GLFM | Loge : NC | 11/2011 |
Theurgie,
Magie, Alchimie Théurgie
: du Grec
(THEOS=DIEU et ERGON=ouvrage) Ce
mot, qui
signifie proprement opération divine, paraît avoir
été introduit dans le
vocabulaire philosophique et théologique par les
Alexandrins. Il désigne
l’ensemble des procédés par lesquels
les humains peuvent se mettre
effectivement en relation avec la divinité ou, plus
généralement, avec les
puissances surnaturelles. En
ce sens la MAGIE
elle-même peut être
considérée comme une branche de la THEURGIE,
laquelle dès
lors contiendrait aussi bien l’évocation des morts
et des démons, que l’extase.
Ou plutôt il y aurait lieu de distinguer une
Théurgie inférieure et une
Théurgie supérieure, la première
utilisée par les Magiciens et les Sorciers et
la seconde réservée aux Théologiens et
aux Philosophes. L’une et l’autre
cependant reposant sur le même postulat, à savoir
qu’il existe des lois en
vertu desquelles certaines conditions étant remplies, les
puissances naturelles
doivent nécessairement se révéler ou
se communiquer aux humains, de telle sorte
que la connaissance de ces lois donne à celui ou
à celle qui les possède, et
qui peut s’en servir, un véritable empire sur les
« forces » du ciel et de
l’enfer. On retrouve cette même idée au
fond de beaucoup de cérémonies religieuses,
et par exemple dans le Catholicisme, la plupart des Sacrements peuvent
être
considérés comme entrant sous la forme de
Théurgie ; en particulier le
Sacrement de l’Eucharistie, où le
Prêtre, par la vertu des paroles de la
consécration, force en quelque sorte la divinité
à venir s’enfermer sous les
apparences du pain et du vin. La Théurgie ne serait donc que
de la Philosophie
occulte cherchant à se mettre en rapport avec Dieu,
d’une manière sensible, quand
l’esprit ne
sait pas encore, ou ne peut plus s’élever
jusqu’à lui par la pensée. Les
Égyptiens, les Chaldéens, et les Perses
pratiquèrent la Théurgie. Dans les
derniers temps de la philosophie grecque, les
Néoplatoniciens, qui se
rattachaient à l’Orient,
s’adonnèrent aux pratiques de la
Théurgie. PORPHYRE
s’arrêta assez tôt sur cette pente pour
se demander si la Théurgie n’était pas
le délire d’une âme religieuse qui ne
ferait de rien des montagnes. Après lui
JAMBLIQUE et ses successeurs la regardèrent comme le seul
moyen de s’unir aux
Dieux. La Philosophie devint pour eux la Théurgie, et la
science hiératique, si
pratiquée en Egypte remplaça les doctrines de
PLATON et de PLOTIN. JULIEN fut
un sectateur ardent de la Théurgie, aux secrets de laquelle
il fut initié par
MAXIME, le Théurge le plus renommé de son temps.
PROCLUS semble considérer la
Théurgie plutôt comme la doctrine commune
d’une école particulière que comme
une croyance extravagante que quelques Alexandrins auraient
partagée, et il
attribue aux Théurges plusieurs opinions sur des questions
purement
spéculatives, telles que la nature de Dieu et les Hypostases
divines. Cette
opinion de PROCLUS rappelle celle des critiques qui rattachent la
Théurgie à
certaines sectes gnostiques. Pour revenir au
Hiératique où à la « sagesse
Hiératique » je citerai cette maxime de
l’art
Hiératique « Mourez avant de mourir ».
