Que la paix règne parmi nous, car nous pouvons tourner le dos au mal et faire du bien le serai votre serviteur, tant qu'il y aura le moindre espace d'obscurite en nous, en nos membres et dans nos loges.
VM, un visionnaire, un vrai job ou un sacerdoce ? Comme on peut le lire, je pose le probleme comme un job, un travail, qui vous met en face d’objectifs et de résultats. Peut-on le devenir par hasard, ou est-ee que certains y sont prédisposés ? Un VM, est pour moi, celui qui au-delà de sa fonction, est avant tout élu par ses FF/SS, pour contribuer à la pérennisation de la grande oeuvre à jamais inachevée : rayonnement de la loge et des FF/SS, de l’obédience, du bien-être des FF/SS et maintien de tout un chacun dans l’exercice réel de la fratemité, par des actes qui permettent d’œuvrer pour le bien, la tolérance et la générosité.

Comme un bon berger, personne ne doit manquer à l’appel et tout le monde doit se sentir bien au travail sur le chantier. Ainsi, le VM doit avoir une vision un projet qui va au-delà de sa loge. Comme un chef de famille ou un chef de l'ordre, il a l’obligation d’être au courant de tout ce qui se passe dans la loge afin d’apporter sa contribution, trancher, orienter, arbitrer dans le cadre des valeurs qui nous sont propres, à savoir humilité, tolérance, fratémité. Chef de l'ordre, il lui est fait allégeance par chaque F/S de la loge et surtout par les deux autres lumières qui éclairent la loge avec lui, à savoir le 1^er S et le 2éme S. Les deux l’épaulent dans son sacerdoce, en lui suggérant idées, process, méthode, outils, supports à utiliser pour bien former et chérir les FF/SS de leurs colonnes, sans en perdre un seul en route. Ces suggestions et ces recommandations doivent être examinées par Amon-Ré, le VM qui donnera son quitus ou un avis afin que les deux Sur\ exercent leur travail en accord lui. Dans le même esprit, chaque Surv\ doit l’informer, le mettre en copie des échanges avec les FF/SS de leur colonne afin qu'il ne découvre rien par hasard, mais soit suffisamment en avance sur chaque difficulté, dont il peut ainsi participer a la résolution, avant l’irréparable. Il doit être informé des travaux donnés aux Appr\ et Comp\ afin de suivre leur travail. Il doit être informé des travaux donnés en loge pour les augmentations de salaire, afin de donner ses recommandations, en discuter avec le Surv.°. si nécessaire, être informé des travaux réalisés avant passage et lecture, afin de contribuer aussi à la touche finale. Tolérance, fraternité, humilité, construction, élévation doivent être le mot d'ordre des FF/SS Surv\. et non pas seulement élitisme et perfection, parce que nous sommes tous sur le chemin du perfectionnement. Chacun des autres FF/SS qui tiennent les plateaux doit travailler dans le cadre de la vision au VM, c’est à dire bien entraîné, bien rodé et pratiquant l’esprit de tolérance, d’humilité et de fraternité.

Chacun d'eux doit rendre des comptes aux VM, lui signaler toute anomalie ou suggérer toute bonne idée pour le rayonnement de la loge. Les FF/SS doivent travailler avec leur Surv\, sans perdre de vue que le juge suprême reste le VM, ce qui évite souvent que des conflits voient la
fuite de FF/SS sans que le VM n’en ait même pas été informé. Aucun F/ S ne doit manquer à l’appel et tout doit être déployé pour que cela n’arrive jamais, sauf cas extrême. Chaque F/S de la loge doit prendre Fengagement de présenter un profane dans l’année, signe de son bien-être
dans la loge et l’ebédience. Le nombre des visiteurs est aussi un signe de bien-être car ils ne viennent pas par hasard, et ne viennent que dans les loges où on se sent bien.
Le job d’un VM est bien simple ! contribuer de toutes ses forces à la poursuite de la grande œuvre jamais achevée, un vrai sucerdoce !
MTCF/$\, comme sfhabitude, voilà quelques pistes de réflexions pour rester sur la voie juste.
Continuous sans relâche I'œuvre inachevée avec Sagesse, Force, Beauté, Liberté, Fraternité, Égalité, Vie, Force, Santé, Vivat, Vivat, Vivat !
Maintenon:-nous sur la voie juste, la voie du milieu, la voie qui n s relie au divin par notre conscience.

J’ai dit

Benjamin John - Rédacteur en Chef