Le Hasard
Il n’y a pas de hasard !!!
Combien d’entre nous ont
répété et entendu cette phrase,
souvent plus par habitude que par réelle conviction
profonde, n’ayant pas ou peu, le loisir d’analyser
le problème en profondeur.
Le hasard serait donc une chose liée
à la chance ou à la providence, ou plus
simplement l’œuvre du Grand
Géomètre, celui qui régit le
déroulement des événements de tous
ordres, sans règles ni loi, et que nous devons subir en
restant impuissants. Tel est sa définition habituelle.
Nombre d’expressions y sont effectivement
rattachées : « je
l’ai rencontré par hasard »,« j’ai
fait cela par hasard » ou
« il n’y a pas de hasard »
pour rétablir la balance dans l’autre sens.
On pourrait croire facilement que le hasard
n’a sa place que dans la pensée ou il
n’y a pas de foi en quelque chose de supérieur,
Grand Architecte, maître du Grand Oeuvre, ou force
supérieure capable d’agir sur les choses ou les
événements.
J’ai cherché dans un grand nombre
d’événements ce que je pourrais, en
toute objectivité, attribuer au hasard et je n’ai
pas trouvé : Il existe toujours une explication, logique,
scientifique, issue d’une loi, d’une
règle ou d’une convention quelconque.
Et puis nous avons pour beaucoup la croyance en la règle, la
loi, le nombre ou tout simplement ce que nous appelons le destin,
conduit par un grand géomètre, qui
régit l’ensemble des
événements et des destinées humaines.
Le hasard est donc une notion qui s’oppose
directement à la notion de loi.
C’est cette valeur inconnue, qui va
générer un fait, sur lequel nous
n’aurons aucune influence.
Il n’y a donc pas de hasard et pour ceux qui peuvent lui
accorder crédit, il y a le hasard qui nous est favorable et
celui qui nous est défavorable.
Il existe d’ailleurs plus de mots pour
décrire celui qui nous est défavorable (guigne,
scoumoune pour les méditerranéens, malchance,
poisse…etc) que celui qui nous est favorable :
c’est la chance !
La chance, petite sœur du hasard, est pour
nous tous, le fait du hasard qui va nous être favorable.
Nous estimons donc implicitement que le hasard peut juger et choisir
celui ou celle envers lequel il va être bon.
Le hasard serait donc conduit par quelqu’un ou par lui
même, avec faculté de choix et de
décision.
N’est il pas plutôt une interprétation
de l’homme qui aime a laisser dans sa vie et ses
événement une part de non
compréhension, où s’engouffre les
croyances, les dons, le paranormal, le destin, la volonté et
même la foi en d’autres civilisations ou en
d’autres dimensions.
Ce besoin s’explique sans doute par
l’étroitesse de notre intelligence, qui ne nous
permettant pas de comprendre tous les mystères de notre
existence, préfère par orgueil les attribuer
à des notions incontrôlables et nous
dépassant largement.
Le hasard serait donc une invention de
l’homme, lui permettant de justifier son
incompétence intellectuelle face à la grandeur du
créateur et peut être en aurions nous la preuve ?
La loi, en opposition, répond par contre
à un critère purement mathématique,
qui va déterminer une règle et
l’appliquer d’une manière calculable et
là nous rejoindrons les valeurs de probabilités,
de statistiques et d’écart moyen, donc des valeurs
scientifiques.
Comment vivrait l’homme s’il ne
savait que demain il fera jour, et qu’il vivra encore.
En majorité l’homme en oublie même sa
mortalité, et si l’humanité vivait
quotidiennement en prenant en compte sa durée de vie moyenne
et la notion de passage temporel dans cette vie, il modifierait
considérablement ses projets et sa conduite envers les
autres, et sa philosophie générale de la vie.
Nous construisons tous aujourd’hui, avec plus
ou moins d’entêtement, nos prochains
siècles de vie illusoire.
Dites moi à quoi il sert de vouloir entasser plus
d’argent que plusieurs générations ne
pourront en dépenser, pendant que nos semblables meurent de
faim dans la maison voisine ?
A quoi cela sert il, de vouloir obtenir du pouvoir ou des
kilomètres carrés de miettes de notre
planète, pour en définitive ne vivre que quelques
pauvres 70 années et laisser à d’autres
le profit de nos combats ? Et puis…comment acceptons nous la
notion de propriété d’une miette
d’une planète que nous occupons d’une
manière très provisoire ? L’homme,
poussière du Cosmos, a quelquefois des comportements
bizarres !