En des formules diverses, gnostiques et
Soufis de l’Islam répéteront
à peu près la même chose, pour tenter
d’exprimer
le moment ou émerge : à la conscience la
présence du sujet divin qui est le
sujet réel des activités de cette conscience ! C’est
en effet une
même vertu qui rend apte à la suprême
vision de la « lumière de gloire » que
les néoplatoniciens désignent comme
Théurgique, et que postule, selon les
oracles Chaldéens, l’ascension de
l’Âme. D’où la notion
Théurgique s’applique,
chez les néoplatoniciens, aussi bien à une
méthode pratique d’union active avec
les êtres spirituels, qu’à
l’union supra - rationnelle où le sujet qui agit
«
l’œuvre divine » est le sujet divin
lui-même. Cette méthode est alors
désignée
encore comme Hiératique ; les Hiératiques sont
ceux qui la mettent en pratique,
et pour les néoplatoniciens la Théurgie
Chaldéenne était l’une des
méthodes
Hiératiques mais pas la seule. Elle est toujours
fondée sur certaines règles
ascétiques et présuppose tout un ensemble de
connaissances Théosophiques. LA
MAGIE Les
Anciens ont
donné le nom de Magie à une pratique qui avait la
prétention de soumettre les
puissances supérieures et/ou inférieures
(esprits, génies, démons) à la
volonté
de l’homme, et de les contraindre, soit en se les rendant
favorables, soit en
les conjurant, les évoquant par des paroles ou des
procédés mystérieux, à
exécuter des actes extraordinaires, tels que des
divinations, des apparitions,
des transformations, des guérisons subites, des maladies
mortelles, des
sentiments irrésistibles d’amour, de haine, etc.
Les Magiciens s’attribuaient
le mérite et le pouvoir de commander aux
éléments, d’intervertir la marche des
astres et de les faire descendre sur la terre. Les
individus qui
se qualifiaient ainsi réussissaient sans doute à
produire des actes
véritablement surprenants ; mais ce
n’était pas, il est à peine besoin de
le
dire aujourd’hui, par la puissance de leurs formules ou la
vertu de leurs
pratiques encore que... Les
effets qui
frappaient d’admiration ou de terreur les spectateurs de
leurs prodiges,
résultaient de moyens fort naturels dont ils utilisaient la
connaissance et
qu’ils variaient suivant le plus ou moins de
crédulité de leurs contemporains. Dans
les Sociétés
traditionnelles, et aussi bien plus souvent qu’on le dit dans
les sociétés
industrialisées et médiatiques, il
n’est pas besoin d’artifices bien
merveilleux pour acquérir la réputation
d’un magicien bien redoutable. De même le prestige que l’on attribue aux magiciens de l’Égypte, de l’Assyrie et de la Perse donnent à penser que ceux-ci avaient des connaissances en physique, en chimie, en physiologie et en astronomie, dont ils savaient tirer admirablement parti, accolées aux systèmes de croyances des endroits où ils se trouvaient, révélant par leurs actions, de vrais faits ou phénomènes se rapprochant autant des mystères, que des désirs de voir la réalisation de demandes et prières de leurs contemporains réalisées. Les philosophes Alexandrins distinguaient deux espèces de magie : la magie malfaisante, qu’ils nommaient GOETIE (en Grec se lamenter, gémir) et dont ils attribuaient les effets aux mauvais démons ; et la magie bienfaisante, qu’ils appelaient THEURGIE (Théos, Dieu) parce que selon eux, elle était l’œuvre des bons génies. Les démonologues du XVIème siècle substituèrent aux mots de Goétie et de Théurgie ceux de magie noire et de magie blanche. Enfin dans les temps plus modernes, la magie noire a été reléguée au temps des chimères, et l’on a appliqué le nom de magie blanche, à l’art qui consiste à produire des effets merveilleux par des moyens naturels empruntés aux diverses branches des sciences physiques, à la physiologie, à la chimie (anciennement al chimie) etc. Quand
à la magie
proprement dite, on peut y établir plusieurs distinctions
selon les moyens
qu’elle employait ou le but qu’elle se proposait :
On a cru, que par certaines
formules d’invocations, on pouvait faire agir les «
génies » c’est ce que l’on
a nommé « charmes » ; les attirer par
des chants ou par le son des instruments
de musique, ce sont les « enchantements » ;
évoquer les morts et converser avec
eux, c’est la « nécromancie »
; apprendre l’avenir et connaître les choses
cachées, c’est « la divination
» ; envoyer des maladies et causer du dommage à
ceux à qui on voulait nuire, ce sont « les
maléfices » ;nouer les enfants les
empêcher de croître, frapper les hommes
d’impuissance, c'est « la fascination »
; diriger les sorts, bons ou mauvais, et les faire tomber sur qui
l’on voulait,
c’est ce que nous nommons « sortilège ou
sorcellerie » ; inspirer des passions
criminelles aux personnes de l’un où
l’autre sexe, ce sont « les philtres »
etc. On
attribuait
souvent l’invention de la magie aux Mages ou
Prêtres de ZOROASTRE, et l’on admettait
qu’elle prit naissance dans la MEDIE,
d’où elle se répandit peu à
peu en
CHALDEE, en PERSE, en Grèce, à ROME et ailleurs. Mais
les Prêtres
Mazdéens ne firent vraisemblablement que donner à
cette prétendue science une
forme plus arrêtée, car les pratiques magiques
existaient bien longtemps avant
l’institution du Mazdéisme. Quand on
étudie l’histoire de
l’antiquité, on y
trouve des magiciens de tous les temps et chez tous les peuples.
