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Le Jeu de l’Oie

Un jeu tout simple, dont mon souvenir le plus lointain remonte à ma plus tendre enfance et auquel nous pouvons jouer dès l’âge de trois ans. Nous avons tous, au moins une fois, lance les dés et fait avancer les pions de ce jeu de « Grand-mère ».

Voici environ 32 siècles, lors du siège de la ville de Troie, PALAMEDE, afin d’occuper les soldats, créa, sur un bouclier, ce jeu. N’oublions pas qu’il fut, entre autres, l’inventeur de nombreux jeux de dés, de dames et d’osselets.
Pour celui-ci, il s’inspira de la légende du Minotaure de CNOSSOS, à qui, au fond de son labyrinthe, chaque année, les Crétois devaient livrer 7 garçons et 7 filles de 14 années.
Un jour, Ariane, la fille du roi de Crète, donna à THESEE un fil qui lui permit, ainsi qu’aux captifs de ressortir du labyrinthe après qu’il eut vaincu le Minotaure.
Mais ceci est une autre histoire et examinons d’un peu plus près ce jeu, composé de 6 pions maximums, de deux dés et d’un plateau.

Les pions :
Ils sont la transposition de l’homme dans ce nouvel univers. Un pion est, traditionnellement, un objet que l’on déplace à notre gré, et qui n’a pas d’existence réelle par lui-même. Dans ce jeu, il avance au gré de la volonté des Dieux, du hasard et des dés.

Les dés :
Ce sont, avant tout, des cubes, mot venant du grec KUBOS, qui signifie « à jouer ». A ce rythme, on retombe dans l’éternel problème : « L’œuf vient-il de l’oie ou, est-ce l’inverse ? »
Sur chacune des 6 faces de ce dé, est dessiné un certain nombre de points allant de 1 à 6, pour un total de 21 points. La somme des points des 2 côtés opposés sera toujours 7 :
Soit 1 & 6, 2 & 5 ou 3 & 4.
En déployant les faces de ce KUBOS, on peut obtenir un TAU grec, mais, plus généralement, on le présente sous forme d’une croix latine. La barre transversale, formée de 3 carrés, représente l’animal, le psychique et l’humain ; la barre verticale, qui en comprend 4, symbolise le divin, encore le psychique (l’intersection), le végétal et le minéral. En additionnant les points de cette verticale, le total sera toujours de 14 (décidément, nous sommes poursuivis par le Minotaure), alors que la transversale donnera un total variant de 8 à 13 points.

Le plateau :
Ce jeu, créé sur un bouclier, a une forme circulaire. 63 cases se succèdent et forment une spirale dextrorsum partant de l’extérieur vers l’intérieur, du 1 au 63, de l’ombre vers la lumière.
Sur ce parcours, 14 oies sont représentées. Elles nous rappellent les 14 enfants devant être sacrifiées chaque année. De plus, 14 ans était, dans les sociétés antiques, l’âge de la puberté. Ce nombre était considéré comme magique dans beaucoup de civilisations. C’est le nombre de l’équilibre, de la lumière et de la pleine lune. 14 est un demi-cycle lunaire et dans ce jeu c’est la partie ascendante. C’est aussi, entre autres, le nombre d’étapes dans le chemin de croix du Christ.

Les 63 cases :
La première, celle qui porte le N°1, est l’entrée du labyrinthe. Il est encore temps, alors, de faire demi-tour avant de la fouler. Une fois engagé, il sera trop tard. Il faudra alors poursuivre son chemin jusqu’à la dernière case : le centre du cercle représentant le Château, la Lumière. C'est ce fameux point, qu’en tant que F\M\, nous essayons tous d’atteindre.
1
5 4
6
3
2
=
14
= 11.Chemin faisant, beaucoup d’obstacles seront rencontrés. Certains nous feront trébucher, mais, à force de persévérance, ils seront tous franchis. Ils nous auront, en principe, permis de faire une introspection, une analyse de soi.

