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Pratique
Républicaine L’homme
est un animal
politique qui aspire à survivre sur le plan international. La survie
suppose de
dissuader les autres communautés politiques d’attaquer. Une communauté
en
attaque une autre quand elle estime la probabilité de vaincre élevée.
Une
communauté politique assure sa survie en entretenant une armée en
capacité de
vaincre. Si
une communauté se
fragilise, elle fait renaître dans l’esprit des autres l’idée qu’un
affrontement serait immédiatement plus profitable que la coopération.
L’instabilité interne génère de l’instabilité internationale. La
civilisation
régresse. Les moyens militaires prennent à nouveau le pas sur les
moyens
financiers dans l’établissement du rapport de force. Il
existe donc trois
niveaux de relations humaines : d’abord les relations
internationales,
puis la politique et enfin l’économie. A chacun de ces niveaux se joue
un
rapport de force, dont l’impact s’étend au niveau suivant dans un
mouvement de
flux puis de reflux. Ce rapport de force est modifié par la contrainte
physique
et la contrainte financière. Il existe une seconde dimension :
la
civilisation. Plus la civilisation progresse, plus la contrainte
financière se
substitue à la contrainte physique. L’Histoire est l’histoire de la
civilisation. L’individu
(l’Homme) a la
capacité d’être bon ou mauvais. L’élite de la communauté crée et
perpétue les
valeurs de la communauté (la société) en fonction de sa vision de
l’Homme.
C’est en fonction de ces valeurs que la communauté agira. Les visions
du monde
sont des familles d’idéologies. Les idéologies sont cohérentes, les
individus
le sont moins. Les visions du monde sont uniques. L’idéologie relève du
prêt-à-penser. Les
relations économiques
s’exercent dans le cadre légal. Les règles non écrites sont des usages.
Dans
les relations non économiques, les règles non écrites sont une question
de
politesse. Sous l’influence du marxisme (de moins en moins) et du
libéralisme
(de plus en plus) les relations économiques tendent à absorber les
relations
non économiques. Chaque
idéologie est une
tentative de formalisation d’une vision du monde. Une tentative
seulement car
dés que le concepteur tire des conséquences pratiques, il s’inscrit
dans un
contexte culturel. Il cristallise donc un environnement historique et
géographique particulier. La vision du monde réaliste repose sur
l’équilibre
des rapports de force. Raisonner en termes de rapports de force sur le
plan international
est caractéristique de la pensée réaliste. Le réaliste considère que
les
motivations humaines ne changent pas. Il suffit de lire la Bible pour
s’apercevoir que les relations humaines sont faites depuis toujours de
sexe et
de violence, la religion servant à réguler et l’un et l’autre. .Le
monde n’est
au final qu’une pièce de théâtre où seuls les acteurs changent. Sur le
plan
politique le réaliste est conservateur. La
vision libérale du
monde repose sur l’accomplissement d’un ordre naturel. Elle part du
principe
qu’il existe une nature humaine. Qui dit nature dit repère moral commun
à
l’humanité toute entière. Par-delà les civilisations et les nations,
les êtres
humains aspirent communément à la liberté individuelle. La
vision libérale considère
que les relations humaines s’expliquent par les motivations
économiques. C’est
d’ailleurs un point commun avec le marxisme. Mais le marxisme pense
qu’il y a
une lutte des classes. Le libéral prendrait fait et cause pour la
bourgeoisie,
quand le marxiste se rangerait du côté du prolétariat. En cela le
marxiste se trompe. Raisonner en
termes de classe procède d’une analyse holiste des relations humaines.
Le
libéral n’a pas pour objectif de conserver. Le
libéral pense que le
monde change et pour le mieux. En ce sens il est progressiste. La
vision du
monde révolutionnaire repose sur la confiance dans l’action humaine.
L’objectif
du révolutionnaire n’est atteint que par une action volontariste
collective et
non parce qu’une main invisible ordonnerait naturellement le monde. Le
monde
change mais le progrès n’est pas spontané. C’est l’action humaine qui
transforme le monde. Cette action humaine est organisée. Pour les
marxistes,
l’action organisée prend la forme du Parti. Pour les républicains cette
organisation s’appelle l’état. Pour
les libéraux comme
pour les marxistes, l’Etat est discrédité comme instrument au service
d’intérêt
particuliers. Le marxiste pense que l’état est au service de la
bourgeoisie. Le
libéral pense que l’Etat n’est qu’une mafia qui a réussi, comme
d’autres
verraient dans la religion, une secte qui a réussi. Pour
le courant
conservateur, la vie est une pièce de théâtre rejouée sans cesse où
seuls les
acteurs changent. Le plan international est d’ailleurs qualifié de
« scène
internationale » Pour
le courant libéral
« les hommes font l’histoire, mais ils ne savent pas
l’histoire qu’ils
font » (Raymond Aron) Pour
le courant
républicain, nous formons une chaîne qui nous lie dans le temps comme
dans
l’espace. Cette chaîne nous vient du passé et tend vers l’avenir Pour
le courant marxiste
« ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur
existence,
c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur
conscience »
(karl marx) L’éducation
à l’esprit
critique repose sur une obligation de moyen : faire usage de
sa raison.
