Etoiles

Le mot Etoile évoque :

Ces petits points scintillants dans le ciel, la nuit.

Une étoile est une sphère céleste en rotation dont la structure est modelée par la gravité. Essentiellement composée d’hydrogène et d’hélium, son cœur est le siège de réactions  de fusion nucléaire dont une partie de l’énergie est rayonnée sous forme de lumière visible.

Une étoile possède une masse comprise entre 0,07 et 300 fois environs celle du Soleil (elle-même égale à 300 000 fois celle de la Terre), la plupart des étoiles paraissent blanches à l’œil nu, mais si nous les regardons attentivement, nous remarquons aussi des étoiles de couleurs diverses : bleues, jaunes, rouges... La plupart des étoiles sont classées en fonction de leur taille en Naines ou en Géantes ; et en fonction de leur magnitude, c'est-à-dire de leur luminosité(échelle logarithmique du flux radiatif) en Brune, Rouge, Jaune, Bleue, Blanche... C’est ainsi que notre Soleil est une Etoile Naine Jaune.

Le Soleil (SOL en latin, HELIOS en grec) estl’ÉTOILE du système solaire, notre système planétaire. Autour de lui gravitent la Terre, set autres planètes, trois planètes naines, des astéroïdes, des météorites, des comètes et de la poussière interstellaire.Le soleil représente à lui seul 99,8% de la masse du système solaire. L’énergie solaire, transmise par l’ensoleillement, rend possible la vie sur terre part apport de chaleur et de lumière, permettant la présence d’eau à l’état liquide et la photosynthèse des végétaux. Le rayonnement du soleil détermine les climats et la plupart des phénomènes météorologiques terrestres. La densité thermique à la surface de la terre est à 99,8% d’origine solaire.

Le soleil est un symbole très puissant pour les hommes. Il occupe une place dominante dans chaque culture.

Des monarques se sont personnifiés au Soleil : Louis XIV, le Roi-Soleil (couronné de Dieu) ou la famille impériale Japonaise, descendante d’Amaterasu (déesse du Soleil).

D’une façon générale, il est un principe masculin, actif. Dans l’Egypte antique, Râ est le dieu Soleil et Akhenaton en fera son dieu unique sous le nom d’Aton. Dans le Panthéon grec c’est Apollon, fils de Zeus. Citons aussi Hélios qui est la personnification du Soleil lui-Même. Les Aztèques l’appelaient Huitzilopochtli, dieu du Soleil et de la guerre, le maître du monde.

Il a aussi été considéré comme un principe féminin. C’est ainsi qu’il était la « Mère Soleil »chez des peuplades d’Asie centrale. Chez les Japonais il était Kami Amaterasu, la dame Soleil, épouse du seigneur Lune. Dans la mythologie Nordique les enfants de Mundilfari et Glaur sont Sol, déesse du Soleil et Mani, dieu de la Lune.

En astronomie et en astrologie, le symbole du Soleil est un cercle avec un point au centre. En alchimie le symbole est le même et c’est aussi celui de l’or.

Revenons à présent à notre propos : les Etoiles, petits points lumineux sur la voûte céleste, la nuit. En fait, tout ce qui brille dans le ciel à l’exception du Soleil et de la Lune.

Les étoiles sont regroupées au sein de galaxies. Une galaxie typique comme la nôtre, la voie lactée, contient plusieurs centaines de milliards d’étoiles. Les étoiles apparaissent à l’œil nu sous forme de points, à cause de leur éloignement, brillants de couleur blanche, parfois aussi jaune, orangée ou bleue, scintillants dans la nuit. La sphère céleste fait apparaître des regroupements d’étoiles appelées constellations.

Une constellation est un ensemble d’étoiles dont les projections sur la voûte céleste sont suffisamment proches pour qu’une civilisation les relie par des points imaginaires, traçant ainsi une figure dans le ciel nocturne.

Les Babyloniens déjà dénombraient 44 constellations.