Mais revenons un peu sur cette 1ère case. C'est l’entrée d’un labyrinthe et selon la règle, un seul pion à la fois peut se trouver sur celle-ci. Lors de notre initiation, nous nous sommes, à plusieurs reprises, retrouvés dans une situation similaire : la première fois, durant l’épreuve de la terre, dans le cabinet de réflexion, un peu plus tard, en entrant dans le temple. Même lorsque plusieurs postulants se présentent, les entrées se font les unes après les autres.
Avec les règles actuelles, un arrêt sur cette case ne peut plus avoir lieu dès le départ, car 2 dés servent à notre progression, au lieu d’un seul, et le plus petit nombre obtenu sera deux. Est ce la vie moderne qui nous fait «griller» les étapes ?

La case 3, aussi appelée « saute mouton », permet au joueur arrivant sur celle-ci de passer directement à la 5ème, si la 4ème est occupée par un pion, donc un obstacle. C’est une manière de nous conduire à aller au-delà de nos limites. Pour passer, peut être, du niveau à l’équerre ?
Nous rencontrons notre première oie sur la 5ème case.
Quel que soit leurs emplacements, elles nous permettent d’avancer à nouveau, du même nombre de cases qu’indiquent les dés. Elles peuvent donc être considérées comme les cases du repos : on avance sans travail, sans relancer les dés. On doit profiter de cette accalmie pour faire le point, le bilan de notre progression.

De tout temps et en de nombreux pays, l’oie a eu une interprétation très symbolique.
En Chine, depuis plus de 25 siècles, elle est porteuse de message. Lorsqu’un homme la présente à sa future, il lui signifie qu’il est temps pour elle, de mettre un terme à sa pudeur sexuelle.

En Egypte Pharaonique, pour annoncer le nouveau Roi, un lâcher d’oies sauvages était fait aux 4 coins de l’horizon.
Plus près de nous, les oies du Capitole donnèrent l’alerte, en 390 avant J.C., lorsque nos vaillants ancêtres essayèrent d’envahir, en pleine nuit, ce lieu.
En Russie, en Asie centrale et en Sibérie, ce terme sert aussi, métaphoriquement, à désigner la femme désirée.
De nos jours, elle est toujours sacrifiée en Afrique du nord, lors des changements d’années. Serait-ce une tradition Egyptienne qui aurait survécue ? En effet, elle est aussi considérée comme animal solaire !

Leur arrivée correspond au printemps, donc à la renaissance de la nature. Elles sont symbole de fidélité conjugale dans nos régions, ainsi que de gardiennage ; souvenons-nous des oies du Capitole.

Dans ce jeu, elles sont gardiennes de notre progression. Nous allons emprunter un labyrinthe pour atteindre la 63ème case où se trouve le château de l’oie, la lumière.
Un pont est représenté sur la sixième case. C’est une passerelle entre deux ou plusieurs points qui nous évite bien des détours, de nous perdre dans les méandres ou sur les multiples chemins de la vie. On passe directement à la case 12. Tel un pont, notre évolution passe par, et avec, les autres. De notre capacité à nous relier à autrui, dépend notre évolution et notre harmonisation avec le monde extérieur.

Dans le « connais-toi toi-même » de SOCRATE, on se sert de notre introspection pour connaître les autres, mais il est également nécessaire de connaître les autres pour se connaître soi même.
Le pont serait-il l’homme lui-même, qui, à l’image de Bouddha, et après avoir cherché la vérité au plus profond de lui, découvre la liberté ?

Une esquisse de Château apparaît sur la 7ème case. On commence, alors à maîtriser les premiers éléments acquis, d’où un aperçu de l’œuvre finale, un choix de cases qui ne doit vraisemblablement rien au hasard. Une seconde oie prend position sur la 9ème case, deuxième temps de repos. C’est aussi la fin du 1er cycle.

