Obédience : NC | Loge : NC | Date : NC |
Les trois rituels Les trois rituels sont extraits du manuscrit intitulé « La vraie Maçonnerie des hommes et des femmes ou cours complet de l'adoption des femmes en trois grades suivie d'un corps de Maçonnerie des hommes », comprenant, outre ceux présents ci-dessus, des rituels féminins et des rituels de hauts grades. Le manuscrit original appartient au musée de la Grande Loge de France et a été édité par les Éditions du Prieuré © 1997. Les mots [ ] ont été rajoutés pour la bonne compréhension du texte et ne figurent pas sur l'original. Les mots soulignés le sont également dans le texte. Les tableaux de loge sont ceux inclus dans les rituels originaux. Les tableaux de Loge sont ceux extraits du rituel des grades. 1er grade d'Apprenti Maçon adopté par la R\ L\ du Sme\ G\ M\ Duc de Chartres. Disposition de la L\. La L\ sera tendue de bleu céleste parsemé d'étoiles d'or, le pavé sera parqueté à la mosaïque ; à l'Orient sera un trône élevé de trois marches au fond duquel sera une étoile flamboyante ; au pied du trône, un autel triangulaire couvert d'un tapis bleu céleste où seront brodés les attributs de l'Ordre ; sur l'autel, il doit y avoir une équerre, un compas, une bible, un maillet avec trois flambeaux placés en triangle portant chacun une bougie. A la gauche de l'autel, une table sur laquelle seront les registres, une écritoire et un flambeau. Derrière cette table est la place du Secrétaire. Les Surveillants\sont placés à l'Occident de la L\ ; le 1er porte une équerre en sautoir sur la poitrine ; le 2e un aplomb placé de même. La porte du temple sera dessinée en perspective à l'Occident de la L\ ; il doit y avoir trois fenêtres ; savoir, une à l'Orient, une au Midi, et une au Septentrion. Le Soleil sera figuré au Midi de la Lune et la Lune au Nord. La colonne (J) au Nord près du 2e Surveillant\ et la colonne (B) au Midi près du 1er Surveillant\ Le tableau de la L\ sur le pavé qui sera éclairé de trois grandes lumières disposées 1 au Nord et 2 au Midi. Les Offers\ sont placés à la droite et à la gauche du Vble, l'Orateur, le 1er à droite et le Secrétaire, le 1er à gauche. Tous les FF\ sur les colonnes porteront un tablier de peau blanche et des gants de même. Les grades supérieurs portent leurs cordons et leurs bijoux. Ouverture de la L\. Tout ainsi disposé, les
FF\ assis et habillés, le T\ V\ frappe un coup sur l'autel
et dit au 1er Surveillant\ : « FF\ 1er et 2e Survts\, puisqu'il est midi plein pour ouvrir la L\ et qu'elle est bien couverte, annoncez chacun sur vos colonnes que je vais ouvrir la L\ d'App\ ». Alors les 2 Surveillants\ frappent chacun et annoncent que le Vble va ouvrir la L\ Le Vble frappe un coup et dit : « A l'ordre M\ FF\ ». Tous se lèvent, se mettent à l'ordre et gardent le silence. Instruction sur le grade et la réception d'app\. Pour parvenir à être reçu M\, il faut le désir sincère d'acquérir de la vertu et non le motif de curiosité. Le F\ qui doit proposer le candidat étudiera avec soin les motifs qui le déterminent à entrer dans l'Ordre. La proposition s'en fera en L\ et on assignera le jour de sa réception. Ce jour arrivé, on mettra le Récipiendaire entre les mains du F\ Tuileur qui le conduira assez brusquement dans la chambre de réflexion où il doit rester une heure au moins. Cette chambre doit être tapissée en noir avec les emblèmes de la mort et gardée en dehors par un F\. Pendant ce temps, on ouvre la L\ et le Vble dit : « Nous voici assemblés pour la réception du profane N., consentez-vous [à ce] qu'il soit initié ? » Le Vble prie le F\ Terrible de se rendre au lieu destiné pour faire son devoir et avant tout de quitter son tablier et ses bijoux. La chambre du F\ Terrible doit être obscure et éclairée par une faible lampe, on peut la rendre comme l'intérieur d'un cachot. Il faut une table sur laquelle [sont] une épée et un linge. Le F\ [Tuileur] qui va retirer le
Récipiendaire de la chambre de réflexion se
saisit de lui et lui dit de le suivre et le conduit à
l'appartement du F\ Terrible où il frappe en profane. Le F\