Seulement le
caractère de leur science varie suivant les
régions. Ce qui frappe encore,
c’est que dans les états orientaux la magie se
rattachait intimement aux
croyances religieuses, aussi était-elle exclusivement
pratiquée par les castes
sacerdotales. Quant à l’influence que les
magiciens exerçaient, même sur les gouvernements,
on peut s’en faire une idée par un passage de
l’Ancien Testament où il est
question de luttes de MOÏSE avec les Magiciens de Pharaon. Cette
influence
existait aussi en PERSE. On
sait aujourd’hui
que les pratiques magiques existent dans toutes les cultures.
Simplement la
magie dont il est question ici est seulement celle qui a
été connue et
pratiquée traditionnellement en Occident. Et
parmi les
Magiciens de l’antiquité, connus dans un
passé du monde occidental, ceux de la MEDIE et
de la PERSE passèrent toujours pour les plus habiles.
Plusieurs d’entre eux
vinrent à différentes époques, dans la
Grèce et principalement en Italie,
exploiter leur prétendue science, qui fut avidement
accueillie par la «
superstition » Romaine. Néanmoins c’est
dans les derniers temps du paganisme
que la Magie devint surtout florissante sous l’influence des
philosophes de
l’école d’Alexandrie. L’ALCHIMIE
L’Al
- Chimie ou
chimie de Dieu, est une discipline qui recouvre un ensemble de
pratiques et de
spéculations qui sont en rapport avec la transmutation des
Métaux. L’un des
objectifs de l’alchimie est le « Grand
Œuvre », c'est-à-dire la
réalisation de
la pierre philosophale permettant cette transmutation des
métaux, notamment les
métaux vils comme le plomb, en métaux nobles
comme l’argent et l’or. Un autre
objectif de l’alchimie est la recherche de la
panacée (médecine universelle) et
la prolongation de la vie par l’intermédiaire
d’un élixir de longue vie. La
pratique de l’alchimie et les théories de la
matière sur lesquelles elle se
fonde, sont parfois accompagnées, à partir de la
renaissance, de spéculations
philosophiques, mystiques et/ou spirituelles. Des
pensées et des
pratiques de type alchimique ont existé en Chine
dès le 4ème siècle av. J.C, et
en Inde dès le 6ème Siècle de notre
ère. L’Alchimie
occidentale elle, prend vraisemblablement
ses origines dans l’Égypte
hellénistique des Ptolémée entre - 100
(avec Bolos
et Mendès) et 300 avec (Zosime de Panopolis). Elle
s’est ensuite
développée dans le monde Arabe puis
Européen durant le moyen-âge et
jusqu’à la
Renaissance. Jusqu’à la fin du XVIIème
siècle les mots alchimie et chimie sont
synonymes et utilisés indifféremment. Ce
n’est qu’au cours du XVIIIème
siècle
qu’ils se distinguent, et que l’alchimie
connaît une phase de déclin sans
toutefois disparaître totalement, alors que la chimie moderne
s’impose avec les
travaux de LAVOISIER. Le mot Alchimie
vient de l’Arabe « alkymiya » et
apparaît dans le vocabulaire Français au
XIVème siècle, par le latin
médiéval « alchemia ». Ainsi
que du Grec ancien «
chumeia /chêmeia » signifiant ( art de fondre les
métaux). KYMIA pourrait
également venir du mot Copte « kême
», lui- même dérivant du
démotique KMI,
correspondant au moyen Égyptien,
désignant l’Égypte.
