GLDF | Loge : NC | 11/2010 |
Que cette lumière nous éclaire « Que cette
lumière nous éclaire ».
Tel est le thème de notre réflexion de ce
jour. Cette phrase nous l’avons entendu il y a à
peine un quart d’heure. Mieux
encore nous en sommes familiers puisque nous
l’écoutons à toutes nos tenues et
en prélude à chaque ouverture des travaux.
C’est la phrase qui précède
l’allumage des étoiles des trois
piliers : Sagesse Force et Beauté, pour
présider, soutenir et orner la construction de notre
édifice. Dans cette
invocation, l’adjectif démonstratif
« cette »
confirme que la lumière demandée lors de notre
première entrée dans le Temple
est bien définie. Elle est
supposée être
connue de nous tous ici présents pour l’avoir
déjà reçue. La
connaissons-nous réellement ? De toutes les
façons nous en sommes les
bénéficiaires comme l’indique le pronom
personnel de la première personne du
pluriel des deux genres « nous ».
Quel autre sens donner à ce nous ? Toutes
ces interrogations et bien d’autres que cette formule
magique très usitée, continue de susciter en nous
requièrent pour construire
notre réflexion commune, la charpente suivante : Première
partie :
La nature de la lumière invoquée et les
bénéficiaires Deuxième
partie :
La raison d’être de cette lumière. Avant
d’aborder ces deux axes, nous allons d’abord
replacer
la citation dans son contexte. LA CITATION DANS SON CONTEXTE Après
s’être assuré que la Loge est dument
couverte, que
tous les assistants sont apprentis franc-maçon et juste
avant que l’horloge
cosmique ne sonne les douze coups du midi pour entrer dans les voies
tracées,
le Vénérable Maître s’adresse
au Premier Surveillant : -
«Frère
Premier Surveillant,
Qu’avons-nous
demandez lors de notre première entrée dans le
Temple ? » -
Réponse :
« la lumière
Vénérable Maître » ; et
le Vénérable Maître de
poursuivre : « Que
cette lumière nous éclaire ». C’est
à partir de cette invocation que de la pénombre, le Temple
s’illumine graduellement de
l’Orient à l’Occident en passant par le
Midi. La lumière, de plus en plus
abondante, nous enveloppe progressivement au fur et à mesure
que se conjuguent,
s’activent et s’additionnent toutes les sources
lumineuses, qu’elles soient
d’ordre symbolique ou d’ordre matériel. Ainsi,
les étoiles des trois piliers (les petites
lumières),
sont successivement rallumées par le Maître des
Cérémonie, à partir de la
flamme du Flambeau du Vénérable Maître
(lumière éternelle) et sur instructions
des trois qui dirigent la Loge. L’Orient, le Midi et
l’Occident s’illuminent
l’un après l’autre. A l’Orient
le Soleil rayonne pour tout rendre visible. La
lune plus apaisante éclaire de son côté.
Est-ce faire l’amalgame que
d’établir la similitude avec la
création
dans la Genèse :
« Que la
lumière soit et la lumière
fut » ? De
toutes les façons, l’illumination une fois
complète, le
Vénérable Maître consacre
l’ouverture des travaux en ces termes :
« Nous ne sommes plus dans
le monde profane,
nous avons laissé nos métaux à la
porte du Temple, Elevons nos cœurs en fraternité
et que nos regards se tournent vers la lumière ».
Quelle est donc
cette lumière ? La
question prend l’allure d’une charade
lorsqu’à la
clôture des travaux, le Vénérable
Maître
dit,: « Que la
lumière qui a
éclairé nos travaux continue de briller en nous
pour que nous achevions au
dehors l’œuvre commencée dans ce Temple,
mais qu’elle ne reste pas exposée aux
regards des profanes ». Cette nouvelle
invocation assortie de mise en
garde nous amène à conclure que «la
lumière » en question
n’est pas destinée à tout le monde.