Le plateau est en effet divisé en 7 périodes de 9 cases.
9, un nombre symbolique dans de nombreux pays et religions : (en Grèce où Déméter parcourut le monde durant 9 jours a la recherche de sa fille PERSEPHONE). 9 est aussi le nombre de la plénitude, celui du YANG ; pour DANTE (entre autres), il représente le ciel ; le roi Aztèque TECOCO construisit un temple de 9 étages comme les 9 cieux. C’est le principe de perfection sur les 3 plans : physique, mental et spirituel. Dans les cartes du Tarot de Marseille, un vieil ermite détenteur de lumière porte ce numéro.
En F\M\, c’est le nombre éternel de l’immortalité. Rappelons-nous que ce sont 9 Maîtres qui découvrirent le tombeau d’HIRAM.

Il faut 9 mois au fœtus pour atteindre sa plénitude, mais 7 lui suffisent pour se développer.
7 correspond aux 7 jours de la semaine, aux 7 couleurs de l’arc-en-ciel, aux 7 planètes de notre ciel (du moins jusqu’en 1781 ou Herschel découvrit Uranus), aux 7 péchés capitaux, aux 7 notes de musique, aux 7 églises qui fondirent, d’après les lettres de saint Jean, le christianisme. 7 est aussi, entre autres, une période lunaire qui en comporte 4, soit un cycle complet de 28 jours. La somme des 7 premiers nombres fait aussi 28.

Le N°10 est la première case de la seconde période. C’est un recommencement qui doit nous permettre de continuer notre chemin, mais sur des bases existantes : construire notre futur sur les pierres de notre passé, en un mot, tenter de progresser et, pour cela, ne pas hésiter à se lier aux autres.

Une troisième oie figure sur la case N°14. Comme les précédentes, elle nous permet d’avancer du même nombre de cases qu’indiquent les dés.

Un oiseau s’échappe au N°15, les relations humaines et sentimentales n’ont apparemment pas été suffisantes ou satisfaisantes. Méditons cela en retournant au N°10.

19 : Une Auberge, après s’être nourri, avoir repris des forces, il faut digérer, assimiler.
Qu’il s’agisse de nourriture physique ou de nourriture spirituelle, accumuler de la connaissance ne sert à rien, si ce n’est pas pour l’utiliser à bon escient. Il faut alors un temps de méditation : en passant un tour.

Deux des figurent sur la 26ème case : un 6 et un 3. Si dès le début de la partie on obtient ces nombres avec les dés, compte tenu des séquences répétées des oies, toutes les 9 cases, et du fait que cet animal permet d’avancer du même nombre de cases qu’indiquent les dés, la partie se terminerait dès le 1er lancer. Donc, pour poursuivre le jeu, le joueur, ayant obtenu un 6 et un 3 se positionnera directement sur cette case.
Dans une règle plus ancienne (avec un seul dé), on arrive sur cette case avec un 4.
Avec un 6, on pouvait relancer le dé. Ce n’est pas un hasard, si celui qui aura favorisé le travail de l’homme (le 6) sur la matière (le 4) et donc sur lui-même avancera plus vite. « Gloire au Travail », aime à répéter mon V\M\. Apparemment, nous n’avons rien inventé, l’homme était déjà une pierre brute prêt à la taille voici 3.200 ans.

28, c’est le temps d’une lunaison, soit un cycle liant le soleil (élément actif), la lune (réceptive), agissant sur la terre et l’homme. Les marées sont directement liées à la lune.
L'homme peut être influencé par celle ci, on dit alors qu’il est lunatique. Les cycles de la femme sont de même durée, et il paraîtrait, selon certaines études plus ou moins contestées, que, les nuits de pleine lune, le nombre de naissances augmente. Par contre, le comportement animal, est effectivement modifié ces nuits là, qu’il s’agisse des miaulements de chats, des aboiements de chiens ou de la transformation des Loups en Garous.

