à titre d’exemple : AllemagneSaint Nicolas – Frau Holl Angleterre Father Christimas – Father Frost (Père Grive) France Père Noël – Père Janvier et une bonne dizaine d’autres noms Grèce Saint Basile (fêter le premier janvier) Italie Babbo Natalaas (enfant Noël) Russie Petit Père Gel ou Père Givre (fêté le premier janvier) Suisse Saint Nicolas (fête le 6 décembre) Chalande (fêté le 25 décembre) Notons que publicité « oblige » Chalande t’en à s’effacer devant Père Noël. Ces personnages sont souvent accompagner d’un
« méchant »
d’un homme noir. Ces accompagnants ont pour rôle de punir les enfants qui ont mal travaillé à l’école, qui n’ont pas été sage, qui ont fait des bêtises et qui ne méritent pas les cadeaux (que les parents [papa, maman, les grands parents ont acheté dans la bousculade des derniers préparatifs alors que depuis le 26 décembre l’on sait que l’année prochaine le 25 sera de nouveau une soirée à crise de foi, de foie… En Suisse le Père Noël est souvent accompagné dans sa tournée de remise des cadeaux pour la Mère Noël dont le nom et Lucile.Comme vous le savez, Sainte Lucile (qui est fêtée le 13 décembre) qui veut dire Lumière est fêté au solstice d’hivers est : L’Allemagne connait aussi des Mères Noël Holda ou Holt et Perchta mi sorcières mi fées. Laissons là la féminisation du Père Noël…pour dire qu’un personnage du folklore français la « Tante Arie » s’approche de l’allemande Perchat. Comme les Chamanes le Père Noël pénètrent dans les maisons par la cheminé… [Il on donc parfaitement erroné de penser qu’il vide le coffre de sa voiture, qu’il se coince dans les portes d’un assesseur]. Le Chamane (ou shaman) se représente comme l’intermédiaire ou l'être intercesseur entre l'Homme et les esprits de la nature, il est à la fois « un sage, un thérapeute, un conseiller, un guérisseur et un voyant ». Il « EST » l'Initié ou/et le dépositaire de la culture, des croyances, des pratiques du chamanisme, et d'une forme potentielle de « secret culturel ». On le trouve principalement dans les sociétés traditionnelles ancestrales où il arbore des parures et pratique dans le secret. Peuples de Sibérie, du continent Nord Américain etc. La barbe : La barbe est un symbole de virilité (nous verrons personnellement nos sœurs à la sortie), de courage (Nous courons plus vite que leurs maris), de sagesse (Nous n’aurions pas dû dire les phrases entre parenthèse - que voulez-vous, nous Maçons nous venons du Monde Profane et à Noël, l’on sait qu’on est beaucoup pardonner). Jupiter, Neptune, Vulcain, sont représentés barbus, Dieu et Jésus, faut-il le rappeler, aussi. Dans l'Antiquité, on donnait une barbe postiche aux femmes et aux hommes qui avaient fait preuve de grand courage et d'une grande sagesse. Rappelons que les Hébreux, avaient la barbe. La barbe blanche du Père Noël est bien entendu un signe de vieillesse. Ce serait trop long de vous dire ce que les vieux- les Anciens - représentent symboliquement. Le manteau : Le manteau, vêtement royal des dieux : revêtir le manteau, c'est indiquer le choix de la sagesse, c'est assurer une fonction, un rôle dont le manteau est l'emblème visible aux yeux des profanes. Comme nous l’avons vu précédemment sa couleur rouge est relativement récente. (Avec les nouvelles ordonnances et règlements lois concernant la circulation routière. Il devrait être jaune ?) La cheminée : Que nous ne trouvons guère dans les appartements modernes… La symbolique de la cheminée, c'est la voie de la communication avec les êtres d'en bas et les être d’en haut. La cheminée est aussi le canal ou le souffle qui anime le foyer, qui aspire la flamme. La cheminée est l'axe de la maison, là où se tiennent les veillées, où s'évoquent les coutumes des anciens, les contes. Donc il est naturel que le Père Noël vienne apporter ses cadeaux par la cheminée. Encore une fois, dans les symbolismes de Noël, tout se tient, tout est logique. Nous vous avons parlé d'histoire, de symbolisme, de légende. Il nous reste à voir la réalité de Noël selon certains. Nous disons bien selon