Elle exclut
les profanes et s’adresse seulement aux initiés
qui avaient déjà juré par
serment, de garder le secret. Par conséquent,
lumière et secret sont ici
indissociables ; ce qui justifie à notre
égard, toutes les précautions de
discrétion prises par le Vénérable
Maître avant l’ouverture des travaux. Tous
ces éléments qui
s’enchaînent, aiguisent notre curiosité
et nous poussent à en
savoir plus sur la nature de la lumière en question et la
qualité de ses
bénéficiaires. Première
partie :
NATURE DE LA LUMIERE INVOQUEE ET LES BENEFICIAIRES Qu’entendons-nous
par lumière ? 1.1.
La
Lumière La
lumière, Lux le point lumineux et Lumen le
rayonnement qui en provient, est d’abord ce qui
éclaire et qui rend les choses
visibles. C‘est elle qui permet de voir clair, de lire et de
savoir où on met
les pieds. De plus, elle force à
l’éveil et à la réflexion. Certains distinguent la
lumière naturelle
(la raison et l’expérience) de la
lumière surnaturelle qui elle, relève des
révélations. La première semble
être subordonnée à la seconde. On peut
donc
passer du virtuel au réel. Ainsi, la lumière
permet de déceler les nombreuses
causes cachées ou tenues hors de la compréhension
de l’homme ordinaire. Saint-Jean
dans son prologue « Au commencement était
la
parole » nous révèle que
l’espace autour de nous n’est pas vide et
qu’il
est peuplé d’entités lumineuses
situées au-delà du monde sensible puisque
« la lumière
luit dans les ténèbres
et les ténèbres ne l’ont point
perçue ». De
son côté, Paul NAUDON souligne que dans la
Genèse, il y a
une distinction entre la Lumière créée
par Dieu au premier jour et l’astre
solaire crée seulement le quatrième jour. Il
affirme que la lumière qui était
au commencement, ne nous quitte jamais mais qu’elle a
seulement besoin d’être
activée et entretenue. La
lumière
se retrouve dans toutes les cultures et dans toutes les religions. Dans
la tradition judéo-chrétienne,
« Dieu est
Lumière » et
en lui point de ténèbres. De plus,
« La vie était la lumière des
hommes » rappelle l’Evangile pour
qu’on
en prenne conscience. DESCARTES
dans sa formule : « Je
pense donc je suis » estime que
l’homme ne peut comprendre
les choses que par la pensée, par la maturation mentale qui
oriente son action
ou son jugement. Dans ces conditions, c’est la
lumière ou mieux le logos qui
pense, qui parle, qui chante et qui crée. Qu’en
est-il réellement en
Franc-maçonnerie ? 1.2.
Les lumières en
Franc-maçonnerie L’apprenti
franc-maçon « ne sais ni lire ni
écrire ». Aussi a-t-il besoin de
lumière, pour apprendre à lire dans le
vaste domaine de la pensée et à écrire
par le biais de l’action qu’il pose.
Dans cette perspective, la lumière devient un
concept, un symbole, un objectif, un secret, la connaissance et le
principe
créateur. En
FM\, il existe de nombreuses sources lumineuses dont
l’inventaire est assez impressionnant au terme de
l’ouverture des travaux. En
effet, il y a les cinq lumières de la Loge (le VM, les deux
Surveillants,
l’Orateur et le Secrétaire),
l’étoile sur le plateau du VM et les deux
étoiles des
deux surveillants, les lumières des trois piliers (Sagesse
Force et Beauté),
les trois grandes lumières (le Volume de la Loi
sacrée, le Compas et
l’Equerre), le
chandelier à trois
branches, la voûte étoilée, le soleil
et la lune, le Delta lumineux, etc. Ces
différentes lumières que l’apprenti
reconnaît avoir vues
lors de son initiation, sont toutes importantes, mais toutes ne se
valent pas.
Chacune des sources recèle
d’éléments enrichissants à
qui veut et peut les
discerner. Ce qui nous fait dire que lors de l’initiation,
les lumières
matérielles (symbole, rythme, rite, légendes et
proverbes) ouvrent les yeux du
néophyte aux mystères. 1.3.