Elle invite à utiliser ses capacités intellectuelles en faisant le pari
que
tout homme étant également doué de raison aboutira de manière
indépendante aux
mêmes conclusions, la réalité s’imposant à tous. Si l’on entend par
raison un
synonyme de l’intelligence, ce pari est sans doute perdant. Mais si
l’on entend
par raison un synonyme de l’honnêteté intellectuelle, alors ce pari
mérite
d’être fait. Le
multiculturalisme est
un acte de tolérance. Il est vain d’espérer que des personnes
physiquement
différentes s’intègrent à la population autochtone. Elles sont par
essence de
culture différente. Il faut donc faire l’effort de tolérer cette
différence. La
religion, élément culturel s’il en est, n’est pas l’expression d’une
race.
C’est une idéologie. La religion est un point de vue sur le monde. Sa
valeur
est relative. Elle n’est donc pas respectable en soi, mais contestable. Le
concept d’ethnie lie
race et culture. Nier la race pour immédiatement la remplacer par ce
concept
revient à réduire plus encore le libre arbitre des individus. Les
différences
culturelles sont radicales, mais elles ne sont ni immuables ni sacrées.
Nier la
race tout en manifestant contre le racisme permet sans doute de se
sentir
supérieur, héroïque même. Le sort des victimes, lui, n’aura pas évolué
d’un
iota. La négation des races est contre-productive. La
république s’efface au
profit d’un monde divisé en communauté raciale et religieuse. Un tel
monde
existe déjà. Cela s’appelle l’univers carcéral. La
communauté ne
préexiste pas à son élite. Ce qui fait qu’une communauté survit à ses
fondateurs, c’est la volonté de vivre ensemble, parce que l’on partage
une
façon commune d’aborder la vie. Ce système commun de valeurs nous été
transmis
et nous le perpétuons. Il nous vient de vies exemplaires données à
notre
admiration. La vie des personnes qui se sont sacrifiées pour une
certaine idée
de la France. Lorsque les dirigeants ne sont plus disposés à sacrifier
leur vie
pour une idée, des principes, la communauté se délite. Les nations pas
plus que
les autres communautés ne préexistent à leur fondateur. Qu’est ce qui
distingue
alors la communauté nationale des autres communautés ?
Pourquoi les
revendications régionalistes ne seraient pas légitimes ? La
réponse tient
au fait que la nation unit , tandis que les régionalistes
divisent. La
nation est le regroupement le plus important au -delà duquel des
conceptions de
la vie en société – et de la vie tout court – divergent avec celles des
peuples
voisins. Les communautés régionalistes sont fabriquées par des
individus
aspirant à exercer leur pouvoir sur une communauté d’individus rendus
dépendants. D’où l’importance de la revendication linguistique par les
leaders
communautaristes. Ceux-ci ont besoin d’isoler physiquement le troupeau
du reste
de la nation par la barrière linguistique, quitte à recréer une langue
de
toutes pièces. En synthèse cuisiner au beurre plutôt qu’à l’huile ne
justifie
pas la création de communautés nationales distinctes. En revanche
concevoir des
relations égalitaires plutôt que hiérarchiques entre homme et femme si. L’élite
cimente la
communauté nationale. Les communautés sont créées et maintenue parleur
élite,
car l’élite conceptualise son expérience du monde. Plus on descend dans
la hiérarchie
sociale, plus on exige un résultat quel que soit le concept permettant
de
l’atteindre. Le résultat pratique milite donc en faveur ou en défaveur
de la
diffusion d’une vision du monde. Une
personne née en
France et ayant une éducation française ne peut être que française,
quelque
soit son apparence physique. C’est une évidence pour l’élite
républicaine ; ça ne l’est pour le peuple français que s’il a
reçu une
éducation républicaine impérativement confirmée par l’expérience. Il
faut du
temps pour que les concepts se diffuse de l’élite vers le peuple. La
conversion
de l’élite française à l’idéologie libérale a mis un coup d’arrêt à
deux siècles
de diffusion des concepts républicains. Elle a laissé des millions
d’individus
dans un état d’assimilation partielle. Ni français, ni étranger, ils ne
sont
reconnus par aucune nation et ne disposent pas des concepts pour
comprendre le
monde qui les entoure et ce qui leur arrive. Leur culture est un bric à
brac de
séries américaines, de souvenirs familiaux de plus en plus éloignés de
la
réalité du pays ainsi que des valeurs républicaines plus vraiment
comprises
jusque dans les rangs des personnes chargées de les transmettre. Les