certains, nous ne partageons pas leur avis, mais si nous n’en parlions pas, nous ferions preuve d'intolérance, ce que nous nous refusons puisque tout Franc-Maçon doit faire preuve de tolérance, sans tomber dans la faiblesse bien entendue. Il faut nous rappeler que Joseph et Marie sont profondément religieux. Ils sont proches de la secte des Zoroastriens, Esséniens secte que nous pouvons comparer aux premiers Calvinistes ou à des puritains anglo-saxons dont nous connaissons l'intolérance religieuse. Donc, il n'est pas possible à Marie d'être fille-mère ; elle serait rejetée de la société, de sa religion. Marie commettant la faute, comme l'on dirait dans la bonne société, Joseph qui est un bon bougre l'épouse. Mais ils sont obligés de fuir leur village ; le recensement n'est qu'un prétexte. Marie accouche à Bethléem d'un fils qu'elle nomme Emmanuel, prénom courant à l'époque. Ce père et cette mère veulent donner une éducation religieuse parfaite à leur enfant. Ils ne peuvent pas lui dire qu'il a été conçu hors mariage. Pour cela, il ne leur reste qu'une solution : dire qu'il a été conçu par l'Esprit-Saint, que des bergers et des rois-mages sont venus lui rendre hommage, alors que personne du village - nous l’avons déjà dit au début de notre Planche - ne sont venus pour l'admirer. Ces explications vont bien entendu marquer ce petit Emmanuel qui se fera appeler plus tard « Fils De l'Homme », qui rejettera son père terrestre, ne reconnaîtra pas ses frères et provoquera un scandale en chassant du TEMPLE des gens qui ne lui avaient rien fait. Il finira, comme tout révolutionnaire de l'époque, opposé à l'autorité romaine, sur une croix, croix qui n'en était pas une d'après les historiens mais plutôt un X. Pour plus de détails et pour vérifier nos dires, on vous renvoie à votre étude Biblique journalière ou à l'étude de Papa Freud. Conclusion : Musique Préconisée - Harpe « Maurice Ravel » - 2 minutes - Puis suinter Toute démonstration, toute conférence, toute Planche doit (devrait) finir par une conclusion. Que Noël soit un mythe universel, Que Noël soit une réalité, Que Noël soit une réalité déformée par le temps, personne de raisonnable ne saurais répondre et nous donnons notre langue au chat comme on dit dans le monde profane. Mais qu’il est beau de croire que c’est vrai, qu’il est rafraichissant de croire qu’il est vraiment venu, qu’il est vraiment trois en UN. Le Père, le Fils et le Saint - Esprit. A notre habitude, permettez-nous de faire deux citations « Tant chauffe-t-on le fer qu'il
rougit... « Sur le Noël morte-saison C'est de François Villon (vous l’avez reconnu). Vos frères ne sont ni Rabbins, ni Curés, ni Pasteurs, ni Popes, ni historien, encore moins féru en symbolisme. Ils ne sont que « imperfection » du monde profane venu chercher la Lumière en Franc-maçonnerie. Certains ont, nous le pensons, regretté de ne pas avoir suivi le film TV de ce soir, d'autres se sont assoupis, ce qui est bon pour les nerfs et le cœur. Votre délivrance, Très Chers Frères et Sœurs est proche. Si l'un d'entre vous, par une phrase ou une parole que l’Orateur a prononcée ce Midi a été éveillé et qu'il ne verra plus le Noël comme il le voyait jusqu'à présent, nous aurions rempli notre contrat, touché notre salaire. Après la conclusion chantée et une musique de méditation, nous répondrons si possible à vos questions, mais surtout on écoutera avec la plus grande attention, vos remarques. Quelle conclusion pouvons-nous tirer entre la Franc-Maçonnerie et Noël ? Plus nous retravaillions ce morceau d’Architecture, pour la rendre acceptable en temps de lecture, plus nous découvrons des parallèles et des concordances possible. Ce qui nous fît augmenter démesurément ce Tracé - ce Travail nous enrichi…La recherche du mieux être pour l'humanité en est une. Pour les autres, chacun d'entre nous doit pouvoir en se regardant dans SON MIROIR apporter sa propre réponse. Nous avons certainement commis des erreurs, des oublis, des redondances, enfoncé des portes ouvertes… Nous en assumons la responsabilité