Les trois
coups distincts
à la porte
de la très ancienne Franc-maçonnerie ouverte à tous les
hommes, etc.
Comment
ouvrir la Loge pour commencer les travaux.
Le Maître au second Diacre :
- Quel est le premier soin d'un Maçon ?
Réponse : De vérifier si la Loge est couverte.
Maître : Veuillez faire votre devoir.
N.B\Le deuxième Diacre va donner trois coups à la porte et s'il n'y a
personne alentour, le Tuileur à l'extérieur répond par trois coups.
Le second Diacre dit au Maître :
" Vénérable Maître la Loge est couverte ".
Le Maître au second Diacre :
- Quelle est la place du second Diacre dans la Loge ?
Réponse du Diacre :
- Derrière le second Surveillant ou à droite, s'il le permet.
Maître :
-Votre office ?
Réponse du Diacre :
- De porter les messages du premier au second Surveillant, afin qu'ils
circulent dans la Loge.
Le Maître au premier Diacre :
- Quelle est la place du premier Diacre dans la Loge ?
Premier Diacre :
- Derrière le Maître ou à sa droite s'il le permet.
Maître :
- Votre devoir à cette place ?
Premier Diacre : Porter les messages du Maître au premier Surveillant.
Maître : Quelle est la place du second Surveillant dans la Loge ?
Diacre (l) : Au Sud.
Le Maître au second Surveillant : Votre devoir à cette place ?
Second Surveillant : Observer de mon mieux le Soleil à sa méridienne
(1), appeler les ouvriers du travail au repos et voir s'ils reviennent
à l'heure afin que le Maître puisse en avoir joie et profit.
Maître : Quelle est la place du premier Surveillant dans la Loge ?
Second Surveillant : A l'Ouest.
Maître au premier Surveillant : Votre devoir à cette place ?
Premier Surveillant : Comme le Soleil se couche à l'Ouest pour clore le
jour, le premier Surveillant se tient à l'Ouest pour fermer la Loge,
verser leurs salaires aux ouvriers et leur donner la permission de
quitter leur travail.
Maître : Quelle est la place du Maître dans la Loge ?
Premier Surveillant : A l'Est.
Maître : Son devoir à cette place ?
Premier Surveillant : Comme le Soleil se lève à l'Est pour ouvrir le
jour, le Maître se tient à l'Est pour ouvrir la Loge et mettre les
ouvriers au travail.
N.B. : Alors le Maître enlève son chapeau, qu'il porte toujours sauf à
ce moment. et le remet dès que la Loge est ouverte ; mais tous les
autres restent tête nue et il déclare la Loge ouverte comme suit :
Maître : Cette Loge est ouverte au nom de Dieu et de Saint-Jean (2) ;
sont interdits tous jurons, malédictions et murmures et tout discours
profane de quelque sorte que ce soit, sous les peines que la majorité
jugera bon, qui ne seront pas inférieures à un penny chaque fois, ni
supérieures à six pences.
N.B. : Alors il frappe trois coups sur la table avec un maillet de bois
et remet son chapeau. Tous s'assoient et on commence l'instruction
comme suit.
Instruction
des apprentis-reçus
Maître : Mon Frère, y a-t-il quelque chose entre vous et moi ?
Réponse : Oui, Vénérable.
Maître : Qu'est-ce donc mon Frère ?
Réponse : Un secret.
Maître : Quel est ce secret mon Frère ?
Réponse : La Maçonnerie.
Maître : Je présume donc que vous êtes Maçon ?
Réponse : Je suis reconnu et accepté comme tel par mes Frères et
Compagnons.
Maître : Quelle sorte d'homme un Maçon doit-il être, je vous prie ?
Réponse : Un homme né d'une femme libre.
Maître : Où fûtes-vous d'abord préparé pour être reçu Maçon ?
Réponse : Dans mon coeur.
Maître : Où fûtes-vous préparé ensuite ?
Réponse : Dans une chambre contiguë à la Loge.
Maître : Comment fûtes-vous préparé mon Frère ?
Réponse : Je n'étais ni nu ni vêtu, ni pieds nus ni chaussés, privé de
tous métaux, les yeux bandés, avec une corde au cou, je fus ainsi
conduit à la porte de la Loge dans une attitude de mouvement hésitant,
par la main d'un ami que plus tard je découvris être un Frère.
Maître : Comment connûtes-vous que vous étiez à la porte, puisque vous
aviez les yeux bandés ?
Réponse : En rencontrant un obstacle, puis une entrée ou un accès.
Maître : Comment fûtes-vous admis ?
Réponse : Par trois coups distincts.
Maître : Que vous dit-on alors ?
Réponse : Qui va là ?
Maître : Votre réponse mon Frère ?
Réponse : Quelqu'un qui demande à participer aux bienfaits de cette
très respectable Loge dédiée à Saint-Jean, comme nombre de Frères et
Compagnons l'on fait avant moi.