Descendons sur terre, Dame Nature a façonné en forme d’étoile :

L’étoile de mer
L’étoile de la fleur de Jasmin d’un blanc pur et parfumé
Blanche aussi, l’Etoile de Bethlehem, on l’appelle aussi « la dame d’onze heures » car ses fleurs s’ouvrent aux alentours de midi.
L’anis étoilé, la Badiane.
La belle et fragile étoile des neige, L’edelweiss.

Plus éphémères, notons aussi : Les étoiles de givre, que l’on peu admirer sur les vitres glacées au petit matin en hiver. Les toiles d’araignées à la géométrie en rayon, tissées de fins et souples fils de soie.

L’homme a façonné des formes étoilées : La roue aux rayons concentriques. Diamant en étoile, chaque gemme étant elle-même taillée en huit facettes nommées étoiles.

Les étoiles sont utilisées comme unités de mesure, les hommes attribuent des étoiles et s’attribuent des étoiles :

Unité de froid équivalent à -6°C dont le multiple indique le degré maximal de réfrigération d’un réfrigérateur ou congélateur.

Indice de catégoriel en hôtellerie, le nombre d’étoiles indique la catégorie dans laquelle l’hôtel est classé : les hôtels sont classés de 1 à 4 étoiles, un 4 étoiles étant un hôtel de luxe.

Indice de classement d’excellence pour certains restaurants : ce restaurant a deux étoiles.

Insigne de grade des officiers Français en nombre d’étoiles. La danseuse Etoile est le suprême échelon dans la hiérarchie de certains corps de ballet comme l’Opéra de Paris ou une danseuse de classe internationale.

Personne qui brille par son talent, surtout dans le monde du spectacle, star (une étoile du cinéma).

L’étoile symbolise aussi :

Des états, les 50 étoiles correspondant aux 50 états des Etats-Unis d’Amérique.
Les Vedettes de cinéma, les étoiles du Walk of Fame sur Hollywood Boulevard.
La destinée, la chance, la réussite : être né sous une bonne (ou une mauvaise) étoile. Croire à son étoile. Voir son étoile pâlir...

Les étoiles ont guidé les hommes :

Les voyageurs, les marins suivaient leur route nocturne en se référant à l’étoile polaire, aux galaxies... L’Etoile, XVIIe arcane majeure du Tarot est un centre de lumière. Elle présente une jeune fille nue, un genou à terre qui déverse deux cruches d’eau. Au dessus d’elle brillent sept étoiles bleues, jaunes et rouges, encadrant une grande étoile formée de deux étoiles superposées. Y figurent aussi un lac bleu, une plante à trois feuilles et deux arbustes verts. Sur le plus grand s’est posé un oiseau noir, symbole de l’âme immortelle. L’arcane XVII présente un symbole de création, de naissance, de mutation. Cet arcane, avec sa flore et ses eaux, ses deux cruches qui se déversent, ses étoiles, symbolise la création non point achevée et parfaite, mais en voie de se réaliser. Elle indique un mouvement de formation du monde et de soi-même.

L’étoile de Bethléem qui a guidé les Rois Mages, est la plus célèbre du monde occidental. Cette étoile d’une grande brillance et de très courte durée de vie devait être une supernova (fin de vie d’une étoile, son explosion).

La voie lactée, autre nom donné à la route de Saint Jacques de Compostelle par les Pèlerins : le chemin menant à Compostelle en Espagne suit la voie lactée et permet aux pèlerins de se diriger, la nuit, vers le sanctuaire.

En symbolique, on retient surtout de l’étoile sa qualité de luminaire, de source de lumière.

Les étoiles représentées sur la voûte d’un temple ou d’une église en précisent la signification céleste. Leur caractère céleste en fait aussi des symboles de l’esprit et, en particulier, du conflit entre les forces spirituelles, ou de lumière, et des forces matérielles, ou des ténèbres. Elles percent l’obscurité, elles sont aussi des phares projetés sur la nuit de l’inconscient. C’est ainsi que les étoiles ont nourri l’imaginaire des hommes depuis la nuit des temps, et on les retrouve dans maintes croyances et religions :

Dans les mythes Aztèques les étoiles sont appelées Mimixcoatl (serpents-nuages) parce que Mimixcoatl, Dieu de l’Etoile Polaire, s’est multiplié en elles. Elles existaient antérieurement et servaient de nourriture au soleil.