pleine et entière. Frère (ou Sœur) à la Colonne Harmonie, vous pouvez envoyer la musique. Musique de méditation Musique préconisée - Une Fugue de Bach En Si Mineur - 2 minutes 21 Frères (Sœurs) qui décorer les Colonnes, Vénérable Maître, Nous avons dit : J\ K\Question (s) Après les questions mais avant les conclusions de l'Orateur Musique préconisée - Dites Si C'était Vrai - 1 minute 30 Conclusion de l'Orateur de la Loge Pour Tracer ce Morceau d’Architecture nous nous sommes basés sur la bibliographie suivante. Bibliographie : Dictionnaire des symboles. Dictionnaire initiatique. Dictionnaire universel de la franc-maçonnerie. Encyclopédie des mystiques. Dictionnaire de la psychologie. Dictionnaire de la mythologie grecque e t romaine. Dictionnaire des citations. La symbolique maçonnique de Jules Boucher. La légende d'Hiram et les initiations traditionnelles de D. Beresniak. Le ciel en flammes de Jan Parandowski. Nouveau dictionnaire biblique, édition Emmaüs (Vevey). Jésus en son temps de Daniel Rops. Et, bien entendu. La BIBLE Plusieurs versions En remettant ce tracé sur notre Planche nous avons naturellement trouvé de nouvelles références bibliographies. Notre expérience fait que nous avons donné plus de références. Bibliographie 6012 Trésors de la Foi Ta parole est un trésor Sous la direction de Jean-Claude BRUNETTI Plusieurs auteurs Edition Tardy La Diffusion Catéchistique Lyon 1994 (volume en possession) Commentaire : Ce livre très bien illustré est d’un accès facile. Il est destiné aux catéchumènes. (Première Communion - Eglise Catholique Romaine – Suisse Romande) Il est remis aux « premiers communiants » pour leurs instructions. Selon les spécialistes en théologie, Il contient quelques petites erreurs. Plutôt « Byzantine » que pouvant provoquer un nouveau schisme. Jésus en son temps Henri Daniel ROPS [1901 – 1965] Edition le Cerf 1971 Selon le « bandeau » cet ouvrage est la présentation à la fois la plus accessible et la plus complète de la vie de Jésus, à la lumière des travaux contemporains des sciences historique et exégétique. ISBN : 2-204-03977-2 - SODIS : 8400680 - EAN : 9782204039772 Commentaire : Très catholique dans son écriture il apporte indéniablement une lumière sur la vie du Jésus. Même si les historiens, les archéologues ont apporté des nouveautés ce livre reste un référence (souvent citée). 2000 dates pour comprendre l’Eglise Menfred HEIN Traduction de l’Allemand par : Marie-lys Wilwerth-Guitard et Robert Kremer Adaptation française sous la direction de Daniel Moulinet Avec la Collaboration de François Monfrin Espaces Libres Editeur Albin Michel 2010 Commentaire : Nous noterons que (pour simplifier) De – 7 à plus 2009 cela fait 2016 multiplié par 365 jours Égale 735840 le choix et forcement quelque peu arbitraire Il nous semble que l’essentiel à été pris en compte. Dictionnaire des Mythes Féminin Sous la direction de Pierre Brunnel Edition du Rocher 2002 ISBN 2 268 04383 5 Commentaire : Une fois que l’on a trouvé l’entré du terme recherché, c’est bon, mais il faut s’armer d’un certain courage. L’Esprit Des Religions Connaître Les religions pour mieux comprendre les hommes Hesna CAILLAU Editeur Milan 2012 Commentaire : L’auteur a un père musulman et une mère protestante Elle est mariée à un catholique Diplômée en sciences politiques et de sociologie. Il nous semble que sont approche aussi intéressante qu’elle soit et d’une lecture facile manque un peu d’une rigueur théologique. Dictionnaire des symboles, des mythes et des légendes Didier COLIN Edition Hachette 2000 Facile à lire et à consulter bien fourni. Commentaire : Complète agréablement les autres dictionnaires ou encyclopédies consacré aux symboles. Nouveau Dictionnaire Biblique (Quatrième édition entièrement remanié) René PACHE (sous la direction) Edition Emmaüs 1979 ISBN 2-8287-0016-X Commentaire : Très complet même si l’édition en possession date de plus de trente ans Depuis cette date bien des « découvertes » ont infirmés ou affirmés les données. Selon la préface c’est une traduction