Maître : Comment espériez-vous l'obtenir ?
Réponse : En étant né libre et de bonne réputation.
Maître : Que vous dit-on alors ?
Réponse : D'entrer.
Maître : Comment entrâtes-vous et avec quoi ?
Réponse : Avec la pointe d'une épée, d'une lance ou tout autre arme
guerrière présentée à mon sein gauche dénudé.
Maître : Que vous dit-on alors ?
Réponse : On me demanda si je sentais quelque chose.
Maître : Quelle fut votre réponse ?
Réponse : Que je sentais, mais ne pouvais rien voir.
Maître : Vous m'avez dit comment on vous reçut. Veuillez me dire qui
vous reçut ?
Réponse : Le second Surveillant.
Maître : Comment disposa-t-il de vous ?
Réponse : Il me livra au Maître qui m'ordonna de me mettre à genoux
pour recevoir le bienfait d'une prière.
Mes Frères,
prions.
O Seigneur Dieu, Grand et Universel Maçon du Monde, et premier
constructeur de l'Homme comme s'il était un temple ; sois avec nous, O
Seigneur, comme tu as promis que quand deux ou trois seraient réunis en
ton Nom, tu serais au milieu d'eux ; sois avec nous, O Seigneur, et
bénis toutes nos entreprises et accorde à celui qui est notre ami, de
devenir un Frère fidèle. Fais que ta Grâce et ta Paix se propagent en
lui à travers la Connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ et
accorde-lui, O Seigneur, comme il mettra sa main sur ta Parole Sainte,
de ne plus la mettre dorénavant qu'au service d'un Frère, et non pour
le blesser lui ou sa famille ; Que par cela nous soit donnée la grande
et précieuse Promesse d'être admis à participer à ta Divine Nature, en
échappant à la corruption de ce monde de convoitise.
O Seigneur Dieu, ajoute à notre Foi la Vertu, à la Vertu la
Connaissance, à la Connaissance la Tempérance, à la Tempérance la
Prudence, à la Prudence la Patience, à la Patience la Piété, à la Piété
l'Amour Fraternel et à l'Amour Fraternel la Charité ; et permets, O
Seigneur, que la Maçonnerie soit bénie à travers le Monde, et que ta
Paix soit sur nous ; et accorde-nous d'être unis en notre Seigneur
Jésus-Christ qui vit et règne à tout jamais.
Amen.
Maître :
Que vous dit-on après que vous ayez reçu cette Prière ?
Réponse : On me demanda en qui je mettais ma confiance.
Maître : Votre réponse mon Frère ?
Réponse : En Dieu.
Maître : Que vous dit-on ensuite ?
Réponse : On me prit par la main droite et on me dit : " Levez-vous,
suivez votre guide et ne craignez nul danger ".
Maître : Après tout cela comment disposa-t-on de vous ?
Réponse : On me fit faire trois fois le tour de la Loge.
Maître : Où rencontrâtes-vous la première opposition ?
Réponse : Derrière le second Surveillant, au Sud, où je frappai les
mêmes trois coups qu'à la porte.
Maître : Quelle réponse vous fit-il ?
Réponse : Il dit : " qui va là ? ".
Maître : Quelle fut votre réponse ?
Réponse : La même qu'à la porte : " quelqu'un qui demande à participer
aux bienfaits de cette respectable Loge, etc."
Maître : Où rencontrâtes-vous la seconde opposition ?
Réponse : Derrière le premier Surveillant, à l'Ouest, où je fis de même
qu'à la porte. Il dit : " qui va là ? ". " Quelqu'un qui demande à
participer etc. ".
Maître : Où rencontrâtes-vous la troisième opposition ?
Réponse : Derrière le Maître, à l'Est, où je répétai comme précédemment.
Maître : Que fit de vous le Maître ?
Réponse : Il me fit conduire au premier Surveillant, à l'Ouest, pour
recevoir des instructions.
Maître : Quelles sont les instructions qu'il vous donna ?
Réponse : Il m'apprit à faire un pas sur le premier degré d'un carré
long (3), avec mon genou gauche dénudé, mon corps droit, la jambe
droite formant une équerre (4), ma main droite dénudée sur la Sainte
Bible, l'Equerre et le Compas, ma main gauche supportant le même (5).
Là je pris l'obligation solennelle des Maçons.
Maître : Mon Frère, pouvez-vous répéter cette obligation ?
Réponse : Je ferai de mon mieux avec votre aide, Vénérable.
Maître : Levez-vous et commencez.
Réponse : Moi, W-------V----------,
De ma libre volonté et de mon libre consentement, et en présence de
Dieu Tout-Puissant et de cette respectable Loge dédiée à Saint-Jean,
par ceci et sur ceci, je jure très solennellement et sincèrement, que
je garderai, cacherai et jamais ne révèlerai quoi que ce soit des
secrets Mystères de la Franc-maçonnerie qui vont m'être révélés
maintenant ou plus tard, sauf à un vrai et légitime Frère ou dans une
juste et régulière Loge de Frères et Compagnons, après que je l'aurai
ou les aurai trouvés tels par une épreuve exacte et un juste examen.