T\ : « Qui frappe ? » Le F\, en livrant le Récipiendaire dit : « C'en est fait, je n'en réponds plus ». Après plusieurs questions faites d'un ton très dur, le F\ T\ le fait dépouiller de ses habits, métaux, etc., lui [fait] mettre le genou droit découvert ainsi que la mamelle gauche, et le pied gauche en pantoufle, lui met une corde au col, lui bande les yeux et lui met la pointe de l'épée sur la poitrine en lui disant : « Suivez-moi ! » Conduit ainsi à la porte de la L\, il frappe à la porte trois grands coups qui, répétés, sont annoncés au Vble qui fait informer et à qui on répond que c'est un gentilhomme qui veut se faire recevoir M\. Le F\ T\ frappe une 2e et 3e fois et dit que c'est un aveugle qui demande la lumière, un cadavre qui demande la résurrection et un profane qui demande à être reçu M\. Le Vble fait informer de l'âge, du nom, de la qualité, de l'état, de la condition, du lieu de la naissance, de la résidence et enfin de la religion du proposé, et lui fait demander s'il se croit assez de force pour résister aux épreuves qui lui restent encore à subir. Il lui fait encore demander s'il n'a jamais mal parlé du roi et du sang royal, s'il n'a jamais erré dans le sentier de la vertu et s'il persiste sincèrement à être reçu M\, et le fait introduire par le F\ 1e Survt. Alors le F\ T\ pousse avec force le Récipiendaire au 1e Survt en disant : « C'en est fait, je n'en réponds plus ! » Alors le 1er Survt le place à l'Occident et le Vble dit : « F\ 1 Survt, qui me présentez-vous là ? A-t-il fait les réflexions sur les épreuves auxquelles il va être livré ? » « Oui, Vble, il consent à tout ce qu'on exigera de lui pour être reçu M\ ». Le Vble dit au Récipiendaire : « Monsieur, je ne dois pas vous laisser ignorer tous les risques que vous avez à courir si la curiosité vous engage à pénétrer nos mystères, ni toute la peine et l'inutilité que vous trouverez dans vos entreprises ; êtes-vous dans la ferme résolution de continuer vos épreuves ? » [R. « Oui »]. « M\ FF\, vous avez entendu ; croyez-vous le profane digne d'entreprendre et finir avec fermeté les travaux longs et périlleux qui lui restent à courir et à faire pour devenir membre de notre société ? » Le signe d'approbation fait, le Vble dit : « Monsieur, prenez garde à ce que vous allez faire, vous courez un grand danger ; je tremble pour vous. Beaucoup ont succombé dans cette épreuve et il serait fâcheux pour vous d'éprouver un pareil sort. Répondez enfin ! » [R. « Oui »]. « Monsieur, qui répond de vous ici ? » Le Récipiendaire nomme son parrain. Le Vble dit : « Puisque le F\ N\ répond de vous, F\1e Survt, faites voyager Monsieur pour son 1er Voyage et ne le [livrez] pas à son courage, et vous qui répondez de lui, tremblez de votre témérité ». Alors, le 1e Survt lui fait faire à grands pas le tour de la L\ en lui mettant l'épée sur le cœur, et pendant ce temps, on peut lui opposer des obstacles. On lui fait faire une inclination toutes les fois qu'il passe devant le Vble. Quand le tour est fini, le 1e Survt rend compte du voyage, ce qui est répété trois fois avec les mêmes formalités en observant d'augmenter les obstacles à chaque tour. Les comptes rendus des trois voyages étant faits par le 1er Survt, le Vble dit ensuite au Récipiendaire : « Vous allez être livré, Monsieur, à d'autres plus fortes épreuves, et c'est par elles qu'on reconnaîtra votre façon de penser. Beaucoup ont pu supporter les épreuves que vous avez supportées, mais très peu ont pu supporter celles que vous avez à subir. Si j'avais un conseil à vous donner, ce serait celui de vous retirer ; nous n'exigerons pas même le secret de vous sur tout ce que vous avez vu et sur ce qu'on vous a fait ». « Vous êtes libre. Parlez ! Voulez-vous continuer ? Vous sentez-vous le courage de surmonter les dangereuses épreuves qui vous restent à subir ? Je vous laisse un moment de réflexion ». Pendant ce temps, on demande à voix basse, de façon à être entendu, si le fer est chaud. Après que le Récipiendaire a répondu, le Vble lui dit de choisir sur toutes les parties de son corps celle où il veut être marqué du sceau de la M\, et on lui fait spécifier l'endroit. Lorsqu'il l'a désigné, on y applique le sceau de la L\. On lui fait d'autres épreuves à volonté. Ensuite, on le fait avancer vers l'autel en App\ et, y étant arriver, on lui fait mettre le genou droit en terre, la