L’alchimie occidentale est née dans
l’ancienne Égypte
Gréco-romaine à Alexandrie entre le 1er
siècle avant J.C et le 3ème siècle de
notre ère. En ce qui concerne la substance même
de l’alchimie gréco-égyptienne,
elle serait née de la rencontre d’un fait et
d’une doctrine. Le fait est l’art
du bijoutier et du teinturier fantaisie, c'est-à-dire
l’art de reproduire à
meilleur compte l’Or, l’Argent, les Pierres
précieuses et la Pourpre. La
doctrine elle, est une spéculation mystique
centrée sur l’idée de sympathie
universelle. Car l’alchimie est liée à
la philosophie hermétique, que l’on peut
définir comme « une vision du monde
fondée sur les correspondances et
SYMPATHIES unissant Macrocosme et Microcosme ». Il ne faut
cependant pas
confondre les deux ! Les textes philosophiques du « Corpus
Hermeticum » ne
parlant pas d’alchimie. Des textes, à la fois
hermétiques et alchimiques,
apparaissent dès le 2ème ou 1er siècle
avant J.C. Sont-ils Égyptiens pour autant ?
Dans le cas de l’alchimie, les anciens
Égyptiens sont connus pour s’être
intéressés à l’origine et
à la nature des
pierres précieuses et des métaux, et les textes
alchimiques grecs de
l’antiquité tardive contiennent diverses allusions
à l’Égypte et à ses
traditions, mais nous n’y trouvons rien d’analogue
à l’évolution, sans solution
de continuité, de la Magie Pharaonique à la magie
Gréco- Égyptienne. Le même
discours vaut pour l’astrologie. Cependant
l’Égyptologue François DUMAS est
d’un avis opposé : il voit un lien entre la
pensée égyptienne et l’alchimie
Gréco -Égyptienne, à travers la notion
de pierre, pierre à bâtir ou pierre
philosophale. Les Égyptiens nous le savons avaient une conception dynamique de la pierre. Dans un des textes des « Pyramides » il est écrit qu’un lapis-lazuli croît comme une plante. Et dans une inscription à Abou SIMBEL, datant du règne de Ramsès II (1279-1213 av. J.C) le Dieu Ptah, créateur du monde, dit comment les déserts créent des pierres précieuses. En résumé l’alchimie s’est donné des buts distincts, qui parfois coexistent. Le but le plus emblématique de l’alchimie est la fabrication de la pierre philosophale, ou « grand œuvre », censée être capable de transmuter les métaux vils en métaux nobles. D’autres buts de l’alchimie sont essentiellement thérapeutiques ; la recherche de l’élixir d’immortalité et de la panacée (médecine universelle), et explique l’importance de la médecine arabe dans le développement de l’alchimie. Derrière des textes hermétiques constitués de symboles cachant leurs sens profane, certains alchimistes s’intéressaient plutôt à la transmutation de l’âme, c'est-à-dire à l’éveil spirituel. On parle alors de « l’alchimie mystique ». Plus radical encore « l’ars magna » une autre branche de l’alchimie, a pour objet la transmutation de l’alchimiste lui-même, en une sorte de surhomme aux pouvoirs quasi-illimités 1 Etc. *** Il est important après ces
exposés qui ont tous les trois des points
communs très évidents, qu’il serait
inutile de récuser ; d’arriver à la
synthèse de ce propos réunissant trois
« sciences » entre guillemets utilisées
par et pour les hommes les inscrivants dans une «
quête » qui est celle de
l’immortalité... C’est pourquoi, je
souhaite ici reprendre les paroles même de
l’un de nos Maîtres, j’ai
nommé « CAGLIOSTRO » : « Je ne suis d’aucune
époque ni d’aucun lieu ; en dehors du temps et de
l’espace, mon être spirituel vit son
éternelle existence, et, si je plonge dans
ma pensée en remontant le cours des âges, si
j’étends mon esprit vers un mode
d’existence éloigné de celui que vous
percevez, je deviens celui que je désire.