Chez les mayas elles sont représentées comme des yeux, d’où jaillissent des rais de lumière.

Au Guatemala elles représentent encore de nos jours les âmes des morts. D’elles émanent les insectes, qui descendent visiter la terre.

Dans l’Egypte ancienne les prêtres sont vêtus d’une chasuble bleue nuit constellée d’étoiles pour le culte des morts.

Suivant les Yakoutes, les étoiles sont les fenêtres du monde. Elles sont les ouvertures ménagées pour l’aération des différentes sphères du ciel. Cette idée domine tout l’hémisphère nord. C’est l’expression du symbolisme de l’accession au ciel par une porte très étroite : l’interstice entre les deux niveaux cosmiques ne s’élargit qu’un instant, à la petite dimension d’une étoile et le héros (initié, chaman…) doit profiter de cet instant paradoxal pour pénétrer dans l’au-delà.

Selon le Kalevala en Finlande, les étoiles sont les fragments de l’œuf cosmique.

Etoile est le nom d’une divinité gauloise : Sirona. Une divinité galloise porte le nom d’Arianrhod, roue d’argent, ce qui désigne une constellation, la Corona Boréalis. Dans le symbolisme astral des Celtes ces théonymes désignent un des aspects de la grande déesse primordiale.

Dans le Judaïsme les étoiles obéissent aux volontés de Dieu et, éventuellement, les annoncent. Elles ne sont donc pas des créatures purement inanimées : un ange veille sur chacune d’elles. L’Apocalypse parle d’étoiles tombées du ciel comme on parlerait d’anges déchus. Daniel décrivant le sort des hommes à la résurrection utilise le symbole de l’étoile, pour caractériser la vie éternelle des justes : ascension vers l’état d’étoiles célestes. L’Etoile de David ou Bouclier de Salomon, hexagramme formé de deux triangles enlacés, est le symbole de l’Alliance du peuple Juif avec le Divin.

L’Etoile flamboyante de la maçonnerie est issue du pentagramme pythagoricien, du pentagone étoilé aussi appelé sceau de Salomon. L’Etoile Flamboyante à cinq branches est le symbole de la manifestation centrale de la lumière, du centre mystique, du foyer d’un univers en expansion. Tracée entre l’Equerre et le compas, c'est-à-dire entre la Terre et le Ciel, elle figure l’Homme régénéré, rayonnant comme la lumière, au milieu des ténèbres du monde profane. Elle est comme le nombre cinq, symbole de perfection. Au tableau du grade de Compagnon, l’étoile flamboyante comporte en son centre la lettre Peh (lettre hébraïque qui signifie la bouche/c'est-à-dire le Verbe). Le Compagnon, précédemment Apprenti en Hod (colonne de la Rigueur), traverse le Temple, se retrouve en Netzarch (colonne de la Miséricorde)  et a acquit le droit à la parole.

Il a à présent cinq sens
Il est au centre de cinq circonférences
Il fait cinq pas
Il frappe cinq coups
Il a cinq ans

Cinq est le chiffre du compagnon, son polygone est le Pentagramme.

Un pentagramme est une étoile à cinq branches ou un polygone régulier convexe dont le symbolisme, associé à celui de l’étoile est le chiffre 5.

Un pentagone régulier est un polygone à cinq côtés de longueurs égales. Un pentagramme est une étoile à cinq branches régulières. Un pentacle est un pentagramme encerclé.

Le pentagramme se construit avec une règle et un compas.