main droite sur l'Évangile et, de l'autre, il tient un compas sur le cœur. Alors, le Vble lui dit : « Monsieur, consentez-vous dans cette attitude de contracter un engagement solennel qui n'a rien contre Dieu, contre aucun roi ni contre le prochain. C'est une obligation que vous allez contracter devant le Grand Architecte de l'Univers et cette assemblée respectable ». Alors, l'Orateur dit : « Monsieur, l'intrépidité que vous avez fait paraître à surmonter et à vaincre tous les obstacles que vous avez rencontrés dans les voyages mystérieux que l'on vous a fait faire, l'empressement que vous avez témoigné pour être admis dans une société aussi ancienne que respectable, nous prouvent invinciblement que vous avez foulé aux pieds tous les préjugés du profane vulgaire. Vous allez contracter un engagement solennel qui va vous unir par les doux liens de l'amitié à tous les membres d'un Ordre dans lequel les plus illustres personnes n'ont point dédaigné de se faire initier. C'est au pied du tribunal de la discrétion que vous allez promettre devant le Souverain Architecte de l'Univers et la très respectable assemblée de garder inviolablement les mystères de la M\. Vous ne devez avoir aucune répugnance à contracter cette obligation puisqu'elle ne vous compromet en rien par rapport à la religion, à l'État, et à ce que vous devez à Dieu et au roi... On vous laisse encore le temps de faire vos réflexions. Surtout, prenez bien garde que, simplement guidé par l'esprit de curiosité, vous ne sollicitiez la grâce qu'on va vous accorder qu'afin d'en mesurer [...] en révélant nos mystères. Je vous en avertis, les peines les plus terribles en seraient le juste châtiment, et ces tourments affreux, vous les trouveriez dans votre cœur. Si, au contraire, vos dispositions sont pures, répétez fidèlement l'obligation que le T\ V\ M\ de cette L\ va prononcer avec vous ». Obligation. « Je promets et m'engage, parole d'honneur, en présence du Grand Dieu Souverain Architecte de l'Univers, de cette respectable assemblée, de ne jamais révéler à aucun profane qui n'ait fait ce quLes trois rituelse j'ai fait, aucun secret de ceux qui vont m'être révélés, de n'être cause directe ni indirecte que lesdits secrets soient gravés, burinés ou sculptés en aucune langue que ce soit, d'être le protecteur du pauvre, de la veuve et de l'orphelin, d'être juste, d'aimer mes frères et de les secourir dans tout mon pouvoir... Si je devenais parjure, je consens d'avoir la gorge coupée et de devenir l'exécration de mes frères et de la postérité. Ainsi, Dieu me soit en aide et son Saint Évangile ». Le Vble dit ensuite en frappant trois coups de maillet sur la tête du compas que le Récipiendaire tient sur le cœur : « Par le pouvoir que j'ai reçu de cette R\ L\, sous l'autorité et le bon plaisir du S\ G\ M\ [le] Duc de Chartres, je vous reçois et constitue App\ M\ ». On conduit le Récipiendaire entre les deux Survts, les FF\ mettent l'épée à la main, la pointe tournée vers le nouvel initié. Le Vble ordonne aux Survts de lui donner la lumière. Le bandeau ôté, le Vble dit : « Mon frère, toutes ces épées nues sont pour votre défense si vous êtes fidèle à vos engagements. Mais si vous devenez parjure, elles sont pour votre punition et seront toutes lavées dans votre sang. Habillez-vous... Approchez-vous du trône et recevez ce tablier. C'est l'habit de l'Ordre sans lequel vous ne devez jamais vous présenter en L\. Recevez ces gants, leur blancheur doit vous faire ressouvenir que vos mœurs doivent être toujours pures. Voici une paire de gants de femme, elle est destinée à celle que vous estimez le plus pour la faire revenir des faux préjugés qu'elle pouvait avoir contre notre Ordre. Nous avons des signes, des mots et des attouchements pour nous reconnaître entre nous, de jour et de nuit dans le monde, ou en L\. Le mot sacré d'App\ est Iakin, il doit toujours s'épeler ; le mot de passe est Tubalkain. L'attouchement est trois coups sur la 1re jointure de la main droite. Le signe est la main à la gorge comme si on voulait la couper, et ensuite, laisser tomber le bras de toute sa longueur ». « Allez, M\
F\, vous faire reconnaître aux FF\ par les paroles et
attouchements que je viens de vous donner ».