Participant consciemment à l’être
absolu, je règle mon action selon le milieu
qui m’entoure. Mon nom est celui de ma fonction, et je le
choisis, ainsi que ma
fonction parce que je suis libre ; mon pays est celui où je
fixe momentanément
mes pas. Datez vous d’hier, si vous le voulez, en vous
rehaussant d’années
vécues par des ancêtres qui vous furent
étrangers ; ou demain, par l’orgueil
illusoire d’une grandeur qui ne sera peut-être
jamais la vôtre ; moi, je suis
celui qui est. Me voici : je suis noble et voyageur ; je
parle, et votre âme frémit en
reconnaissant d’anciennes paroles ; une voix qui est
en vous, et qui s’était tue
depuis bien longtemps, répond à l’appel
de la mienne ; j’agis, et la paix
revient en vos cœurs, la santé dans vos corps,
l’espoir et le courage dans vos
âmes. Tous les hommes sont mes frères, tous les pays me sont chers ; je les parcours pour que partout, l’esprit puisse descendre et trouver un chemin vers nous. Je ne demande aux rois, dont je respecte la puissance, que l’hospitalité sur leurs terres, et, lorsqu’elle m’est accordée, je passe, faisant autour de moi le plus de bien possible ; mais je ne fais que passer. Suis-je un noble voyageur. Comme le vent du Sud comme l’éclatante lumière du midi qui caractérise la pleine connaissance des choses et la communion active avec Dieu, je viens vers le Nord, vers la brume et le froid, abandonnant partout à mon passage quelques parcelles de moi- même me diminuant à chaque station, mais vous laissant un peu de clarté, un peu de chaleur, un peu de force, jusqu’à ce que je sois enfin arrêté et fixé définitivement au terme de ma carrière, à l’heure où la rose fleurira sur la croix. Je suis CAGLIOSTRO. Frères et Sœurs, * Depuis les origines, les hommes des
sociétés traditionnelles ont
intuitivement perçu les racines spirituelles de la
création, celles de leur
être propre, et, par voie de conséquence, de leur
vie, du vrai et unique sens
de toute vie humaine. Nous
pouvons dire
aujourd’hui que ce qui était alors comme une
inclination naturelle de l’âme à
l’entendement des mystères, ou, du moins
à la conscience de leur existence et
aux exigences spirituelles qu’ils impliquent, s’est
au fur et à mesure délité,
perdu pour un grand nombre de nos contemporains, et en peu de temps
finalement
; ce qui n’est pas surprenant, car la chute , nous le savons
est beaucoup plus
aisée et plus rapide que l’acquisition de
l’équilibre et de la beauté de
l’édifice... La Théurgie, comme la
Magie et l’Alchimie s’inscrivent à leur
manière, comme des éléments
indispensables aux possibilités inscrites dans le
génome de l’être humain, comme lui
donnant une version améliorée de ses
possibilités, puisque créé
à l’image de Dieu, il ne peut concevoir ou
accepter,
que sa vie trop courte, se limite à ce peu
d’années, dont il ne dispose souvent
que pour un labeur acharné, lui permettant de survivre et
non d’exister 1 C’est
pourquoi au nom de son imaginaire il se reconstruit et se
recréée dans des
systèmes lui permettant comme fils prodigue un retour
à la rencontre de son
créateur ; car la quête spirituelle lui est
essentielle, et connaturelle en son
état ordinaire. C’est aussi en notre
époque d’obscurité de
l’esprit, qu’il a
encore plus besoin de la réaffirmation de
vérités, qui même si elles sont de sa
création, lui donnent l’espoir d’un
espace, conduisant à une participation
vivante de celui ou celle qui doit être appelé,
autant que ce mot puisse
traduire l’aventure intérieure de
l’âme, et ce sans relâche, ni faiblesse
ou
découragement ! J’ai
dit. M\ De B\ |
7030-D | L'EDIFICE - contact@ledifice.net | \ |