Le puits en 31 : d’un premier abord, un trou plutôt inquiétant dont on ne voit pas le fond, et dont il paraît impossible d’en ressortir si y tombe. Mais ne nous arrêtons pas à l’aspect primaire, allons au fond des choses. Le puits a, un caractère sacré dans bien des traditions. C'est la synthèse des trois ordres cosmiques (CIEL, TERRE, ENFER), de trois éléments (AIR, TERRE et EAU), c’est, à lui seul, un microcosme. Son eau, symbole d’abondance, de la vie, principalement chez certains peuples tels les Hébreux, a très souvent eu un rôle de survie. Rappelons-nous quand Moise frappa le sol de son bâton pour faire jaillir de l’eau en plein désert. Quand il arrive à la mer morte, les eaux se sont écartées pour lui laisser le libre passage. Elle apparaît donc comme miraculeuse. Jean s’en servait pour baptiser. C'est une initiation toujours en vigueur dans bien des religions N'oublions pas qu’elle est partie intégrante de notre initiation lors du 2e voyage.

Mais le premier symbole qui nous vient a l’esprit, que l’on retrouve dans de nombreux contes, c’est la connaissance, la vérité : « La vérité sortant du puits ».
Cependant, nous sommes toujours bloqués dans ce puits. Pour en sortir, il faut tirer un SIX. La plus grande valeur du dé. D’après la bible, le monde fut créé en 6 jours. Il le fut dans les 6 directions de l’espace : les 4 cardinaux, le Zénith et le Nadir (cela ressemble étrangement a un puits ! ! !).
Le 6 peut être représente par l’hexagone, ou mieux par l’hexagone étoile qui est la conjonction de 2 triangles inverses : tel LE SCEAU DE SALOMON.
En le décomposant, on remarque un triangle pointe en haut qui représente le FEU, un autre pointe en bas : c’est L’EAU le triangle du feu tronqué par la base de l’antécédent, L’AIR, et le même, mais inversé correspond à la TERRE.
On sort du puits (AIR, TERRE, EAU), avec un six, qui est la composante des précédents éléments complétés par le FEU.

Dans la Bible, Dieu apparaît sous la forme d’un buisson ardent. Chez les Celtes, les druides allumaient de grands feux entre lesquels ils faisaient passer le bétail pour les préserver des épidémies.
Dans une tradition Peule, « le FEU est du ciel, car il monte, tandis que L’EAU est de la terre car elle descend en pluie. ». La purification par le feu complète donc celle par l’eau, et rappelons-nous qu’elle intervient dans notre initiation lors de notre 3ème voyage. La renaissance par les cendres ?

Le puits serait-il l’homme lui-même, qui après avoir cherché la vérité au plus profond de son for intérieur, accéderait à la liberté ?
Profitons de ce moment de tranquillité, à l’abri de la lumière, pour faire le point.
Grâce à l’escalier de la case 39, on peut s’élever, accéder à la connaissance, au savoir, on se rapproche du ciel.
Mais attention à ne pas s’élancer trop vite ou trop haut. Rappelons-nous la tour de BABEL ou les hommes se sont crus investis de la connaissance divine, et aussi, de la mésaventure d’ICARE : deux expériences qui eurent pour résultat une chute. A ces exemples, nous reculons de 6 cases pour nous placer en 33.

42 : Les labyrinthes ont toujours existé, qu’ils aient été naturels : grottes, chemins, forets, ou de création humaine : chemins, buissons ou dans les cathédrales. Ce sont des entrecroisements inextricables, avec des voies sans issue, des boucles et des entrecroisements.
Il s’agit, au travers des difficultés du parcours, de trouver la route qui nous conduira au centre du cercle. C’est un voyage initiatique et, seuls ceux qui auront été éclairés, ou ceux qui en connaissent les méandres, pourront trouver le trésor et en sortir vivant.
Dans notre cas, nous ne sommes pas encore prêts, reculons en 30.