La conception même de l’homme fait
que celui-ci ne se souvienne pas de sa naissance, de ses fortes peines
qu’avec une mémoire sélective, et,
même s’il connaît l’issue de sa
vie, il n’en prend conscience que lorsqu’il va
s’en approcher de façon plus précise,
en imaginant toujours au fond de lui-même que cette mort dont
on parle au quotidien, ne s’adresse pas à lui mais
aux autres, et que l’heure de son arrivée est bien
lointaine.
Bref nous nous berçons de l’illusion de
l’éternité terrestre.
Nous avons tous rencontré des hommes qui
commençaient à réfléchir
à leur spiritualité et à leur avenir
spirituel, qu’à l’âge
où l’orient éternel approchait
à grand pas.
L’homme qui croit ne peut laisser de chance au hasard, et ce
paradoxe est volontaire. L’homme a ses certitudes, et nous
sommes d’ailleurs rempli de certitudes, justes ou fausses. Il
semble que l’essentiel pour lui, soit d’en avoir.
L’homme juste est celui qui sait douter, se remettre en cause
et prendre en compte avec une grande humilité sa valeur de
petit homme, partie infime de l’univers et du cosmos.
Je ne peux vous parler de hasard sans évoquer
le nom de Pierre Simon Laplace qui a fait un grand travail sur le
hasard et les probabilités.
On pourrait croire que les deux termes sont frères, mais ils
sont en fait opposés puisque le hasard, dans la mesure
où on lui reconnaît le fait d’exister,
ne relève d’aucune loi, alors que les
probabilités relèvent entièrement de
lois mathématiques calculables et connues.
Ce nommé Laplace prétendait que les
probabilités ne jouaient aucun rôle dans
l’intelligibilité des
événements de la nature, si ce n’est
celui de maîtriser les erreurs de mesure.
Il prétendait que les lois de la nature sont absolument
déterministes et qu’elles ne se trompent jamais.
Selon cette théorie, la nature ne joue pas, ne choisit pas,
mais fixe la succession nécessaire des
événements aussi petits soient ils.
Au début du XX ème siècle, la science
qui avait longtemps suivi ce chemin déterministe est un peu
sortie de cette théorie pour laisser la place aux calculs et
aux probabilités.
Quelques exemples sont suffisants :
Le nombre de lettres mises au rebut pour cause de défaut
d’adresse est constant d’une année sur
l’autre, à Paris comme à Londres.
Le rapport des nombres de naissances masculines et féminines
est fixe. Ce n’est pas un fait du hasard, c’est un
fait mathématique, régit par la loi des grands
nombres.
De même qu’un jeu de pile ou face sur un petit
nombre n’est pas révélateur, mais sur
un grand nombre, leur rapport sera très proche de 1/2.
C’est la grande importance des statistiques,
qui permettent de savoir un mois avant des élections qui
sera élu et avec quel pourcentage, à
très peu d’écart prés du
résultat.
Le nombre régit donc une fois encore le monde et le hasard
est donc nombre.
Les choses de toute nature sont soumises à une loi
universelle qu’on peut appeler loi des grands nombres.
Elle consiste en l’observation d’un nombre
très considérable
d’événements d’une
même nature, dépendants de causes constantes et de
causes qui varient régulièrement tantôt
dans un sens, tantôt dans l’autre,
c’est-à-dire sans que leur variation soit
progressive dans un sens déterminé.
On trouve entre ces nombres des rapports a peu près constant.
Quand on effectue plusieurs mesures d’une
même quantité comme la position d’un
objet céleste chaque mesure est affectée
d’une erreur inévitable et inconnue.
La moyenne de ces mesures qu’on espère proche de
la vraie valeur cherchée varie malheureusement
d’une série de mesure à une autre.
Ces variations sont toutefois distribuées de part et
d’autre d’une valeur fixe, la vraie mesure de la
quantité suivant une courbe en cloche que Laplace nomme la
loi des erreurs.
Le hasard n’existe donc pas et
l’univers n’est jamais régit par un
quelconque phénomène de hasard, mais par des
règles et des lois établies par la nature et les
événements, même si nous n’en
comprenons qu’une faible partie.
Mais Dieu dans tout cela, que fait-Il ?
On entend souvent des gens remettre en cause leur foi en se posant
cette question, face à des événements
insoutenables dans l’histoire de
l’humanité.
La réponse se trouve peut être en nous, au sens
où nous avons une partie de libre choix dans
l’histoire de l’homme écrite par le
créateur.
Et si Dieu avait pris le soin de nous confier l’histoire de
notre création et de notre destinée, à
nous le rôle de la découvrir.
Encore faut il que nous ayons la volonté
d’effectuer cette découverte.