d’un dictionnaire publié aux Etat Unis d’Amérique puis l’ouvrage a été entièrement remanié. Dictionnaire Des Symboles Mythes, Rêves, Coutumes, Gestes, Formes, Figures, Couleurs, Nombres Jean CHEVALIER et Alain GHEERBRAT (Sous la direction) Edition Seghers 1973 (quatre volumes – format de « Poche » ISBN Pas trouvé Commentaire : Très complet, même si l’édition en possession date de presque quarante ans Depuis cette date bien des « spécialistes » ont infirmés ou affirmés les données. Père Noël Arnaud d’Apremont Edition Pardès 1999 ISBN 2-86714-197-4 ISSN 1245-1916 Nous ne connaissons pas cette édition ni l’auteur Si certaines données paraissent exactes d’autres nous semble plus contestable Dans l’ensemble après quelques vérifications normales, on peut ce fier à ce fascicule de 120 pages. Dictionnaire Larousse Le Petit Larousse Illustré 2011 Plusieurs contributeurs Editeur Larousse 2010 Est-il nécessaire de présenter Larousse ? Dictionnaire Des Superstitions Origines, Symboles, Secrets et Mode d’Emploi Hubert LAURIOZ Editeur Albin Michel 1998 ISBN 2 - 226 - 10072 - 5 Quelque peu disparate mais en un peu plus de 300 pages il y a un choix à réaliser et ce choix et forcément arbitraire. Revues etc. Religions et Histoire Fiche 17b Fête et Rites Numéro 29 novembre décembre Noel et les Douze jours. La Colonne d'Harmonie a pu reconnaître les morceaux de musique suivants. Musique Préconisée CD ou MP3 Lorsque que ce tracé fut mis en chantier il y avait encore des 33 tours et des cassettes. Et les Loges disposaient encore de pickup pouvant être utilisé par des 78 tours… Entrée des FF\ et SS\ 7,10 Marche (Musique Ecossaise Traditionnel « Cornemuse ») Allumage des feux 6,15 Fanfares pour trompettes, timbales, violons, hautbois, bassons et basses. Travail du Maître de Cérémonie. 6,59 Ouverture « Les dragons de la garde écossaise de la reine ». Titres. Drum Salute, John D. Burgess, Caverhill, Franck Thomson. Déplacement de l'orateur etc. 3,19. Musique des Gardiens de la Paix Marche de la Légion étrangère Marche des mousses Si déplacement pas terminé Déplacement de l'orateur 2,16 et des personnalités et du M\ C\ Musique des Gardiens de la Paix Marche des mousses. Travail (déambulations) du M\ D\ C\ et A\ 5 m 07 Nabucco (Verdi) Rejette et détruis. Travail du M\ C\ (extinction des feux) 4 m. 11 Albinoni Adagio Maurice André à la trompette. Sortie des FF\ et SS\ 3 m 34 Magnificat en Ré majeur J\ S\ Bach (chœur). Si pas terminé Sortie des FF\ et SS\ 2 m 37 Exultavit ? J\ S\ Bach (chœur). Si pas terminé Pour La Planche 1. Avant-propos (tu m'en passe 1 à deux minutes) page X Jean-Michel Jarre Les concerts en Chine 4 m 50 L'ouverture 2. Introduction page X Rio Bravo (de D\ Triomkim) 3 m 00 3. Que nous dit la Bible (tu m'en passe 1 à 2 minutes) page X Violon pour les jours de fêtes 4 m 45 Henrik Wienanski Scherzo Tarentelle Opus 16 4. Historique (Tu m'en passe 1à 2 minutes) page 00 Grandes Orgue 3 m 15 Variation sur le thème de Clément Jacquine 5. Considération générale (tu m'en passe 1 à 2 minutes) page 00 One Love (Première amour) 2 m 53 Bob Marley 6. Introduction au symbolisme Page 00 Chantons Noël Avé Maria 2 m 30 7. Les Bergers page 00 Les Bergers 2 m 44 Jacques Brel Face A 8. Entre l'âne et le bœuf (tu m'en passe 1 à 2 m) page 00 Divine Liturgie Orthodoxe 1 m 45 9. Les Rois Mages (tu m'en passe 1 à 2 m.) page 00 Is there somebody else 2 m 47 Chanté par Ella Fitzgerald 10. Le cercle page 00 Les Petits Chanteurs d'Aix-en-Provence 2 m57 Li Pastoureu (le pasteur) « Il est née le divin enfant » puis les autres chansons de cette face. 11. Le sapin page 00 Mon beau sapin 2 m 00 12. La pointe page 00 Minuit Chrétien 3 m 44 13. La table (le manger page 00 Symphonie pour les soupers du roi 2 m 30 Par Delalande) 14 Le père Noël page 00 Petit Papa Noël 3 m 30 15 Conclusion page 00 Harpe 2 m. 00 Maurice Ravel 16. Question page 00 Fugue Orgue 2 m 21 17. page 21 Dites si c'était vrai 1 m 30 Jacques Brel 18. Haïr Good Morning Starrhine 2 m 24 |
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