La prison en 52 : Un lieu clos où les hommes sont privés de liberté (pour une faute commise ou d’une manière arbitraire). Un châtiment humain (enfin presque) qui, malgré tout, ne peut nous priver de notre bien le plus précieux : la liberté de penser. C’est un moment perdu qu’il ne faut pas gâcher. Il faut en tirer le meilleur profit par la réflexion : faire un point et tirer les leçons du parcours effectué pour ne pas retomber dans nos précédentes erreurs.
Cela nous prendra bien deux tours.
Deux dés dessinés : un quatre et un cinq. Le joueur ayant obtenu ces nombres au 1er coup se positionne directement en 53. Comme pour la case 26, la partie serait terminée, sitôt commencée.

58 : la mort. Un état irrémédiable. Mais, malgré tout, la vie continue : De plus, le cadavre se décompose et par là même, donne la vie : à des vers, à des insectes ou à des végétaux.
Elle précède donc la renaissance. Ne sommes nous pas morts à la vie profane avant notre initiation ?
Un retour à la première case s’impose donc. Nous sommes et resterons apprentis.
A l’origine, sur cette case, était représenté un tombeau et non pas un cadavre, une manière plus symbolique de rappeler la mort.

La dernière case avant l'arrivée, avant la lumière, porte le N°62. Le point le plus près du but peut en devenir le plus éloigné. En effet, si le joueur tire un 6, il va directement au 58 : « La Mort » La mort le renvoie à la première case, en nous rappelant que les apparences sont parfois trompeuses. Comme dans un labyrinthe de verre, le fait de voir la sortie n’indique pas qu’elle se trouve à portée de main. Faisons un nouvel apprentissage qui ne peut qu’être bénéfique.

La 63ème case : le Château de l’Oie. On ne peut s’arrêter sur celle ci qu’avec le nombre exact de points indiqués par les dés. On ne peut pas dépasser le château. Avec un nombre supérieur, on recule d’autant de cases que de points en trop.
Les Châteaux sont généralement situés en hauteur ou au milieu d’une clairière. On trouve cela partout : dans la réalité, dans les contes ou légendes. Les châteaux sont des constructions solides, difficiles d’accès. Ce sont des refuges contre les envahisseurs. Nous avons tous entendu parler des châteaux Cathares au sommet des montagnes, des châteaux forts sur les collines, symbole de puissance militaire, pouvant résister aux offensives ennemies. Citons une autre forme de puissance châtelaine : Versailles, qui brille par son luxe, son raffinement, par sa lumière.

Mais les châteaux sont censés protéger la transcendance du spirituel, pouvoir mystérieux, insaisissable. Les pharaons se faisaient construire, dans, ou près des pyramides, un temple funéraire appelé : « Château de millions années ».
Quel bonheur d'arriver dans le château ! Un repos bien mérité nous attend, et en fouillant dans les recoins, nous découvrons un plateau de 64 cases et de 32 pions : UN ECHIQUIER :
La partie n’est donc pas finie ?

LE JEU DE L’OIE
Un jeu tout simple auquel on peut s’adonner dès l’âge de trois ans. Dissimule sous des desseins plutôt enfantins, se cache un parcours héroïque et initiatique, qui enseignait aux soldats Achéens l’opiniâtreté, la bravoure et la stratégie.
Il obtint un tel succès qu’il se répandit sur toute la terre : y compris dans les tombes de hauts dignitaires Egyptiens.
Tout au long de ce parcours en forme de spirale, nous avons suivi un chemin qui ressemble étrangement à celui que nous avons décidé de prendre, lors de notre entrée en F\M\. Nous avançons vers la lumière, mais involontairement. Au détour d’un chemin, nous nous en écartons, pour mieux réajuster notre cap.

L’homme a toujours crû à des forces supérieures. Beaucoup de ses faits, gestes ou actions ont été faites en ce sens, puis étudiées pour la pratique divinatoire. Les oracles, le jeu de Tarot, et le jeu de l’oie en sont quelques exemples.
Je terminerai cette planche par cette maxime : « L’homme sage apprend de ses erreurs, l’homme plus sage apprend des erreurs des autres. »

J\F\ V\


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