En septembre 1994, un homme, après plusieurs
années d’enquête et de travail
auprès de divers mathématicien, physicien et
hommes de science du monde entier, écrivait une lettre dont
voici le résumé à un ami du 1er
ministre israélien :
« un mathématicien
israélien a découvert un code secret dans la
bible qui semble révéler les détails
d’évènements qui se sont produits des
milliers d’années après que la bible
eut été écrite ; La raison pour
laquelle je vous en parle est que la seule fois ou le nom entier
d’YITHZAK RABIN est codé dans la bible, les mots
assassin et assassinera le barrent. Il faut en tenir compte car les
assassinats d’El Sadate, de John et Robert Kennedy sont
également codés dans la bible avec dans la cas
d’El Sadate avec le prénom, le nom de son
assassin, la date du meurtre, le lieu et la manière dont le
forfait a été commis ».
Fin de la citation.
Le 4 novembre 1995, Rabin était assassiné.
Ce fait troublant a permis à un certain
nombre de pays d’engager des recherches sur cette
théorie et grands nombres de gouvernement ont
aujourd’hui des unités de recherche sur le sujet.
Ce code sur lequel travaillait déjà Einstein et
Newton n’a pu être découvert
qu’avec la venue de l’informatique, sur la base de
la bible en Hébreu, dans laquelle chaque lettre (qui en
hébreu est aussi un nombre) a son importance puisque ce code
repose sur les variations mathématiques proches de la
cryptographie.
Est ce pour cela que le Talmud dit clairement que si une
copie de la Torah comporte ne fut ce qu’une seule lettre
erronée, elle ne peut être utilisée et
doit être enterrée.
Est ce également pour cela que le document original
d’Einstein sur la relativité contenant sa formule
E=mc2 est exposé au musée de Jérusalem
avec les plus anciens manuscrits de la mer morte: le texte original des
versets d’Isaïe.
Einstein écrivait d’ailleurs « la
distinction entre passé, présent et futur
n’est qu’une illusion, aussi tenace soit
elle ».
La Bible a d’ailleurs associé dans
un de ses codages le nom d’Einstein avec les mots
« cinquième dimension »,
là ou se trouverait la réponse qu’il
cherchait et les spécialistes actuels de la physique
quantique admettent aujourd’hui l’existence de
cette 5ème dimension qui serait plus petite que
l’atome mais contiendrait le tout.
Newton estimait quant à lui que la
découverte du code qu’il soupçonnait
était plus importante que ses travaux sur la
théorie de l’univers et ce fut son premier travail
; il apprit l’hébreu et passa
l’essentiel de sa vie à travailler sur la Bible.
C’est du moins ce que semble indiquer ses propres documents
de recherches datant de 1696.
L’informatique a donc permis de balayer les
304805 lettres de l’original de l’ancien testament
avec des formules mathématiques indéfinissables,
ne relevant pas à priori de l’aléatoire
mais de bases strictes encore inconnues pour la plupart.
En fait seuls quelques codes ont été
découverts, permettant de révéler
certains événements dont les clés de
décryptage pour certains, sont indiquées en clair
dans la bible.
Les événements prédits annoncent pour
la grande majorité plusieurs issus aux actes qui peuvent
être remis en cause par l’homme : une part du choix
nous est donc attribué.
Le code aurait tout prévu à l’avance et
en tous les temps, et les scientifiques ayant travaillé sur
ce code estiment qu’il aurait été
transcrit en un éclair, en une seule fois, donnant ainsi
à l’homme le savoir universel sous certaines
conditions d’avancement technologique.
Le mathématicien qui a
réalisé cet avancement du déchiffrage
du code de la bible estime aujourd’hui n’avoir
découvert qu’une infime partie du seulement 1er
niveau du codage, compte tenu de notre technologie.
La bible contiendrait d’après lui au moins 10
à 20 milliards d’équation possible,
soit la découverte d’environ 3 milliards de
combinaison en travaillant informatiquement nuit et jour pendant un
siècle, en quelque mot une masse considérable
d’informations incalculables et infinies, qui
évolueront en fonction de l’avancement de notre
science.
Aujourd’hui les plus grands des physiciens,
mathématiciens et spécialistes de tous les pays
travaillent à ce projet qui concerne
l’humanité et curieusement certaines dates et
événements du futur sont les mêmes que
ceux qui, selon certaines traductions, ont été
puisés dans les textes de Nostradamus dont les sources nous
ont toujours échappé.
Oserons donc encore parler de hasard après cela ?
Le nombre est le maître des choses et ce nombre est
créateur du tout.
Notre avancement dans la science a donc su nous
apprendre que le nombre régissait l’univers, tant
sur la terre que dans le cosmos.
Nous retrouvons là les éléments de
notre quête, et puisque le verbe est nombre, nous sommes donc
bien dans la recherche de la parole perdue.
Serait ce la parole de la Bible sur laquelle nous ouvrons et fermons
nos travaux ?
J’ai dit.
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