Je promets
en outre, de ne les imprimer, tailler, peindre ou colorier, marquer,
teindre ou graver, ou faire exécuter de ces différentes manières sur
quoi que ce soit de mobile ou immobile sous la voûte des cieux, par
quoi ils pourraient devenir lisibles ou intelligibles, ou tracer le
plus petit commencement de lettre par lequel l'art secret pourrait être
obtenu de façon illégitime. Tout cela, je jure avec une ferme et
constante résolution de l'accomplir sans aucune hésitation réserve ou
évasion mentale de quelque sorte que ce soit, sous une peine qui ne
serait pas moindre que d'avoir...
Ainsi, que Dieu me soit en aide et me garde constant en mon obligation
d'Apprenti reçu.
(il baise le Livre)
Funde Merum Genio
(Construis le vrai de toi-même) (N.d.T.).
N.B. :
Après cette obligation ils portent un toast au coeur qui garde et à la
langue qui jamais ne révèle.
Le Maître de sa chaire porte le toast et tous le répètent, puis passent
le verre en travers de leur gorge comme précédemment.
Maître : Mon Frère, après que vous eûtes prêté cette obligation, que
vous dit-on en premier lieu ?
Réponse : On me demanda ce que je désirais le plus.
Maître : Quelle fut votre réponse ?
Réponse : D'être conduit à la Lumière.
Maître : Qui vous conduisit à la Lumière ?
Réponse : Le Maître et tous les Frères.
Maître : Après qu'on vous eût ainsi conduit à la Lumière, quelle fut la
première chose que vous vîtes ?
Réponse : La Bible, l'Equerre et le Compas.
Maître : Que vous dit-on qu'ils signifiaient ?
Réponse : Trois grandes Lumières dans la Maçonnerie.
Maître : Expliquez-les moi, mon Frère.
Réponse : La Bible pour diriger et gouverner notre foi ; l'Equerre pour
mettre nos actions d'équerre (6) ; le Compas pour nous maintenir dans
de justes bornes envers tous les hommes, particulièrement envers un
Frère.
Maître : Quelles choses vous montra-t-on ensuite ?
Réponse : Trois bougies, dont on me dit qu'elles étaient trois petites
Lumières en Maçonnerie.
Maître : Que représentent-elles ?
Réponse : Le Soleil, la Lune et le Maître Maçon.
Maître : Pourquoi cela mon Frère ?
Réponse : Le Soleil est là pour gouverner le jour, la Lune la nuit, et
le Maître-maçon sa Loge, ou du moins devrait-il le faire.
Maître : Que fit-on de vous ensuite ?
Réponse : Le Maître me prit par la main droite, et me donna
l'attouchement et le mot d'Apprenti reçu, et dit : Levez-vous Frère B\
N.B. : Parfois ils vous montrent le signe avant de vous donner
l'attouchement et le mot qui est B. : c'est le mot d'Apprenti reçu, et
l'attouchement qui va avec est de presser de l'ongle de votre pouce
droit la première jointure de la main droite de votre Frère.
Maître : Avez-vous reçu cet attouchement et ce mot, mon Frère ?
Réponse : Oui, Vénérable.
Maître : Donnez-les à votre Frère le plus proche.
N.B. Alors il prend la main de son Frère le plus proche à qui il donne
l'attouchement et le mot comme décrit précédemment, et qui dit au
Vénérable " C'est juste ", d'après l'épreuve suivante :
Le 1er Frère donne l'attouchement à l'autre.
Le 2e Frère dit : " Qu'est cela ? ".
1er Frère : L'attouchement d'Apprenti reçu.
2e Frère : A-t-il un nom ?
ler Frère : Oui.
2e Frère : Voulez-vous me le donner ?
1er Frère : Je l'épellerai ou le dirai par moitiés avec vous.
2e Frère : Je le dirai par moitiés avec vous.
1er Frère : Commencez.
2e Frère : Non, vous commencez.
1er Frère : B\
2ème Frère :
1er Frère: B\
2ème Frère : Il est juste Vénérable Maître (7).
Maître : Que vous montra-t-on ensuite ?
Réponse : L'ordre ou signe d'Apprenti reçu.