La
lumière de la science initiatique « Cette »
lumière est unique et assez spécifique.
C’est elle qui fait du profane un
initié et qui lui permet d’affronter
victorieusement ses propres ténèbres. Elle
est supposée transformer notre regard pour plus de
lucidité, plus d’espérance
et plus d’Amour, cette loi sacrée qui
éveille et alimente en nous tous les
germes divins. Pour la communiquer au Néophyte, le
VM\ a requis de tous les
frères une forte concentration. La
lumière symbolique de l’initiation fait donc des
autres
sources lumineuses, des leitmotivs, des accessoires ou
des contributions nécessaires. Elle
permet
de lier ce qui est sensible à ce qui est intuitif. Elle est
sans doute la
conjugaison ou la somme des différentes lumières
évoquées plus haut car, « tout
ce qui monte converge ».
On
peut ainsi l’assimiler à la sagesse, à
l’intelligence, à
connaissance, à la conscience, à la foi dans la
liberté et le progrès.
« Cette lumière
est le principe
unificateur de toute dualité ». Elle nous
permet de nous réconcilier avec
nous-mêmes et de fondre notre raison avec la raison
universelle. Vénérable
Maître, Très Respectables Frères et
vous tous mes
Frères en vos grades, degrés et
qualités, On
peut toujours continuer à s’interroger sur la
nature
matérielle de la lumière. Ce qui importe dans ces
conditions, c’est de savoir
pour qui cette lumière est utile. Naturellement,
c’est pour notre
« moi » intérieur, la
part la plus authentique de notre être qui
« ose penser seul » pour
démêler le vrai du faux, aidé en cela
par
les symboles en sa présence et par la parole qui
éclaire le monde. Dans cette
perspective, la lumière c’est la
capacité de voir clair, c’est le regard
sincère sur les choses. Comment donc bâtir cette
capacité ? Cette
question nous permet de revenir aux
bénéficiaires. 1.4.
Les
bénéficiaires Dans
le rituel des
travaux de table, la lumière apparaît aux
apprentis ; elle éclaire les
compagnons et elle illumine les maîtres. C’est
pourquoi lorsqu’un
Maître vous instruit, il vous éclaire car selon
Oswald WIRTH, « l’homme
pleinement éclairé, qui a réussi
à se saturer de lumière, devient à son
tour un
foyer lumineux. Il rayonne et il éclaire les
autres ». Il
peut donc les influencer par ses pensées
et ses sentiments et ses actes. Vénérable
Maître, Très Respectables Frères et
vous tous mes
Frères en vos grades, degrés et
qualités, Voir
la lumière est une chose. Savoir d’où
elle vient en est
une autre et comprendre en quoi elle est essentielle est encore autre
chose. Nous
allons donc aborder la deuxième partie de notre
exposé. Deuxième
partie LA
RAISON D’ÊTRE DE CETTE LUMIERE Il
nous souviendra qu’à la question -
Pourquoi
vous êtes-vous fait recevoir FM ? L’apprenti
répond : -
Parce
que je suis dans l’obscurité et que j’ai
désiré la lumière. Nous
avons tous désiré la lumière
à cause de l’obscurité qui
nous environne. En effet, nous sommes tous à des
degrés divers, dominés par nos
passions et livrés à
l’égoïsme étant tous des
hommes de pouvoir, de domination
et de passion. Nous avons souvent tendance à nous offrir au
désordre qui
caractérise notre société profane que
nous qualifions de non civilisée. Il
faut reconnaître que l’Être humain est
limité dans ses
perceptions tout comme dans ses raisonnements. Ces limites
l’amènent souvent à
nier l’évidence plus
précisément ce qu’il ne voit pas de ses
yeux. Saint Thomas
en est l’exemple patent. Seule la lumière peut
l’aider à sortir de son
ignorance. Une
fois reçu apprenti, il nous faut en cette
qualité,
retrouver notre lucidité, devenir plus conscients des causes
de nos motivations
afin d’apporter les changements
bénéfiques qui s’imposent donc sortir
de notre
sommeil et de l’inconscience pour devenir
éveillés. Tout dépend de notre
état
de conscience. Il faut alors ouvrir tout grands les yeux, se regarder
dans le
miroir, faire tomber son propre masque et donc les rideaux
d’occultation pour
se dégager ainsi de toute illusion. Pour ce faire, il ya
lieu de sortir de tous
les conditionnements extérieurs pour s’introduire
dans sa propre source
lumineuse. Comment y parvenir ? Par
le travail et rien d’autre que par le travail sur
soi-même. Travailler avec volonté et force que
préfigure le maillet, avec
droiture en s’inspirant de
l’équerre symbole de la Loi morale
(signe
d’équité et de rectitude) et avec
mesure comme le rappelle la règle. Maintenant
que nous avons librement reçu cette lumière tant
convoitée, il n’est plus question de
s’en départir mais plutôt
d’y
recourir permanemment car, « On
n’allume pas une lampe pour la mettre sous le
boisseau ». C’est ce qui
donne tout son sens à l’invocation soumise
à notre réflexion ce jour.