Catéchisme d'App\. D. Expliquez cela. 2e grade de Comp\ M\. Disposition de la L\.La L\ est disposé comme dans l'App\, le même tableau, le même M\, les mêmes Survts décorés de même. La L\ s'ouvre et se ferme de même et, au lieu de frapper trois coups, on en frappe cinq ayant soin de bien distinguer les 2 derniers. Réception du Comp\. Le F\ Introducteur, ayant disposé l'App\ Récipiendaire, le présente à la porte du temple et frappe en Comp\. Le Vble dit : « F\ 1er Survt, faites voir qui c'est ». Après s'être informé, le 1er Survt dit : « T\ V\, c'est un App\ qui demande à être reçu Comp\ ». Le Vble dit : « F\ 1er Survt, faites-lui demander son nom, surnom, son âge de M\, s'il a travaillé, si les maîtres sont contents de lui et s'il a fait son temps ». La réponse faite, le Vble dit : « Faites-lui demander le mot de passe, le signe et l'attouchement d'App\». Quand tout est rempli, le Vble dit : « Faites-lui donner l'entrée et conduire à l'Occident entre les 2 Survts », où le Vble lui fait encore demander la parole, le mot de passe, le signe et l'attouchement d'App\. On le fait ensuite voyager cinq fois autour de la L\ par le Midi. Au 3e et [au] 5e tour, on le fait saluer le Vble qui lui fait des questions du catéchisme d'App\. Quand les voyages sont faits, le 2e Survt frappe cinq coups et le 1er Surv dit : « Vble, il a suffisamment voyagé, il demande à être reçu Comp\» Le Vble frappe cinq coups et dit : « F\ 1er Survt, placez-le en M\, faites-lui monter les cinq marches du temple et me l'emmenez par les 3 pas de Comp\ ». Pour le 1er pas, il porte le pied droit au Midi en croisant sur le gauche ; le 2e, le pied gauche au Nord croisant le droit qu'il assemble en équerre ; le 3e le droit à l'Orient auquel il joint également le gauche en équerre ; enfin on le fait mettre à genoux de façon que son genou droit soit en équerre, et le Vble lui fait prêter l'obligation suivante : Obligation « Je promets devant le Grand Architecte de l'Univers et de cette R\ L\, sur la foi du St Évangile que je tiens sous ma main, de ne jamais révéler directement ni indirectement de quelque manière que ce puisse être et sans aucune réserve mentale ce qui va m'être révélé des secrets de Comp\ à aucun App\, ni rien de ce qui a rapport à la M\ en particulier et en général à aucun profane. Je m'oblige sous les mêmes peines que j'ai contractées et me soumettant de plus à avoir le cœur arraché s'il m'arrive la moindre infidélité ; ainsi Dieu me soit en aide et veuille bien me soutenir dans la droiture et l'équité...» Il baise l'Évangile. Le Vble frappe cinq coups sur l'équerre que le Récipiendaire doit tenir sur le cœur et dit : « Par le pouvoir qui m'a été donné et confié par cette R\ L\, je vous reçois Comp\ M\» Il le fait se lever et passer à sa droite et l'habille en Comp\, c'est-à-dire la bavette du tablier abaissée. Ensuite le Vble dit : « Comme les App\, les Comp\ ont un mot, une parole, un signe et un attouchement pour se reconnaître. Le signe est de porter la main droite sur le cœur en équerre, de la tirer horizontalement et de laisser tomber le bras du côté droit comme à l'App\ pour faire ressouvenir du second point de l'obligation, et que vous devez garder nos mystères dans le cœur. L'attouchement ne diffère de celui d'App\ qu'en ce qu'il faut frapper deux coups de plus, fort distincts, sur le 2e doigt appelé médius. Le mot sacré est B…s'épelle comme celui d'App\. Le mot de passe est Schibolleth qui signifie « épi de blé sans barbe » ou épi de froment ». Ces signes dits et répétés, le Récipiendaire va les porter aux Survts et aux FF\ pour se faire reconnaître. Catéchisme de Comp\ D. Dans quelle L\ avez-vous
été reçu ? 3e grade de Maître\ Maçon\. Disposition de la L\. Elle doit représenter la chambre du milieu, ou le propitiatoire, où les Maî\ s'assemblaient pour recevoir leur salaire. Cette chambre doit être tendue de noir avec toutes les marques de deuil en mémoire de la mort d'Hiram Abif, notre R\ M\, des ossements, des tombeaux et les attributs M\ doivent en faire l'unique ornement. Les FF\ doivent porter un cordon bleu céleste en bandoulière de gauche à droite, et un tablier de peau blanche sur la bavette duquel [doivent] être représentés un compas, et une équerre, et sur le tablier qui sera bordé d'un ruban bleu, il doit y avoir trois rosettes de ruban de même couleur. Ouverture de la L\. Tous les Frères assis,
le T\ R. frappe un coup et dit : Emdash ; Puisqu'il est l'aurore du
jour et que nous sommes tous M\, FF\ 1er et 2e Survts, avertissez que