N.B. : L'ordre ou signe (8), comme ils l'appellent, consiste à
; cela pour vous rappeler le châtiment de votre obligation
selon laquelle vous auriez la plutôt que de révéler les
secrets de la Maçonnerie. J'appelle cela un pur et simple non-sens et
toute cette lecture dira la même chose, alors qu'ils sont convaincus
que tout est là ; ce qu'on découvrira bientôt, rien qu'en parlant
d'après ce livre à quelques Maçons que l'on connaît comme tels, mais
sans leur faire savoir que vous l'avez lu : vous pouvez leur dire que
vous avez été reçu dans quelque Loge de province et leur montrer alors
les signes et attouchements et leur dire les mots qui vont avec. Tout
cela est entièrement décrit dans ce livre. Alors ils vous prendront
pour quelqu'un de la Fraternité et vous emmèneront dans leur Loge ainsi
qu'ils l'ont fait pour moi.
Maître : Avez-vous reçu l'ordre ou signe d'Apprenti reçu ?
N.B. : On tire sa main droite (comme dit ci-dessus) pour montrer au
Maître qu'on l'a reçu.
Maître : Après cela, que vous dit-on ?
Réponse : On ordonna que je sois reconduit et revêtu de ce dont j'avais
été dépouillé, puis que je sois ramené pour répondre aux remerciements
(9) et recevoir le bénéfice d'une conférence si l'heure le permettait.
Maître : Après que vous ayez été revêtu de ce dont vous aviez été
dépouillé, que vous fit-on ?
Réponse : Je fus ramené au coin Nord-Ouest de la Loge afin de répondre
aux remerciements.
Maître : Comment avez-vous répondu aux remerciements ?
Réponse : Je me tins debout dans le coin Nord-Ouest de la Loge et
suivant les instructions d'un Frère je dis : " Maître, premier et
second Surveillants, premier et second Diacres, et autres Frères de
cette Loge, je vous adresse mes remerciements (9) pour l'honneur que
vous m'avez fait en me faisant Maçon et en m'admettant comme membre de
cette honorable société ".
Maître : Que vous dit-on alors ?
Réponse : Le Maître me fit monter au coin Nord-Est de la Loge, soit à
sa droîte.
Maître : Vous fit-il présent de quelque chose ?
Réponse : Il me fit présent d'un tablier dont il me revêtit. Il me dit
que c'était l'insigne de l'innocence, plus ancien que la Toison d'Or ou
l'Aigle Romaine ; plus honorable que l'Etoile (10) et la Jarretière ou
que tout autre Ordre sous le Soleil, qui pourrait m'être conféré à cet
instant ou plus tard.
Maître : Quelles choses vous montra-t-on ensuite ?
Réponse : J'étais assis à main droite du Maître et il me montra les
outils de l'Apprenti reçu.
Maître : Quels sont-ils ?
Réponse : La jauge de 24 Pouces, l'équerre et le marteau ordinaire ou
maillet (I 1).
Maître : Quels sont leurs usages ?
Réponse : L'équerre pour mettre d'équerre mon travail, la jauge de 24
pouces pour le mesurer, le marteau ordinaire (12) pour en retirer
toutes les parties superflues, afin que l'équerre se pose facilement et
exactement.
Maître : Mon Frère, comme nous ne sommes pas tous des Maçons de métier,
nous les appliquons à nos mceurs, ce que nous appelons nous
spiritualiser. Expliquez-moi cela.
Réponse : La jauge de 24 pouces représente les 24 heures du jour.
Maître : Comment les passez-vous, mon Frère ?
Réponse : Six heures pour travailler, six heures pour servir Dieu, et
six pour servir un ami ou un Frère pour autant que cela soit en mon
pouvoir et sans que cela soit préjudiciable à moi-même ou à ma famille.
N.B. : C'est là toute l'instruction des Apprentis reçus qui donne la
description complète de leur réception et il suffit qu'un Apprenti la
retienne pour être admis en Loge ; mais il y a certaines raisons
ridicules pour lesquelles un homme devrait être traité comme on vient
de le voir, et je vais maintenant vous les dire. Il me semble avoir
entendu dire par certains : " je suis surpris que des
messieurs de bon sens et de raison veuillent souffrir qu'on les traitât
ainsi : être volés de tout leur argent et de toutes sortes de métaux,
et mis presque nus, aveuglés, avec une corde au cou ! " Je
dis comme eux. Mais la raison est qu'aucun homme n'a jamais été reçu
Maçon à moins d'avoir quelques amis qui l'étaient déjà, peut-être sous
quelque obligation, et qui diront : " Nous avons été traités
de la sorte et n'en avons point été effrayés, mais quand vous
apprendrez la raison de tout cela, vous serez convaincu et direz que
notre intention est bonne ". Moi-même j'en ai vu plusieurs
qui n'en seraient pas passés par là, jusqu'à ce que leurs amis leur
aient prêché la doctrine susdite. J'en connais plusieurs qui ont reçu
le premier degré (13) et ne voulaient pas aller plus loin ; ainsi un