2.1.
La
connaissance de soi « Se
construire dans la relation à l’autre, percevoir
la plénitude de la beauté, penser et agir pour
construire » justifie la
raison d’être du Franc-maçon\
constamment
éclairé. C’est
en recevant la lumière
que l’Apprenti commence à se découvrir,
à ne plus se cacher la vérité et
à
chercher l’ennemie en lui-même face au miroir,
plutôt que de continuer à
rejeter tous les torts sur les autres. Son orgueil et sa
fierté s’en trouvent
quelque peu ébranlés et il commence à
cultiver les vertus de la mesure. Il se
fraie ainsi le chemin vers l’Amour, la beauté et
la fraternité. La
lumière qui est désormais au centre de notre
démarche
initiatique, véhicule une dimension de la
spiritualité. La Loge Ecossaise est
en quête de la lumière et de la
vérité. C’est pour cette raison que le
« fils de la lumière »
doit permanemment recourir
à cette précieuse conquête
liée à son
initiation et créer les conditions
requises pour en bénéficier pleinement. Le
manuel d’instruction au premier degré nous
enseigne que
« La lumière
n’éclaire l’esprit
humain que lorsque rien ne s’oppose à son
rayonnement. Tant que l’illusion et
les préjugés nous aveuglent,
l’obscurité règne en nous et nous rend
insensibles
à la splendeur du vrai ». La
lumière est donc nécessaire mais pas
suffisante et se mérite par un dur et constant labeur. Vénérable
Maître, Très Respectables Frères et
vous tous mes
Frères en vos grades, degrés et
qualités, Il
n’y a pas d’initiation sans connaissance et sans
méthode
de transmission. La connaissance
est
le fondement même de l’éthique car
c’est quand on\
sait que l’on devient moral.
Seule une analyse responsable en toute liberté peut y
conduire. En
termes de méthode, l’initiation se fait par des
rites. Ici, tout est symbole et la
voie
initiatique est basée sur l’étude des
symboles. Elle s’exprime par des symboles
et s’identifie à un moyen spirituel dont le
support est la technique opérative
et spéculative. La
méthode symbolique
devient alors l’outil de connaissance de soi si bien que
l’ensemble des
symboles contenus dans le rituel de la F\M\,
constitue un tout dont il faut
explorer les richesses. De par sa nature, chaque symbole sensible se
révèle un
langage particulièrement riche et toute attitude
à son égard requiert de la
lucidité, de la clairvoyance pour une analyse plus objective
et plus sereine. En
présence des deux principes du bien et du mal, il faut
constamment mettre de l’ordre dans ses pensées et
dans ses sentiments pour ne
réagir qu’en projetant de la lumière. Si
tu veux savoir, écoute et médite conseille-t-on
à
l’apprenti. Mais, pour écouter il faut
d’abord se taire. L’homme qui ne médite
pas vit dans l’aveuglement alors que celui qui
médite vit dans l’obscurité et a
seulement besoin de la lumière. La
méthode symbolique procède par la
méditation,
l’imagination, la pérégrination et
l’amplification. Ceci requiert
l’observation, le raisonnement en un mot le savoir.