je vais ouvrir la L\ de M\. La L\ tendue en noir, le tombeau d'Hiram au milieu, les FF\, le chapeau rabattu et dans l'attitude de la tristesse, le Récipiendaire préparé, la L\ très peu éclairée, on fera entrer à reculons le Récipiendaire et on le mettra entre les deux Survts, le dos tourné au trône. Là on lui fait des reproches sur son peu de zèle et son indiscrétion, on lui suppose des fautes. Enfin, on lui fait faire trois fois le tour de la L\ sans jamais lui laisser voir ce qui est derrière lui, qui est le tombeau. On le ramène entre les deux Survts, on le retourne, on le fait passer sur le tombeau et on l'amène au pied du trône où le T\ R\commence le discours suivant sur l'histoire d'Hiram Abif\. Discours. « David ne laissa à son successeur, Salomon, que les fleurs et les délices de la royauté. La sagesse qu'il avait reçue du ciel se dévoilant tous les jours aux yeux de l'univers par des prodiges, il s'attira l'admiration de tous les peuples et on accourut de tout côté pour entendre ses oracles et voir les merveilles de son règne. Cette sagesse céleste dont il était doué, sa prudence plus qu'humaine et la vaste étendue de ses lumières, faisaient l'admiration générale ». Il pensa à se faire bâtir un palais plus digne de la majesté royale que celui que David avait occupé, sans cependant oublier que l'édifice du Temple était la grande entreprise de son règne et que c'était surtout pour la consommer que le Seigneur lui avait mis la couronne sur la tête. Aussi ne perdit-il pas de vue depuis l'instant de son avènement au trône l'édification de ce grand ouvrage. « Il fit assembler de nouveaux ouvriers et de nouveaux matériaux plus riches et en plus grande abondance que n'avait fait David. Il les fit transporter à Jérusalem pour les y employer. Il occupa à cet ouvrage cent cinquante mille hommes dont soixante-dix mille servaient au transport des matériaux, quatre-vingt mille taillaient les pierres dans [les] carrières, outre trois mille six cents inspecteurs qui veillaient sur les travaux et trois cents qui avaient la conduite de tout l'ouvrage ». « Les choses ainsi disposées, et Salomon ne trouvant pas dans son royaume des maîtres assez habiles dans l'architecture et un assez grand nombre d'ouvriers pour mettre en œuvre les cèdres du Liban, il tourna ses vues sur Hiram, roi de Tyr, le constant ami et allié de son père qui avait renouvelé son alliance à son avènement au trône d'Israël ». « Il lui écrivit donc une lettre pour le prévenir de l'édification du Temple de l'Éternel et le prier de lui procurer un ouvrier qui sût travailler l'or, l'argent, le cuivre, le fer, qui sût employer habilement la pourpre, l'écarlate et la hyacinthe, et qui fût expérimenté dans la sculpture et l'architecture afin qu'il pût l'établir maître et mettre sous sa direction les ouvriers que le roi David et lui avaient eu soin de rassembler. Il lui demanda aussi des bois de cèdre, de genièvre et de pin du mont Liban et lui offrit de payer ceux de ses sujets qu'il voudrait employer à ses travaux, promettant de leur donner vingt mille mesures de blé et autant d'orge, vingt mille pièces de vin et autant d'huile, et le pria de lui faire savoir si cette proposition lui convenait et si ses offres étaient suffisantes ». « Le roi Hiram se porta avec plaisir à servir son allié et lui répondit en ces termes par son ambassadeur » : « Je ferais ce que vous souhaitez de moi pour les bois du Liban, et autres, qui vous sont nécessaires ; à l'égard du savant homme que vous cherchez pour conduire votre ouvrage, je vous envoie ce qu'il vous faut, très content de vous faire un si beau présent. C'est un de mes sujets nommé Hiram Abif, né d'un père tyrien nommé Hur et d'une mère originaire de la ville de Dan de votre tribu de Nephtali ». « C'est d'ailleurs un homme très sage et un prodige d'habileté, d'adresse et de prudence. Je l'honore, je l'aime comme mon propre père et vous le recommande comme mon fils ». « Il possède dans un degré éminent l'art de toutes les teintures de pourpre, d[e] hyacinthe et d'écarlate. Mais ce qui vous fera encore plus de plaisir dans la circonstance présente, et qui vous le rendra plus cher, c'est qu'il a un génie rare pour l'invention et un goût exquis pour le dessin. Il va vous joindre incessamment et je vais tout de suite mettre un nombre suffisant de mes sujets à vous couper du bois dans mes forêts du mont Liban que je vous ferai transporter au port de Joppé où vous pourrez les faire prendre et transporter jusqu'à Jérusalem, acceptant pour mes sujets qui travailleront pour vous les conditions que vous m'offrez ». « Tous les préparatifs étant faits et réglés par la sagesse de Salomon, et ayant établi le sublime Hiram Abif pour chef de ses travaux, il fit le dénombrement des prosélytes établis dans son royaume. On en compta cent cinquante-trois mille six cents qui furent tous employés aux ouvrages