fractures sociales et
culturelles menacent la cohésion française. L’insécurité et le chômage
ne sont
ressentis pareillement au centre et à la périphérie. Le
terme populisme vise à
discréditer ceux qui portent la voix du peuple, un comble en
démocratie. Le
terme extrémisme vise à discréditer ceux qui ne pensent pas
conformément à la
vision dominante. Enfin le terme nationalisme vise à discréditer ceux
qui
évoquent encore la nation. Les nations appartiendraient au passé. A une
époque
de multiplication des Etats et des revendications nationalistes, cette
idée
trahit plus que jamais son origine idéologique. Mais admettons. La
France a-t-elle encore
quelque chose à apporter au monde ? L’élite ne voit plus dans
la culture
française qu’un folklore. Or la France est surtout porteuse des
Lumières. Concrètement
plus l’influence anglo-saxonne s’étend dans le monde au détriment de
l’influence
française, plus le plan international se divise suivant des lignes
religieuses
et raciales. L’humanité a donc un intérêt matériel à ce que les
conceptions
françaises s’exportent. La
religion et la race ne
légitiment pas la création d’une nation. Si la religion était un motif
légitime
de création d’une nation, Trappes et Mantes la jolie pourraient
revendiquer le
statut de cité-Etat, en attendant la seine saint Denis. Cette
perspective
réjouit sans doute les libéraux français pour qui tout démantèlement de
l’Etat-Nation constitue une divine surprise. Leur détestation de l’Etat
les
empêche de voir que l’individu disparait dans la religion. Les
immigrés ne font que
prendre ce qui leur est donné par les nationaux. Les Africains rêvent
de
l’Europe. Mais l’Europe n’a pas vocation à absorber l’excédent
démographique de
l’Afrique. Si l’Afrique estime ne pas être en mesure d’absorber le
nombre
d’enfants produits, ce n’est pas à l’Europe de servir de soupape. C’est
à
l’Afrique de s’autoréguler. Il appartient aux élites africaines
d’assumer la
responsabilité de leur peuple. Ensuite il ne faut pas confondre venir
habiter
en France et vouloir devenir français. La confusion entre les deux
relève du
paternalisme néocolonial. Le paternalisme néocolonial du gauchiste est
un
racisme. Il n’y a aucun mérite lié au fait d’être français. La logique
de
l’immigration est donc la suivante : l’immigré propose son
travail en
échange d’une vie meilleure. Il lui appartient d’apporter quelque chose
au pays
d’accueil, de répondre à un besoin ou de savoir le susciter. Le pays
d’accueil
ne doit rien à l’immigré. Être exigeant c’est faire preuve d’humanité. Pour
s’intégrer encore
faut-il que l’on sache à quoi. L’insécurité comme l’ethnie, est un
terme qui
relie deux notions : délinquance et immigration. L’insécurité
découle de
l’échec de l’intégration. Les américains n’ont pas ces complexes. Les
immigrés
mexicains y survivent de pourboires obtenus en livrant des pizzas.
L’immigré
est bien perçu, parce qu’il ne reçoit pas d’aide sociale et travaille
plus que
de raison à l’enrichissement de la société américaine. Les américains
étant
fiers de leur nation, ils communiquent ce sentiment aux nouveaux venus.
Le système
français est tout son contraire : nous n’osons pas exiger,
mais nous donnons.
Nous ne faisons pas aimer le pays d’accueil. Porter ne serait-ce qu’un
t-shirt
avec le drapeau français serait incongru. Dés lors comment s’étonner
que la
nation ne soit pas respectée ? Si les Français n’aiment pas la
France,
comment les nouveaux venus pourraient-ils l’aimer ? Lorsqu’il
y a problème
avec un immigré, il ne provient pas d’une déficience du sens de
l’observation.
. Le problème vient du fait que l’individu oublie trop vite qu’il a
voté avec
ses pieds pour le pays d’accueil : tout comme personne n’a
jamais perdu sa
vie en fuyant l’Occident pour l’Union soviétique, aucun européen n’a
jamais
perdu la vie en tentant de rejoindre L’Afrique. Une
nation est une
communauté de destin. Des étrangers peuvent croiser le chemin des
nationaux,
ils ne partagent pas leur destin. Les nationaux sont appelés à
accomplir la
destinée nationale au prix du sang versé. L’assimilation ne doit pas
être
combattue. Elle est un indicateur. Une femme voit la République reculer
et le
communautarisme avancer. Elle se voile. Une entreprise voit les femmes
se
voiler. C’est une opportunité de profits par la vente de produit
hallal. Le problème
n’est ni la femme ni l’entreprise. Le problème est que des femmes
ressentent le
besoin de se voiler pour être en sécurité sur le territoire français.