certain Mr T-------s, un ecclésiastique, de Southwark, si mécontent et
surpris qu'il eût été heureux de s'évader de chez eux si cela avait été
en son pouvoir, mais ils ne le lui auraient pas permis avant qu'il ait
prêté l'obligation des Apprentis, ce qu'ils appellent la première
pilule, selon laquelle vous ne dévoilerez pas ce que vous avez vu. Mais
quand il fut parti, il ne revint jamais parmi eux et s'estima traité de
façon malhonnête. Deux ou trois autres furent surpris de cette façon
dans la même Loge, c'est-à-dire la numéro 2, tenue à T--------s , à
l'enseigne de La Mitre sur la Muraille à Christ-Church dans le Surrey,
de même que dans plusieurs autres Loges dont j'ai seulement entendu
parler, mais je sais que c'est un fait. Egalement, les Maîtres d'une
Loge qui avaient fait beaucoup de dupes en leur soutirant à chacun une
Livre et cinq Shillings : il y avait eu la moitié de l'argent de
dépensé et l'autre moitié de conservéedans la caisse pour des usages
charitables ; mais ils en eurent un montant élevé en Livres, le
Vénérable en chaire qui avait juré fort malicieusement de ne pas voler
la Loge, mais de la servir, le fit en emportant tout, disant qu'il
demandait la charité et que par conséquent il garderait tout, qu'ils
pouvaient toujours essayer [de l'en empêcher] et qu'ils aillent
audiable. Et bien d'autres encore dont j'ai su qu'ils se livraient à de
telles supercheries, mais je ne me soucie pas de donner leurs noms, en
ayant dit assez pour être compris. Je pense que celle dont j'ai donné
le numéro ci-dessus confirme leur caractère qui est qu'avant de servir
un Frère, ils le volent ou détruisent sa réputation, à la suite de quoi
il peut perdre son emploi. Je pourrais vous en dire long sur les
mauvais coups qu'ils se sont faits les uns les autres bien qu'ils aient
juré si rigoureusement le contraire ; mais j'augmenterai mon pamphlet
jusqu'aux dimensions d'un fort volume. Par conséquent, je vais en venir
aux raisons des Apprentis comme promis; mais il est une vilaine affaire
que je ne peux omettre, qu'un Frère fit à un autre.
Un Frère
dans la détresse, ayant quelques dettes, fut obligé de s'enfuir de chez
lui jusqu'à ce que ses affaires soient rétablies. Il emprunta à un
Frère treize ou quatorze shillings ; pas davantage, je l'affirme.
Celui-ci vint chez ce Frère qui était dans la misère et en son absence,
avec les officiers publics nécessaires pour saisir ses effets, ce qui
effraya grandement sa femme et ses enfants, car l'autre disait qu'il
voulait tout leur prendre. L'épouse du Frère absent dit : " quoi
pour quatorze shillings ? " et elle déclara que s'il
voulait bien attendre jusqu'au dimanche, son mari serait de retour au
foyer et qu'elle espérait qu'il rapporterait quelqu'argent avec lui ;
mais que si cela n'était pas, la dette serait payée le dimanche suivant
par un moyen ou un autre. Mais l'autre dit qu'il ne voulait pas
attendre ; elle lui demanda d'attendre, ne fût-ce que pour deux ou
trois jours, mais cela ne servit à rien ; il en prit pour la valeur de
trois Livres au lieu de quatorze shillings et emporta le tout. Voilà un
exemple de Maçonnerie ! Alors que le Monde la prend pour une chose
charitable et bonne.
Mais
remarquez quel scélérat parjure il devait être, ainsi que vous le
découvrirez en examinant toutes leurs obligations ou serments :
quatorze shillings ne pouvaient le léser lui ou sa famille, car il en
possédait des centaines !
Je n'en
dirai pas davantage, car je ne voudrais pas être trop sévère ; bien que
j'en aie dit assez pour démontrer leur scélératesse, ce qui, je
l'espère, servira d'avertissement à tout un chacun.
Maintenant
je vais continuer par les :
Raisons
de
l'Apprenti reçu
Maître :
Pourquoi étiez-vous ni nu ni vêtu, ni pied nu ni chaussé, avec une
corde au cou ?
Réponse : Parce que si je m'étais rétracté et si j'étais sorti en
courant dans la rue, les gens auraient dit que j'étais fou ; alors que
si un Frère m'avait vu, il m'aurait ramené et m'aurait fait justice par
ce moyen.
N.B. : Quelle raison ridicule est-ce là, dont des hommes d'entendement
discutent !
Maître : Pourquoi aviez-vous les yeux bandés ?
Réponse : Pour que mon coeur puisse cacher avant que mes yeux ne
découvrent.
Maître : La seconde raison mon Frère ?
Réponse : Comme j'étais dans les ténèbres à ce moment, je devais garder
le monde entier dans les ténèbres.
Maître : Pourquoi étiez-vous dépouillé de tous métaux ?
Réponse : Parce que je ne devais rien apporter d'offensif ou de
défensif en Loge.
Maître : Donnez-moi la seconde raison mon Frère.