intérieurs ou extérieurs du Temple. On en marqua soixante et dix mille pour servir de manœuvres et pour porter des fardeaux. C'est ce nombre, M\ F\, qui fait l'époque et l'histoire des App\ F\ M\, le premier grade symbolique que vous avez obtenu ». « Quatre-vingt mille furent envoyés dans les montagnes pour y tailler des pierres qu'on ôtait des carrières. C'est l'époque de l'histoire des Comp\ et le 2e grade symbolique que vous avez reçu ». « Trois mille trois cents commandaient aux travailleurs et ils conduisaient l'ouvrage, et trois cents autres, qui avaient une inspection plus générale, présidaient à tout l'ouvrage sous les ordres d'Hiram, veillant avec zèle partout où leur présence était nécessaire. Ceux-ci sont l'époque symbolique du grade de M\ que vous allez recevoir et dont je vais vous confier le secret et tout le sublime qu'il renferme. Redoublez votre attention ! » « Quand tous les matériaux furent préparés, on commença la superbe bâtisse du Temple. Cette époque historique si célèbre pour les Hébreux, et plus encore pour les F\ M\, fut la quatre cent quatre-vingtième [année] depuis le passage de la mer Rouge, la quatrième du règne de Salomon et la première du jour du mois... » « Hiram, qui avait la direction de cette vaste entreprise, s'aperçut au bout de quelque temps qu'il payait au-delà de ce que pouvait monter un pareil nombre d'ouvriers, et cela par la voie de trois perfides Comp\ qui faisaient, au sixième jour établi pour le paiement, avancer un grand nombre d'étrangers pour recevoir des salaires, comme s'ils eussent été réellement du nombre des travailleurs, et partageaient ensemble leur vol et leur butin ». « Hiram alors assembla tous les ouvriers et leur fit prêter un serment qui rendait inviolable le secret qu'il avait à leur confier. Cela fait, il les divisa en trois classes, comme il avait déjà fait, et fit d'abord celle des App\ qui étaient au nombre de soixante et dix mille et leur donna un signe, un mot, une marche et un attouchement, pareils à ceux que vous [avez] reçus dans ce grade. Cela devait servir à les faire connaître quand ils viendraient le samedi au soir recevoir leur salaire. Il leur défendit de divulguer ces choses à personne et, pour les en empêcher, il leur fit faire la promesse que vous avez faite vous-même et leur désigna la colonne J à gauche du Temple pour y recevoir leur salaire ». « Il fit ensuite avancer les Comp\, qui étaient au nombre de quatre-vingt mille, auxquels il donna un signe, un mot, une marche et un attouchement différents des premiers, pareils à ceux que vous avez reçu dans ce grade, sous promesse de ne point les divulguer, et leur assigna la colonne B pour recevoir leur salaire ». « Enfin, il fit la classe des M\ qui étaient au nombre de trois mille six cents auxquels il donna des signes, des mots et des attouchements et une marche pour se reconnaître différents de ceux qu'avaient les App\ et les Comp\, leur fit faire serment de ne point les révéler et leur assigna le propitiatoire pour recevoir leur salaire qui était plus fort que ceux des deux autres classes ». « Tels furent les arrangements, mon F\, que le grand homme, le premier Grand M\ symbolique de la F\ M\, avait pris pour les secrets des paiements. C'est lui que représente dans nos L\ le V\ G\ M\. Salomon lui donna deux adjoints qui portaient le nom de Survts ». « L'un payait les Comp\ à la colonne B, et l'autre les App\ à la colonne J, et sont représentés dans nos L\ par les 1er et 2e Survts ». « Il arriva de cet arrangement que les trois Comp\, ne pouvant plus voler l'argent destiné au paiement des ouvriers, et peu contents de leur paie, résolurent d'extorquer celle de M\ en tâchant de se procurer le signe, le mot et l'attouchement de ce grade en le demandant à Hiram, qui leur répondit qu'ils n'étaient pas encore en état de travailler aux ouvrages de M\, mais qu'ils n'avaient qu'à s'appliquer, et qu'aussitôt qu'ils seraient en état, il les ferait M\ avec plaisir ». « Ces malheureux, mécontents de cette réponse, résolurent d'avoir de force ce qu'ils étaient indignes d'avoir par leur mérite, et s'y prirent de cette manière ». « Le T\ R\ M\ Hiram était dans l'usage sur la fin du jour de faire la revue générale des travaux du Temple qui, pour lors, étaient déjà forts avancés. Ces trois scélérats attendirent que tous les ouvriers fussent sortis et se postèrent, un à la porte de l'Orient, l'autre à celle de l'Occident et le troisième à la porte du Midi ». « Hiram, seul ce soir-là, ayant fait la ronde à l'ordinaire et examiné les travaux du jour, se retirait au palais du roi. Il trouva à la porte de l'Occident un de ces scélérats qui l'attendait et qui, s'approchant de lui, en exigea le signe, le