C’est d’un travail de
compréhension du rituel et
d’interprétation des symboles qu’il
s’agit. Un
engagement volontaire qui est devenu un devoir. Ce
parcours et cette progression individuelle
bénéficient de
l’apport du Groupe qui favorise en son sein,
l’échange qui est source de
progrès. C’est
pourquoi si la méthode symbolique peut se pratiquer en
solitaire, elle est naturellement plus efficace si on y introduit le
dialogue.
Pour preuve, l’Apprenti ne sait ni lire ni écrire.
Il a besoin de son frère
pour l’éclairer. Ce dernier lui donne la
première lettre pour l’aiguiller et
l’amener à donner la seconde ainsi de suite.
C’est donc la lumière à travers
l’esprit qui pense, qui parle, qui échange, qui
chante et qui crée. En
conclusion,
la lumière est requise aussi bien pour chaque
frère que pour la Loge toute
entière, car comment chacun pourrait-il
être initié sans une LOGE, sans
un RITUEL, sans d’autres frères donc
sans un idéal en l’occurrence la FRATERNITE sans
cesse à parfaire et que tout
les FM ont à privilégier dans ce centre
d’Union qui les anime. La
lumière symbolise aussi la durée de la vertu et
la
persistance de l’intelligence. Pour des êtres de
raison que nous sommes, cette
illumination est nécessaire dans l’explication
philosophique du monde, de la
vie, de son moi, de ses actions et de son éthique face aux
valeurs maçonniques.
Saint-Jean,
dans son prologue, nous apprend que le
verbe était la lumière des hommes.
C’est donc pour cause que le mot lumière revient
constamment dans les
différents textes issus du rituel et ce, du début
jusqu’à la fin de nos
travaux. Notre rite affirme que la
lumière est. Il s’agit
« d’une lumière »
différente « des
lumières »,
de connaissances à la fois objectives et subjectives avec
son aspect spirituel,
qui viennent de nous à partir de notre mental.
C’est le point de départ. Si le
voyage est le principe de l’initiation, la lumière
est son fondement. Il n’est
donc pas étonnant que des frères prennent en
charge et guident des frères vers
la lumière. A chaque tenue nous devons avoir la force de
descendre en nous-mêmes
(VITRIOL) et l’humilité de nous remettre en
question pour réussir à faire
mourir en nous le vieil homme afin de renaître à
une vie nouvelle. Ce sera le
point d’arrivée. Pour
réussir, il faut
être en condition de recevoir la lumière en de
dépouillant de tout ce qui lui
est réfractaire en l’occurrence les
métaux à laisser à la porte du Temple. C’est
à cette condition que nous irons en
homme libre, à la rencontre de la lumière qui
nous permettra de percer les
mystères de la vie. Cette
lumière qui nous
éclaire de l’intérieur,
n’est-ce pas finalement l’étincelle
divine que chacun
de nous porte en lui mais qu’il ne perçoit que
confusément et que l’initiation
aide à ranimer ? De
toutes les façons, cette lumière permet le
passage du
monde profane au monde sacré. Elle est au dessus du savoir
car c’est elle qui
apporte le savoir. Elle appartient à un domaine
séparé, à un lieu sûr et
sacré
donc inviolable.
Cependant l’être
éclairé devient un exemple par sa droiture, sa
rectitude et sa singularité. La
lumière n’est donc pas la
vérité mais le
chemin vers la vérité. QUE CETTE
LUMIERE NOUS ECLAIRE. Vénérable
Maître, Très Respectables Frères et
vous tous mes
Frères en vos grades, Elevons nos cœurs en fraternité et que nos regards se tournent vers la lumière. F\
K\ |
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