Pourquoi
la République recule-t-elle jusque dans son fief ? que la
République
s’étende à nouveau et les indicateurs le traduiront naturellement. La
nationalité se définit
factuellement. Être clair sur ce qui est français et sur qui ne l’est
pas est
indispensable au retour de la paix civile en France. Il n’y a rien
d’infamant à
ne pas être français. Il n’y a nul besoin d’être français pour habiter
en
France et s’y épanouir. La confusion irrite les français. Notre
communauté
politique est la communauté française. Habiter en France, être français
et être
républicains sont trois sujets distincts. Car si un parti incarne une
idéologie, une nation incarne une culture. Naître sur le territoire
français ne
fait donc pas le français. La nationalité ne se décrète pas. Elle est
faite
d’un ensemble de règles comportementales non écrites. Faire croire à un
individu qu’il suffit de posséder un document administratif faisant
état d’une
nationalité pour posséder cette nationalité est un mensonge éhonté. La
nation est une
solidarité plus forte que la religion. Renoncer à la nation pour une
solidarité
communautaire fondée sur la religion c’est lâcher la proie pour
l’ombre.
L’Etat-nation met une limite à la décomposition sans fin d’une humanité
ravagée
par la pulsion animale de la xénophobie. La gauche française gagnerait
à se
rappeler que la nation est une idée de gauche.
L’ordre que l’on refuse de défendre finit tôt ou
tard par être remplacé
par un autre ordre (mafia, église, parti, entreprise…) La
France est une nation
de Gauche jusqu’à son extrême droite. La république y est une rivière
sortie de
son lit. L’ensemble du champ politique est imprégné de ses valeurs. Au
final, l’humanité suit
le vainqueur quel qu’il soit. Alors il faut vaincre et durer jusqu’à ce
que la
liberté devienne une habitude. Elle ne sera malheureusement jamais un
acquis.
Les libéraux américains savent saisir les opportunités pour appliquer
leur
idéologie dans le monde. Les Républicains français doivent se montrer
tout
aussi alertes. Lorsqu’un
Français dit
qu’il est républicain, il n’entend pas par là simplement qu’il préfère
un
régime démocratique à la monarchie. Il fait référence à un ensemble de
valeurs
qu’il résume par « les valeurs » de la république. La
démocratie est un progrès
de la civilisation. Les valeurs républicaines œuvrent à rendre cette
construction durable. Tout Français n’est pas républicain, mais tout
républicain est soit Français soit inspiré par la culture française.
L’idéologie républicaine est née de la confrontation intellectuelle
avec
l’idéologie contre-révolutionnaire. Elle est la version réaliste de
l’idéologie
révolutionnaire. Toute personne niant la réalité au motif qu’elle
serait
contraire à l’idéologie républicaine trahit l’état d’esprit
républicain. Nul ne
fait disparaître la contrainte du réel en en niant l’existence. La
pensée
républicaine est la pensée révolutionnaire qui a tenu compte des
critiques
réalistes des contre-révolutionnaires. Ce même travail doit être
effectué aujourd’hui. La
pensée républicaine
est donc le fruit de la confrontation de l’idéal révolutionnaire à la
réalité.
Toute pensée appelée à durée devient réaliste. Les droits de l’homme
découlent
d’une commune nature humaine. Les contre-révolutionnaires n’ont jamais
vu l’Homme,
mais la diversité des hommes. Et pour cause, proclamer l’égalité des
droits
entre personnes identiques n’aurait eu aucun sens, pas plus que l’idée
de se
tolérer soi-même. Les
gauchistes se sont
perdus dans la manipulation des émotions. Il n’y a plus de communisme
français.
L’idéologie républicaine est donc sur le plan politique ce qu’il reste
de la
pensée révolutionnaire en France. C’est parce qu’il existe déjà une
nature
humaine rationnelle qu’il y a une diversité des nations. Vouloir casser
les nations
pour créer une seule humanité c’est n’avoir rien compris à la
complexité du
monde et faire preuve de bien peu de foi dans la raison humaine. L’éducation
à l’esprit
critique est une composante de l’idéologie républicaine. La République
combat
les fanatiques et les irresponsables. Elle réunit autour de la table
ceux qui
mettent de côté leurs visions négative ou positive de la nature humaine
pour
construire. L’éducation républicaine a sauvé la France. Elle est une
assurance
contre la barbarie. L’éducation
à l’esprit
critique est essentielle. Sans cette éducation, la démocratie tombe
dans un
travers dénoncé à juste titre par les libéraux. La République exige de
l’ambition. Alors ne soyons pas médiocre. J’ai
dit |
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