Cette figure est liée au nombre d’or et au triangle d’or. Dans le pentagramme étoilé, on décèle de nombreux triangles d’or obtus (formés par deux côtés et une diagonale) ou aigus (formés par deux diagonales et un côté). Le découpage fait aussi apparaître de nouveaux triangles d’or dont la taille a été divisée par pi ainsi qu’un nouveau pentagone dont la taille a été divisée par pi2.

Dans son étymologie grecque, pentagramme est formé de penta « cinq » et gramma « lettre, caractère d’écriture ». C’est un caractère composé de cinq éléments graphiques nommés graphèmes. Le signe de cantillation hébraïque chalchèlèt est un pentagramme.

Le Pentagramme apparaît en Mésopotamie vers 3000ans avant notre ère, en tant que signe sumérien « UB » qui signifie « coin, angle, région ».

Dans la période cunéiforme, vers 2600ans avant notre ère, il représentait les cieux ainsi que les quatre directions de l’espace (avant, arrière, gauche, droite) ; la cinquième pointe représentait le « dessus ». Les quatre directions correspondaient aussi aux planètes alors connues : Jupiter, Mercure, Mars et Saturne ; Vénus la Reine des Cieux était représentée par la pointe supérieure.

Désigné en latin par le terme pentagulum et aussi par le terme Signum pytagoricum il sert de signe de reconnaissance entre pythagoriciens: il intègre au groupe, il ouvre la voie du secret. Ainsi, il était la signature des pythagoriciens et aussi leur symbole de silence initiatique. Ses cinq branches représentaient leurs cinq années d’études.

Les cinq branches du pentagramme accordent en une union féconde le 3, qui signifie le principe masculin et le 2, qui correspond au principe féminin. Il symbolise alors l’androgynie. Le nombre cinq signifie, chez les pythagoriciens la somme du pair (féminin) et de l’impair (masculin), donc le mariage.

Au XVème siècle, Léonard de Vinci a représenté l’homme comme un pentagramme dans son Etude de proportions du corps humain selon Vitruve.

Le centre du pentacle, dans son étude, est situé sur le nombril de l’homme, ce qui correspond au point central du corps humain (allongé sur le dos, bras et jambes écartés). Si l’on pointe un compas sur son nombril, on touchera tangentiellement, en décrivant un cercle, l’extrémité de ses doigts et de ses orteils. Mais ce n’est pas tout : le corps humain, jambes jointes et bras à l’horizontale, s’inscrit alors dans le carré. La mesure de la plante des pieds au sommet de la tête est égale a celle définie par ses mains tendues.

En Bulgarie, pour Peter Deunov, l’homme représente le pentagramme vivant avec ses cinq sens : le toucher, le goût, l’odorat, l’ouïe et la vue. Et le pentagramme représente surtout l’homme parfait qui possède les cinq vertus parfaitement développées : sagesse, amour, vérité, justice et bonté.

Pour Eliphas Lévi, Adam c’est le tétragramme humain. Le pentagramme exprime la domination de l’esprit sur les éléments, et c’est par ce signe qu’on enchaîne les démons de l’air, les esprits du feu, les spectres de l’eau et les fantômes de la terre. Le pentagramme est, en Kabbale, le signe du microcosme. La figure magique, le pentacle le plus puissant.
           
Dans la Kabbale le tétragramme YHWH (Yod, Hé, Waw, Hé) Nom Divin révélé à Moïse, qu’on ne peu prononcer parce qu’ineffablement saint. Il est formé de quatre consonnes hébraïques, qu’on peu expliquer par : « Je Suis Celui qui Suis ».

Le pentacle TETAGRAMMATON, en forme d’étoile à cinq branches entrelacées. Talisman très puissant, il signifie le nom Sacré de Dieu, qui est trop sacré pour être prononcé. C’est le pentagramme Pythagoricien portant l’inscription : TE TRA GRAM MA TON. Symbole de la puissance divine en l’Homme, c’est le pentacle de la protection divine.