mot et l'attouchement de M\. Hiram le lui refusa en lui disant qu'il lui donnerait quand il en serait digne. L'infâme persista toujours à les lui demander, mais voyant qu'il ne pouvait l'obtenir du vertueux Hiram, il lui donna un coup de règle sur la tête qui l'étourdit. Mais, ayant repris ses esprits, il fut pour sortir par la porte du Midi où il trouva un autre de ces Comp\ qui lui fit la même demande. Il reçut la même réponse du R\ Hiram. Ce misérable, voyant qu'il ne pouvait rien obtenir, emporté par sa rage, lui donna un coup de marteau sur l'épaule qui le meurtrit cruellement. Il eut encore la force de se sauver à la porte de l'Orient, mais, y étant parvenu avec bien de la peine, il y trouva le troisième de ces scélérats qui le menaça de le tuer s'il ne lui donnait le mot, le signe et l'attouchement de M\. Hiram lui représenta avec douceur qu'il ne pouvait [les] lui donner ainsi et que son application au travail lui procurerait cet avantage un jour. Le forcené persista à le vouloir de force et, enflammé de colère par le refus d'Hiram, il lui déchargea un terrible coup de levier qui l'étendit mort à ses pieds ». Ici, on étend le Récipiendaire sur le tombeau d'Hiram, on le couvre d'un drap noir, on lui met sur la tête un linge blanc ensanglanté qui était sur la tête du dernier M\. On allume neuf bougies autour du cercueil. Les FF\ se placent des deux côtés en silence et on n'entend que quelques gémissements: « il est mort...il est tué », etc. Alors le [T\ R\] s'approche du cercueil et continue : « Victime de son zèle et de son secret, exemple à jamais mémorable pour tous les M\, le R\ Hiram aima mieux mourir que de trahir son [serment]. Soyons donc, dans tous les temps, aussi fermes et aussi courageux que lui, à quelques épreuves que nous soyons mis. Ainsi périt le plus Vble et le premier M\ que nous ayons eu ». « Dès qu'il fut mort, les trois assassins le cachèrent sous un escalier dérobé à l'Orient du Temple, voulant le porter sans risque pendant la nuit sur le mont Ebron, lieu qu'ils avaient choisi pour la sépulture ». « La nuit étant enfin venue, ils le transportèrent sur cette montagne. Comme ils étaient à creuser la terre, [l'] un d'eux dit qu'on ne devait pas ignorer que le roi Salomon ferait faire toutes les recherches possibles s'il ne voyait pas Hiram, que cette montagne étant un lieu où les ouvriers travaillaient, on découvrirait aisément leur crime. C'est pourquoi, ils marquèrent le lieu de la sépulture d'une grosse branche d'un acacia pour reconnaître l'endroit où ils mettaient le cadavre, dans l'intention de venir le prendre la nuit suivante et le transporter dans un endroit plus éloigné, dans le cas que Salomon n'aurait pas fait des recherches à cet égard ». « Hiram était dans l'usage d'aller tous les jours rendre compte à Salomon de ce qui s'était passé dans la journée et prenait avec lui les arrangements nécessaires pour la perfection du Temple. Le roi ne le voyant point paraître, et ignorant l'accident qui lui était arrivé, ordonna des recherches les plus vives pour avoir des nouvelles de son cher Hiram, voulant qu'on le trouvât mort ou vif, et promit à cet effet des récompenses à ceux qui pourraient le découvrir ». « Il fit aussi un édit par lequel il déclarait que nul ouvrier ne serait payé jusqu'à ce que l'on eût des nouvelles d'Hiram, et pour en avoir de promptes, il députa neuf M\ à qui il ordonna de ne point revenir qu'ils n'en eussent de nouvelles ». « Ces neuf M\ se donnèrent rendez-vous en se désignant l'endroit où ils devaient se trouver le huitième jour. Ensuite, ils se dispersèrent et se divisèrent en trois bandes. Trois sortirent par la porte de l'Occident, trois par celle du Midi et trois par celle de l'Orient, dans le dessein de ne point retourner s'ils n'en avaient point de nouvelles. Ils cherchèrent inutilement pendant huit jours et ce ne fut que le soir du neuvième que, s'étant tous rejoints à l'Orient du Temple, fort chagrins, ils firent leur prière, et comme ils la finissaient, ils aperçurent dans le firmament une étoile qui, par son éclat au-dessus des autres et les feux qu'elle jetait, ressemblait aux rayons du Soleil. Ils la fixèrent avec étonnement et dirent qu'il y avait dans cette apparition quelque chose de miraculeux. Ils montèrent sur le mont Ebron où l'un d'eux, voulant considérer cette étoile flamboyante, s'appuya sur la branche d'acacia plantée sur la fosse d'Hiram qui tomba. S'apercevant que la terre avait été remuée à cet endroit, il appela ses compagnons qui présumèrent l'accident arrivé à leur R\ M\ et convinrent que le premier signe qu'ils feraient en découvrant son corps serait à l'avenir le signe de M\, le premier signe pouvant être connu des meurtriers leur devenant inutile. Ils convinrent de même de l'attouchement et du mot et réformèrent ainsi le grade de M\ en empêchant l'abus que les meurtriers auraient pu faire du secret de la M\, en supposant qu'ils eussent réussi de lui arracher son secret avant sa mort ».