Réponse : Comme j'étais pauvre et sans le sou quand je fus fait Maçon,
cela m'apprit que je devais assister tous les Frères pauvres et sans le
sou pour autant que cela soit en mon pouvoir.
Maître : Mon Frère, vous m'avez dit que vous aviez frappé trois coups
distincts à la porte. Que signifient-ils, je vous prie ?
Réponse : Un certain passage de l'Ecriture.
Maître : Quel est ce passage mon Frère ?
Réponse : Demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez,
frappez et l'on vous ouvrira.
Maître : Comment appliquez-vous ce texte en Maçonnerie ?
Réponse : Je cherchai dans mon esprit, je demandai à mes amis, je
frappai à la porte de la Maçonnerie qui s'ouvrit à moi.
Maître : Pourquoi aviez-vous une épée, une lance ou tout autre arme
guerrière, appuyée sur votre sein gauche dénudé ?
Réponse : Parce que le sein gauche étant le plus près du eeur, cela
pouvait être un aiguillon pour ma conscience comme c'était un aiguillon
pour ma chair à cet instant.
Maître : Pourquoi vous fit-on faire trois fois le tour de la Loge ?
Réponse : Pour que tous les Frères puissent voir que j'étais
régulièrement préparé.
Maître : Quand vous fûtes reçu Apprenti, pourquoi aviez-vous le genou
gauche dénudé ?
Réponse : Parce que le genou gauche est la partie la plus faible de mon
corps, et qu'un Apprenti reçu est la partie la plus faible de la
Maçonnerie, où j'entrais alors.
N.B. : Il existe quelques autres raisons, mais elles sont si ridicules
qu'elles ne valent pas la peine qu'on les mentionne ; aussi vais-je
continuer avec la configuration de la Loge, comme suit.
Maître : Mon Frère, nous avons longuement parlé de la Loge ; qu'est-ce
qui compose une Loge, je vous prie ?
Réponse : Un certain nombre de Maçons assemblés pour travailler.
Maître : Combien font une Loge, je vous prie ?
Réponse : Trois, cinq, sept ou onze.
Maître : Pourquoi trois font-ils une Loge, mon Frère ?
Réponse : Parce qu'il y eut trois grands Maçons employés à la
construction du Monde et aussi à ce noble ouvrage d'architecture qu'est
l'Homme ; ces oeuvres sont si achevées dans leurs proportions, que les
Anciens fondèrent leur architecture sur les mêmes règles.
Maître : La seconde raison mon Frère ?
Réponse : Il y eut trois grands Maçons employés à la construction du
Temple de Salomon.
Maître : Pourquoi cinq font-ils une Loge ?
Réponse : Parce que chaque homme est doué de cinq sens.
Maître : Quels sont les cinq sens ?
Réponse : L'ouïe, la vue, l'odorat, le goût et le toucher.
Maître : De quel usage ces cinq sens vous sont-ils dans la Maçonnerie ?
Réponse : Trois me sont d'un grand usage, ce sont l'ouïe, la vue et le
toucher.
Maître : De quel usage sont-ils mon Frère ?
Réponse : L'ouïe pour entendre le mot ; la vue pour voir le signe ; le
toucher pour sentir l'attouchement, afin que je puisse reconnaître un
Frère, aussi bien dans les ténèbres qu'à la lumière.
Maître : Pourquoi sept font-ils une Loge ?
Réponse : Parce qu'il y a sept sciences libérales.
Maître : Voulez-vous les nommer mon Frère ?
Réponse : La grammaire, la rhétorique, la logique, l'arithmétique, la
géométrie, la musique et l'astronomie.
Maître : Mon Frère, que vous enseignent ces sciences ?
Réponse : La grammaire nous enseigne l'art d'écrire et de parler la
langue, grâce à laquelle j'apprends l'harmonie selon les première,
deuxième et troisième.
Maître : Que vous enseigne la rhétorique ?
Réponse : L'art de parler et de discourir sur quelque sujet que ce soit.
Maître : Que vous enseigne la logique ?
Réponse : L'art de raisonner, par quoi vous pouvez distinguer le vrai
du faux.
Maître : Que vous enseigne l'arithmétique ?
Réponse : La vertu des nombres.
Maître : Que vous enseigne la géométrie ?
Réponse : L'art de mesurer, par lequel les Egyptiens retrouvaient
chacun leur terrain, ou la même quantité qu'ils avaient avant les
débordements du Nil, lequel submergeait fréquemment leur pays, temps
pendant lequel ils fuyaient dans les montagnes jusqu'à la décrue du
fleuve, ce qui faisait qu'ils avaient de continuelles disputes à propos
de leurs terrains, car chacun pensait qu'il était volé et ne retrouvait
pas tout son bien ; jusqu'à ce qu'Euclide inventât la géométrie,
mesurât à chacun son dû et donnât les plans de son terrain à chaque
individu avec la juste quantité appartenant à chacun ; alors ils furent
satisfaits et la même règle fut continuée dans toutes les nations
jusqu'à ce jour.