Le pentagramme, outre sa signification d’Homme, porte aussi la signification cosmique des divers éléments. L’Homme, alors, est mis en analogie avec le monde, et des correspondances s’établissent entres les parties du corps humain et les éléments : par exemple entre tête et esprit (ou éther). Dans la théorie des analogie et correspondances  d’Hildegarde de Bingen, la tête correspond au feu, la poitrine à l’air, le ventre à la terre, molle et féconde, et les pieds à l’eau, car les fleuves coulent sur la terre.

-Le feu (élément masculin) Le feu est généralement conjoint avec l’air et l’esprit pour  renforcer le côté mâle ; ou encore opposé latéralement à l’eau par la barre horizontale pour stabiliser. Il représente l’action, la force, la puissance surtout destructrice.

-L’air (élément masculin) Généralement conjoint en opposition avec la terre pour stabiliser l’énergie, il représente le raisonnement actif, l’intelligence, la puissance surtout créatrice. Il peu aussi être conjoint avec l’eau et l’esprit.

-L’eau (élément féminin) Généralement conjointe avec la terre et l’esprit pour renforcer le côté féminin, elle représente la passivité, la douceur, la magie et la puissance surtout magique.

-La terre (élément féminin) Elle représente le raisonnement passif, l’endurance et la solidité, la puissance surtout absorbante et physique et l’amour.

-L’esprit (élément à la fois masculin et féminin) Il est associé aux transformations spirituelles, à la neutralité, à l’engendrement de la création (donc à l’engendrement des autres éléments). Il est soit conjoint avec le feu et l’eau, qui, ensembles, forment la majeure partie de la combustion cellulaire nécessaire à la vie, ou encore à la terre et l’air. Considéré comme supérieur aux autres éléments, il déterminera par sa position supérieure l’orientation morale positive du détenteur. Il situe aussi l’énergie finale vers le macrocosme, vers l’univers.

Tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut.

Le microcosme est à l’image du macrocosme.

Le pentacle étant lié au nombre d’or, le corps de l’Homme qui s’inscrit dans un pentacle prends uns signification divine. La nature et l’homme sont régis par la Géométrie Sacrée et donc sont en relation directe avec le Divin.

Le compagnon prend connaissance de son pentacle.

L’Etoile Flamboyante.

Étoile à cinq branches avec en son centre la lettre hébraïque peh, qui lui donne droit à la Parole (donc à l’action).

Cette lettre peh, en forme de G inversé symbolise le mensonge par sa forme de serpent qui rentre sa tête à l’intérieur après avoir mordu, ne montrant pas son vrai visage.

Le mécanisme essentiel de cette lettre permet de passer du Mal au Bien.

C’est ainsi que le mot peh est la dernière étape, la force qui libère le prisonnier, qui libère et purifie le monde pour le sauver de l’exil et de la captivité. C’est la délivrance finale de l’humanité de l’emprise du serpent.

C’est le retour des dispersés à Scion, la reconstruction spirituelle du Troisième Temple, où la Sainteté Intrinsèque Est Fondamentalement Présente.

Mon cheminement initiatique de Compagnon, depuis le : Premier éblouissement sur les parvis, à l’orient, devant Makult, notre mère céleste ; Mon pas de Fidèle en Yesod, où j’ai reçu sur le front le signe de croix : (Yod – Wav – He - He) avec l’huile sainte ; Mon Apprentissage en Hod, colonne de la rigueur, centre du pouvoir créateur ; M’a menée en Nethzach sur la colonne de la miséricorde, avec la capacité d’adjoindre l’amour de l’harmonie à la rigueur de la force. Traversant le sentier du temple, j’ai reçu l’éclair fulgurant de la force de vie de la maison Dieu, et j’ai contemplé l’Etoile Flamboyante.

Les angles de l’étoile flamboyante sont remplis de flammes qui représentent la lumière sacrée qui guident l’initié, et avec laquelle il doit finir par se confondre.

Ainsi, en Fraternité au sein de la loge, nous cheminons et nous oeuvrons pour : Notre réconciliation avec notre Créateur. Notre Réintégration en son sein.

J’ai dit

A\ U\