GLFM | Bulletin : Bulim Misraïm | 01/2011 |
Le Mot du SGMF Notre
regretté F\
Voltaire ne disait-il pas : "quand il reste quelque chose à
faire, nous
n’avons encore rien fait "? Bien
sûr, il était
un peu excessif ! ... Notre
obédience
quant à elle, est réceptive à tout
rapprochement. Dans le mot universalisme, il
y a la racine "univers". N’est-ce pas un devoir pour chaque F\/S\
de travailler ? Oui,
de travailler
jour et nuit, afin d’améliorer les relations entre
tous les humains. Des
mots, des vœux
pieux tout cela ! Pas tant que cela. Déjà dans le
cadre de notre Hexagone, ne
serait–il pas souhaitable, ne sortirions-nous pas grandis, si
chacun de nous
avait pour but d’essayer au maximum, en tendant une main
franche sans arrière
pensée, à tous les franc- maçons ? Peut-être
serions-nous bénéficiaire ce qui à
coup sûr renforcerait notre unité ? Comment
peut-on
penser que des francs maçons qui ont subit la même
initiation, en jurant
Fidélité, en donnant leur Sang, puissent ignorer
leur primordial Engagement ? Sommes-nous
toujours
au moyen âge ? Il est vrai que l’on peut s'en poser
la question. A
l’ère où la
science a accompli des progrès sensationnels, force est de
constater que
certaines rivalités de religions, de races, de conditions
sociales sont
malheureusement toujours tenaces et vivantes. Loin
de moi d’être
un donneur de leçons, cela est trop facile... Mais au seuil
de cette nouvelle
année, faisons chacun de nous l’effort de
comprendre, ne serait-ce que notre
voisin. Quand
je vois ces
F\/S\, tous dévoués en participant
au succès, au rayonnement et à la
pérennité de notre obédience, je me
réjouis et je dis merci à tous les
Vénérables, à tous les Officiers et en
particulier aux Elémosinaires. Certes
ils ne font que leur devoir mais ils le font bien, avec joie. Par
exemple, ces
scribes qui prennent sur leur temps de loisirs pour faire un
compte-rendu sur
le déroulement exact des tenues. Au moment où
j’écris cet édito; je pense
à
notre F\ Benjamin qui passe parfois des nuits
entières pour vous présenter
votre Bulim. C’est
vrai que
parfois, il nous bouscule un peu tous, mais peut-on lui en vouloir ? Alors
ensemble en
ce début d’année prenons
l’engagement d’être solidaires, et
même si certains,
forts peu nombreux pensent qu’on les dérange !
Continuons notre chemin, celui que
nous nous sommes tracés : chemin de la tradition.
N’oubliez jamais que se
référer au passé dont nous somme
très fiers, c’est se projeter dans
l’avenir
nos ancêtres : les égyptiens nous regardent.
Essayons chaque jour, chaque
seconde, à tout instant, d’agir afin
qu’ils soient fiers de nous... Je
vous aime. J'ai
dit PAPOU
- Eternel
apprenti |
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