Maître : Que vous enseigne la musique mon Frère ?
Réponse : La vertu des sons.
Maître : Que vous enseigne l'astronomie ?
Réponse : La connaissance des corps célestes.
N.B. : Consultez les tables astronomiques de Brandt et vous aurez une
description complète de cette dernière science. Mais je crois que vous
pouvez vous contenter de n'importe quel autre auteur sur ce chapitre,
car je vais là-dessus aussi loin que n'importe quel Franc-Maçon dans
ses lectures, et même plus loin, ce qui fait que je me dois de faire en
sorte d'être clair, afin de pouvoir être compris par des gens de la
plus faible capacité. Ce qui ne fait pas partie de l'instruction est
marqué par : N.B.
Maître : Pourquoi onze devraient-ils faire une Loge, mon Frère ?
Réponse : Il y étaient onze Patriarches après que Joseph eût été vendu
en Egypte et qu'on l'ait cru perdu (14).
Maître : La seconde raison mon Frère ?
Réponse : Ils n'étaient plus que onze Apôtres après que Judas eût trahi
le Christ
Maître : Quelle forme à votre Loge ?
Réponse : Un carré long.
Maître : De quelle longueur, mon Frère ?
Réponse : De l'Est à l'Ouest.
Maître : De quelle largeur, mon Frère ?
Réponse : Entre le Nord et le Sud (15).
Maître : De quelle hauteur, mon Frère ?
Réponse : De la Terre aux Cieux.
Maître : De quelle profondeur, mon Frère ?
Réponse : De la surface de la Terre au centre.
Maître : Pourquoi dit-on que votre Loge va de la surface au centre de
la Terre ?
Réponse : Parce que la Maçonnerie est universelle.
Maître : Pourquoi votre Loge est-elle disposée d'Est en Ouest ?
Réponse : Parce que toutes les églises et chapelles le sont ou
devraient l'être.
Maître : Pourquoi cela, mon Frère ?
Réponse : Parce que l'Evangile fut prêché d'abord dans l'Est et
s'étendit de lui-même vers l'Ouest.
Maître : Qu'est-ce qui soutient votre Loge ?
Réponse : Trois grands piliers.
Maître : Quels sont leurs noms ?
Réponse : Sagesse, Force et Beauté.
Maître : Qui représente le pilier de la Sagesse ?
Réponse : Le Maître à l'Est.
Maître : Qui représente le pilier de la Force ?
Réponse : Le premier Surveillant à l'Ouest.
Maître : Qui représente le pilier de la Beauté ?
Réponse : Le second Surveillant au Sud.
Maître : Pourquoi le Maître représenterait-il le pilier de la Sagesse ?
Réponse : Parce qu'il donne les instructions aux ouvriers pour conduire
leur travail de manière appropriée, en bonne harmonie.
Maître : Pourquoi le premier Surveillant représenterait-il le pilier de
la Force ?
Réponse : Comme le Soleil se couche pour clore le jour, de même le
premier Surveillant se tient à l'Ouest pour payer aux ouvriers (16)
leurs gages, qui sont la force et le soutien de leur métier.
Maître : Pourquoi le second Surveillant représenterait-il le pilier de
la Beauté ?
Réponse : Parce qu'il se tient au Sud, à midi plein, qui est la beauté
du jour, pour appeler les hommes du travail au repos et pour voir s'il
reprennent à l'heure, afin que le Maître puisse en avoir joie et profit.
Maître : Pourquoi dit-on que votre Loge est soutenue par ces trois
grands piliers, Sagesse, Force et Beauté ?
Réponse : Parce que la Sagesse, la Force et la Beauté sont l'achèvement
de tous travaux, et rien ne peut durer sans elles.
Maître : Pourquoi, mon Frère ?
Réponse : Parce que la Sagesse est là pour inventer, la Force pour
soutenir et la Beauté pour orner.
Maître : Avez-vous quelque couverture à votre Loge ?
Réponse : Oui, une voûte nuageuse de diverses couleurs (17).
Maître : Comment soufflent les vents pour un Maçon, mon Frère (18) ?
Réponse : Régulièrement d'Est en Ouest.
Maître : Quelle heure est-il mon Frère ?
Réponse : Midi plein.
Maître : Appelez les hommes du travail au repos et voyez s'ils
reprennent à l'heure.
(Fin de l'instruction d'Apprenti reçu)
* Chant de l'Apprenti reçu, qui est chanté après qu'un travail sérieux
ait été fait ou après l'initiation d'un Frère (19).
I
o Venez,
préparons-nous
o Nous qui sommes Frères,
o Assemblés pour la meilleure cause ;
o Buvons, rions et chantons ;
o Notre vin a jailli
o A la santé d'un Maçon accepté.
