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Le Feu En termes de Physique, Le feu est la production d'une flamme par une réaction chimique exothermique d'oxydation appelée combustion. dans la nature, il peut résulter de la foudre ou de la fermentation (production de gaz inflammables et de chaleur). De manière générale, le terme « feu » désigne souvent un phénomène produisant de la lumière et / ou de la chaleur, qu'il provienne d'une combustion ou non. Son pouvoir de destruction, sa douce chaleur et sa dangereuse et douloureuse brûlure ainsi que la facilité de sa création, me fascine, aussi je me lance dans son étude. Le feu est souvent associé à des cultes divers. Parfois, il est associé à la puissance divine, d'où un grand nombre de rituels, passés ou actuels, autour du feu. Mais il est aussi souvent associé aux forces du mal ; dans la tradition chrétienne, l’enfer est souvent représenté comme le royaume des flammes éternelles. Cette ambivalence se retrouve dans les aspects moraux et juridiques du feu ; tantôt il a pu être considéré comme l'instrument d'une justice transcendante (le bûcher fut une condamnation pénale courante au moyen age, et existe même très localement à l'époque contemporaine ; alors que l'immolation est considérée par certains comme un acte de sacrifice suprême face à la justice des hommes, y compris dans des sociétés modernes, comme en Tchécoslovaquie en 1969) ; tantôt son usage est rigoureusement contrôlé, et parfois gravement sanctionné (l'incendie était un des plus grands crimes à Athènes). Le feu est aussi un symbole de purification, d'où l'utilisation du bûcher pour certaine condamnation. Ce symbole provient sans doute de certaines pratiques agraires qui consistent à brûler la terre pour la rendre plus fertile (brûlis), mais il est certain que cette symbolique tient son origine de plusieurs sources. Pourtant, le feu comme symbole de purification était pratique courante pour les chrétiens du moyen age ; avec le temps ces pratiques (ordalies, bûcher, etc.) se sont perdues ou ont tout simplement été interdites. Le feu a aussi un symbolisme érotique. Dans l’Enéide la passion que Didon avait pour Enée la consumait de l'intérieur. Cette symbolique érotique prend son sens dans les métaphores et les images qui font coïncider le feu et l'acte sexuel, la passion, l'affectivité, les sentiments, etc. Dans la mythologie gréco-romaine, Cupidon était représenté par un arc et une torche. De plus, la science soutient cette symbolique, car la motivation Psychophysiologique naît des variations thermiques et se termine par l'acte sexuel. Le feu est divinisé dans de nombreuses cultures et a été l'objet de l'adoration d'un grand nombre de peuples et de tribus. Chez les anciens, les Perses regardaient le culte du feu comme la partie fondamentale de leur religion et les cérémonies de ce culte sont retracées avec détail dans le Zend Avesta. (l'ensemble des textes sacrés de la religion Mazdéenne) Les Perses saluaient tous les matins le soleil levant, symbole du feu le plus pur. Ils regardaient le feu comme le protecteur des États et conservaient dans des sanctuaires particuliers le feu sacré qui ne devait jamais s'éteindre. Dans la mythologie grecque, il a été volé aux dieux et apporté aux Hommes par Prométhée. Les Juifs allument une Hanoukka (chandelier à neuf branches) lors de la fête de Hanoukka pour commémorer le miracle de la fiole d'huile se remplissant par miracle chaque jour. On trouve une multitude de lien entre le feu et des choses abstraites ou absentes tel que l’être suprême, le soleil, la magie des saisons, la fertilité de la chaleur du printemps ou des cendres générées par combustion des végétaux. D’autres multitudes de symboles s’entrelacent avec celui du feu pour former des mythes, d’autres types de symboles abstraits à leur tour contenant le credo, la formule dans laquelle la religion résume sa foi, ou le mythe, autre formule dans laquelle les civilisations mettent en scène une fable symbolique pour décrire la nature, l’univers ou aussi le plus souvent pour décrire la condition humaine ou celle de ses divinités. Pour la maçonnerie, le feu représente donc la purification, le feu détruit le superflu, les métaux inutiles, c’est la mort de cet homme prisonnier de la nuit profane puis, instantanément c’est la résurrection, tel le phénix, d’un homme nouveau, comme rajeuni, car doté d’un nouveau sens ou d’un sens plus affiné avec lequel il peut regarder la Lumière en face. C’est l’initiation. Cette purification par le feu se déroule près de la colonne du midi, colonne du soleil au zénith. Lors de notre initiation, la terre, l’air, l’eau puis le feu, agissent comme agent purificateur. Par le feu nous brûlons notre enveloppe profane, matérielle, notre lien aux métaux pour devenir pur et ainsi pouvoir accéder aux lumières de la F\M\. Le paradis est souvent entouré de flamme interdisant l’accès aux hommes corporels. Le feu spirituel est représenté par la lumière. C’est la lumière qui éclaire, permet à l’œil de voir mais plus symboliquement, de comprendre, par opposition à l’absence de lumière, comme quand nous étions les yeux bandés, dans l’obscurité qui représente l’incompréhension. Les adeptes de la F\M\ sont les Enfants de la Lumière. Analogiquement, les prophètes sont des lumières qui illuminent le monde de leur amour, de leur puissance, de leur savoir…Dans le temple, les officiers sont possesseurs, chacun d’entre eux de la lumière, mais la Lumière Flamboyante, le G, est au-dessus du Vénérable. La lumière, émanation du Feu spirituel, est le but de l’initiation. Rechercher la lumière c’est aller vers la Vérité Primordiale. En conclusion L’arbre de vie semble être le symbole unificateur de tous les éléments, car il prend racine dans la terre. Ses branches s’élancent dans les air. Il naît et crois de l’eau et son bois s’enflamme pour devenir feu, cendre et fumée, ou purification du tout par le feu, fertilisation de la terre par les cendre et ascension dans les air vers le divin par la fumée. Le feu de la purification n’ai pas suffisant pour atteindre l’Etre Suprême, la lumière est le moyen d’éclairer la vérité, la chaleur d’aimer son prochain. L’amour de la sagesse et des autres est symbolisé par le feu (philo sofia et philo antropia). J’ai dit, Vénérable Maître. L\ C\ |
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