« S'étant rangés autour de la fosse de sept pieds en longueur, trois en largeur et cinq en profondeur, ayant découvert le corps d'Hiram qui était déjà corrompu, ils firent tous le signe d'horreur qui est encore le signe de M\ (Tous les M\ font le signe) ». « Ensuite, l'un d'eux s'approchant de ce corps, lui prit un doigt de la main droite en prononçant « J\ », et le doigt se détacha du corps et lui resta dans la main. Un second s'approcha, prit un autre doigt en prononçant « B\ », qui se détacha de même que le premier. Enfin, un troisième s'étant approché du cadavre, lui mit pied contre pied, genou contre genou, son bras gauche derrière le corps, appuyant son estomac contre son estomac, et lui ayant cramponné la main droite au-dessus du poignet avec la sienne, il réussit à le relever en prononçant « M\ B\ », qui est encore le mot sacré du M\ ». Le T\ R\ relève de même le Récipiendaire de dessus le tombeau d'Hiram, le fait avancé au trône, lui fait prêter l'obligation suivante… Obligation. « J e promets, foi d'honnête homme, et devant cette R\ assemblée, de ne jamais révéler à aucun homme qui n'ait fait ce que j'ai fait, les secrets qui concernent le titre sublime de Maître\ Maçon\ ». « Je promets
d'en remplir scrupuleusement les obligations en toute rencontre au
péril de mon sang, de tenir mes engagements, et consens que
la mort la plus affreuse soit la peine de mon parjure après
que mes yeux auront été privés de la
lumière par le fer rouge, que mon corps devienne la proie
des vautours et que ma mémoire soit en exécration
aux Enfants de la Veuve par toute la Terre ».
« Ainsi soit-il ». « En mon [nom] particulier, C\ F\, je me félicite de la faveur que cette R\ L\vous a faite en vous dévoilant les sublimes mystères de la maî.·., bien persuadé que vous mériterez d'autant plus par votre sagesse, votre prudence, votre application aux travaux de cet atelier, et par la pratique de toutes les vertus, les bontés de cette R\ L\ et votre avancement dans les grades supérieurs de l'Ordre. Jetez les yeux sur le tableau ; c'est la figure du tombeau de notre M\ ; les larmes qui l'environnent marquent la douleur de nos cœurs ; cette branche nous rappelle l'assassinat et le crime des Comp\. Cette mort [est] le tribut que nous devons à la nature. Ce mot gravé sur le tombeau [est] l'ancien mot de M\ qu'on a enseveli avec lui dans la crainte qu'il ne fût connu des Comp\. Enfin, ces lettres initiales placées à la tête du tombeau désignent le nouveau mot adopté pour ce grade. Vos oreilles l'ont entendu et je ne dois plus vous le répéter [de] crainte de le profaner ». « Le T\ R\, en vous initiant dans nos sublimes mystères et en vous donnant le grade de M\, vous a dit la véritable histoire de ce grade et en même temps celle de la F\ M\. Je ne m'étendrai donc point sur ce sujet. Puissiez-vous, à l'exemple du R\ M\ Hiram, être toujours un soutien ferme, courageux et zélé, de la splendeur d'un Ordre dont vous devenez aujourd'hui un des principaux membres. Puisse le Grand Architecte de l'Univers entendre favorablement la prière que je vais lui adresser afin qu'il vous accorde la force nécessaire [à un] Maçon pour être inébranlable dans ses principes, ses promesses et ses devoirs, et ne jamais broncher dans le sentier de la vertu ». Prière. « O Dieu de toute puissance et de toute bonté, Architecte sublime et immuable de l'Univers que tu remplis de ta gloire, écoute du Saint des Saints la prière sincère et fervente que t'adresse un des enfants de la Veuve, au nom des FF\ d'un Ordre dont tu diriges les travaux et que tu [daignes] de ta main bienfaisante protéger et soutenir dans tous les temps ; écoute ma faible voix et daigne accepter pour être à jamais béni de toi, le F\ que nous venons d'initier dans nos R\ mystères ; daigne lui accorder toutes les vertus nécessaires à un vrai M\, et fais qu'il ne soit jamais pour ses FF\ qu'un modèle de sagesse, d'amitié et de prudence ». Après ce discours, on
donne au nouveau M\ le grand signe dont il ne doit jamais faire usage
que dans le plus pressant besoin. Les mots qui composent le grand cri
sont : à moi les Enfants de la Veuve. Le grand signe est de
joindre les mains renversées sur la tête en
prononçant les paroles ci-dessus. Après avoir
fait applaudir à ce travail, on ferme la L\ comme il est
marqué ci-dessous au catéchisme. La L\ se ferme comme aux grades précédents. |
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