II
Le Monde est
en peine
D'acquérir nos secrets
Et toujours les voudrait et les scrute ;
Ils ne pourront jamais deviner
Le mot ou le signe
D'un Maçon franc et accepté.
III
C'est ceci
et c'est cela,
Ils ne peuvent dire quoi,
Pourquoi tant de grands hommes de la Nation
Doivent porter des tabliers,
Pour ne plus faire qu'un
Avec un Maçon franc et accepté.
IV
Grands rois,
ducs et seigneurs,
Ont déposé leurs épées,
Pour embrasser nos mystères de bonne grâce,
Et jamais ne sont confus
De s'entendre appeler
Des Maçons francs et acceptés.
V
La fleur de
l'Antiquité
Est à nos côtés,
Qui avec équité met les hommes à leur rang :
Il n'est rien de bon
Qui ne soit compris
Par un Maçon franc et accepté.
VI
Nous sommes
fidèles et sincères,
Impartiaux envers le beau sexe,
Qui se fie à nous en toute occasion ;
Aucun mortel ne peut davantage
Adorer les dames,
Qu'un Maçon franc et accepté.
VII
Joignons-nous
main en main
Tenons-nous ferme ensemble (20)
Réjouissons-nous et montrons le meilleur visage :
Aucun mortel ne peut se vanter
De porter une si noble santé
Qu'un Maçon franc et accepté.
VIII
Nous sommes
fidèles et sincères,
Impartiaux envers le beau sexe,
Qui se fie à nous en toute occasion ;
Aucun mortel ne peut davantage
Adorer les dames,
Qu'un Maçon franc et accepté.
N.B. :
Quand ils chantent cette chanson, ils se tiennent autour d'une grande
table, et joignent leurs mains croisées, c'est-à-dire que votre main
droite passe par-dessus votre main gauche et tient la main gauche de
votre voisin de gauche ; tandis que votre voisin de gauche de sa main
droite tient de même la main gauche de son voisin de gauche, et ainsi
de suite tout autour de la table. Mais quand ils disent le dernier
vers, ils sautent tous ensemble pour frapper le sol ; j'ai été moi-même
à l'étage inférieur d'un endroit ou se tenait une Loge et j'ai entendu
les gens dire " Sangdieu ! ". Que faisaient-ils
? Ils allaient tout ébranler, et je ne restai pas davantage dans la
place. Ils appellent ça " l'enfoncement des pieux ",
pour amuser le monde ; mais ils ne s'amuseront plus quand chacun saura
ce qu'il en est et quelles explications ridicules ils donnent à la
chose.
Comment on
appelle les hommes du travail au repos :
Le Maître
murmure au premier Diacre qui est à sa droite : " C'est ma
volonté et mon plaisir que cette Loge soit rappelée du travail au repos
le temps qu'il me plaira ". Alors le premier Diacre
transmet cela au premier Surveillant en lui murmurant les mêmes paroles
à l'oreille et celui-ci les murmure à l'oreille du second Diacre qui
est à sa droite et qui les transmet au second Surveillant en murmurant
de même. Ce dernier dit à voix haute : " C'est la volonté et
le plaisir de notre Maître que cette Loge soit rappelée du travail au
repos, le temps qu'il lui plaira ". Alors, il
redresse sa colonne et le premier Surveillant couche la sienne (21), la
responsabilité de la Loge reposant entre les mains du second
Surveillant pendant qu'on est au repos.
N.B. : Les
premier et second Surveillants ont chacun une colonne d'environ vingt
pouces de long à la main, qui représentent les deux colonnes du Temple
de Salomon, BOAZ et JACHIN (I- Rois, chap. VII).
Celle du
premier est BOAZ, ou la Force.
Celle du second est JACHIN, ou " établir ".
Comment
rappeler les Frères au travail :
On fait de
même que pour appeler du travail au repos, à la seule différence que
l'on dit : " C'est la volonté et le plaisir de notre Maître
que cette Loge soit rappelée du repos au travail ". Alors
le second Surveillant couche sa colonne et le premier Surveillant
redresse la sienne ; puis ils continuent par une instruction qu'ils
appellent le travail (22).
N.B. : Si
l'heure ne permet pas que l'on fasse l'instruction de Compagnon, comme
cela arrive très rarement, alors ils ferment la Loge, ce qui se fait
pratiquement comme l'ouverture, à la seule différence que le premier
Surveillant dit :
" C'est
la volonté et le plaisir de notre Maître que cette Loge close jusqu'au
premier ou troisième Mercredi du mois prochain (ou selon les soirs où
leur Loge se tient), sauf en cas de tenue d'urgence qui vous serait
notifiée en temps utile ".
Alors, ils
enlèvent leurs bijoux et ils se saoulent comme des Francs-maçons ; ils
chantent et s'enivrent, c'est tout, etc.
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