Rite : de Dubin |
Titres des Rituels disponibles dans L'edifice edition | |||
Code | Titre des Rituels disponibles pour ce Rite | Nb de pages | Date Publication |
R534-4 | RDD 1804 HG - Maître Secret | 12 | 10/01/2013 |
Un peu d'histoire |
Texte provenant du Site : http://sog2.free.fr/802 Sous la signature de DUBIN, nous disposons d'un Rituel portant la mention " Collationné Timbré par le Garde des Timbres et des Sceaux du GODF ".Le Frère Dubin ne laisse, dans les archives des nombreux Rituels de cette époque, que ce Rituel signé par lui. Extrait d'un Texte
provenant du Site : http://sarkokoko.over-blog.com
3.4 La
cérémonie de réception : Les
éléments
constants : Le MSse situe entre l’équerre et le
compas. L’Équerre, qu’elle soit
sous forme de signe ou de bijou porté par le
néophyte est présente dans tous
les rituels de réception. Les trois mots sacrés
sont annoncés ainsi que le mot
de passe. Le laurier, De 1764
à 1805
: il n’y a pas de cérémonie invitant
à une démarche initiatique, il n’y a
qu’une réception dans laquelle «
l’impétrant s’agenouille sur le genou
droit,
il a la tête inclinée comme si ses yeux
étaient éblouis par l’éclat
de la
grande lumière, il a la main droite qui forme
équerre sur le front ». Toutefois, dans le rituel
de BONSEIGNEUR, l’impétrant
est poussé par un glaive tenu de la main gauche, il voyage,
passe à coté du
tombeau de Maître HIRAM avant d’être
conduit face au trône de SALOMON. Les
rituels de 1764 à 1805, situent la Loge
comme étant une continuité de la Loge bleue au
grade de Maître mais il est
indiqué à l’impétrant
qu’un voile épais (1764, 1783) ou un mur
(1804-1805) le
sépare du Saint des Saints26 mais qu’il va pouvoir
contempler des trésors et
accéder au rang de Lévite parmi les
Lévites. Les rituels indiquent un « un grand mot
qui appartient au Maître
Secret », « le mot que Moïse grava lui
même sur une plaque triangulaire d'or en
caractères hébreux, Ce mot sacré et
mystérieux, dit le rituel, vous devez
attendre la volonté de Dieu de vous le révéler,
car il
fut interdit à Moïse même de le prononcer
et Silec, Aaron et Salomon n'eurent
ensuite que la possibilité de l'épeler uniquement
par des lettres, avec crainte
et respect.…». Les rituels de
FRANCKEN, de DUBIN, d’ABRAHAM font mention d’un
pilier de la Beauté que l’on ne
retrouve plus ensuite. Les rituels
indiquent « l’espérance pour le
néophyte de parvenir dans un lieu secret pour y
contempler le pilier de la Beauté ». 1950 : Marque
une rupture avec ce qui précède. La
cérémonie de réception invite
à la
réflexion et à la méditation. La
cérémonie qui comporte des voyages est
complétée par des sentences, ouvre à
la problématique de la « Parole Perdue »
et à la notion de Devoir. L’exposé de ces problématiques remplacent l’instruction faisant référence à la Bible, à l’Étoile flamboyante, au Cercle, au Triangle, au Tabernacle, à l’Arche d’Alliance, aux différents noms de la Divinité….L’impétrant est « séparé » du Saint des Saint « par une barrière qui pour l’instant est infranchissable ». Le silence et le secret sont matérialisés par l’apposition sur les lèvres du sceau de Salomon. En plus du flambeau, le récipiendaire porte une corde autour du cou. Ceux-ci sont retirés au moment de l’obligation. Cette corde n’apparaît plus dans la cérémonie actuelle. Le grand mot de Maître Secret disparaît, de même la notion d’espérance de …contempler le pilier de la Beauté. |
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