Obédience : NC | Bulletin de SUB ROSA : Une Parole Circule | 04/2011 |
L’Aigle et Janus C’est
en songeant à
cette chose étonnante qu’en héraldique,
science ou art traditionnel s’il en
est, l’aigle est, parfois, présenté
sous les traits d’une créature
bicéphale, à
l’instar du dieu romain que le titre
«L’Aigle et Janus» se justifie. Bien
évidemment, la présence de cette figure dans le
Rite Ecossais Ancien et
Accepté, donne envie de ce privilège
d’explorer des pistes et de voir si les
apparentes analogies et autres coïncidences entre
plusieurs éléments symboliques
pouvaient correspondre à une certaine
réalité. L’aigle
dans le
règne animal Avec
une envergure
de plus de 2 m et son vol majestueux, l’aigle royal (1) est
souvent qualifié de
«Roi des oiseaux». Ce
rapace est répandu
dans tout l’hémisphère nord, du Canada
à la majeure partie de l’Asie et
jusqu’au Japon, même si les persécutions
humaines l’ont chassé des grands
espaces cultivés dans lesquels il évoluait
à l’origine. Chassant
souvent
dans les versants des vallées, son nid est construit dans
les parois rocheuses;
il se nourrit, bien sûr, de proies vivantes: autres oiseaux,
petits mammifères,
quelques reptiles mais, également, de charogne, jouant ainsi
le rôle d’un agent
sanitaire. 1) Il forme un couple fidèle et conserve le même nid d’année en année; en cas de «veuvage», l’oiseau survivant reviendra à son nid avec un nouveau conjoint. 2) En règle générale, la femelle pond deux œufs et elle les couve pendant environ 40 jours. Ainsi,
dans la
nature déjà, nous voyons
qu’à l’origine de la vie de
l’aigle, nous trouvons
d’une part l’aspect binaire (deux œufs)
ainsi qu’une période de 40 jours, 40
étant traditionnellement un nombre en relation avec
l’attente, que ce soit lors
du déluge (40 jours et 40 nuits), de la traversée
des Hébreux dans le désert
(40 ans) ou des 40 jours de jeûne du Christ, dans le
désert également; enfin,
le Prophète Muhammad eût la
Révélation du Coran également
à l’âge de 40 ans. Devant
l’impression de force et de majesté
dégagées par ce bel animal, impression
qu’il partage certes avec le lion, il n’est
dès lors guère étonnant
qu’il ait été très
tôt, comme lui, présent dans de nombreuses
mythologies. L’aigle
dans les
mythes et quelques mythologies La présence de l’aigle dans les mythes semble pour le moins fort ancienne: présent en Asie centrale puis en Perse, en Inde, dans l’Orient méditerranéen et en Grèce, l’aigle est, si l’on se réfère à Louis Charbonneau-Lassay (2) l’emblème de Vishnou; on le trouve en Chaldée, chez les Hittites et, emprunté sans doute aux Babyloniens, en Syrie; dans ce dernier pays, l’aigle apparaît: «avec des significations telles que le Christianisme put en faire ensuite au Seigneur Jésus-Christ l’opportune transposition» (3). De
l’Orient à
l’Occident, l’aigle royal et l’aigle
impérial sont dominant dans les mythes et
légendes. Photo
© C. Couloumy.
Pour revenir aux Babyloniens et à leurs croyances, il est intéressant de relever le mythe du combat de l’aigle et du serpent, dans la mesure où ce mythe se retrouve également transposé au Mexique précolombien, l’aigle trônant sur un cactus et tenant dans son bec le serpent vaincu figurant d’ailleurs toujours sur l’actuel drapeau mexicain: cette similitude dans les figures du mythe demanderait sans doute à elle seule de nombreuses recherches complémentaires hors de propos ici, mais le fait méritait d’être mentionné. Illustration
symbolique reliant l’Orient et l’Occident.
L’aigle
se retrouve
bien sûr chez les Grecs (où il fut par exemple un
attribut de Zeus) et,
surtout, chez les Romains, dont il devint
l’emblème, que leurs légions
portaient sur leurs phalères.Epigramma. Mosaïque
représentant l’aigle combattant le
serpent. Grand Palais d’Istambul.
Photo © Euratlas. L’aigle
sera
également pris comme emblème par le
christianisme qui en fera un symbole du
triomphe du Christ, symbole du Seigneur et de la divinité du
Fils de Dieu (4);
ceci prit une importance encore plus grande après la
conversion de Constantin
et son édit (en 314) faisant du christianisme la religion
officielle de
l’Empire: le triomphe des aigles romaines devenant alors
pleinement le triomphe
du Christ sur ses ennemis. Néanmoins,
comme
bien souvent chaque symbole, l’aigle peut aussi
être pris comme la
représentation de l’Antéchrist, en tant
que bête de proie féroce: oiseau noble
et majestueux, mais également rapace destructeur, il a donc
toutes les «qualités»
pour représenter le «faux Christ»,
un L.
Charbonneau-Lassay
montre dans son ouvrage (5) un motif en terre cuite figurant un aigle
tenant dans
ses serres un poisson: l’on sait que, dans les premiers temps
du christianisme,
le poisson6 était employé comme signe de
reconnaissance par les chrétiens. Se
nourrissant
(aussi) de poissons, l’aigle devenait également
une illustration toute trouvée
de l’Antéchrist et, si une étude sur
cette représentation ne peut entrer dans
l’analyse évoquée ici, on ne peut tout
de même pas passer sous silence cette
tentation de l’inversion des valeurs en vous rappelant
l’usage au XXe siècle de
l’aigle dans la symbolique et
l’emblématique du IIIe Reich, qui montre que cet
«usage» «contraire» du symbole
n’est hélas pas si théorique que
ça ! L’Aigle
bicéphale En
héraldique, la
figure de l’aigle prend également une forme
particulière, parmi toutes les
figures animales, qu’elle s’inspire
d’ailleurs de la réalité ou
d’un bestiaire
«imaginaire», figurant sur
l’héraldique européenne,
l’aigle paraît être la
seule qui peut prendre la forme d’une créature
bicéphale: l’aigle à deux
têtes. Aigle
ou oiseau
bicéphale. Mosquée de Divrigi. Turquie. Photo
© Qantara. Et
Péloponèse, château de Mistra, Aigle bicéphale byzantin. Photo @ N.Tombazi Psychiko. Il
faut ajouter,
pour reprendre rapidement un élément
évoqué plus haut, que l’aigle
partage
certes avec le lion, autre figure fréquemment
utilisée en héraldique, surtout
en Europe occidentale, les aspects de majesté et de
puissance, mais la capacité
qu’à l’aigle de voler
(n’oublions pas qu’il reste un oiseau) lui
confère en un
certain sens une «puissance supérieure»,
car il domine les airs: cette capacité
à s’élever, à se mouvoir
dans «le Royaume des Cieux» n’est certes
pas la
moindre chose sur laquelle nous pouvons nous interroger ! Souvent,
depuis
Rome jusqu’aux Amériques, en passant par
l’Allemagne impériale
ou la
«Sainte Russie»; la figure de l’aigle a
orné les écus des Empires occidentaux;
c’est toutefois surtout à l’Est de
l’Europe – devrions-nous dire à
l’Orient ? –
qu’il a été utilisé sous la
forme bicéphale comme symbole
« impérial ». La
première idée
venant à l’esprit est, sans doute,
qu’une telle figure illustre les ambitions
de l’Empereur et sa prétention à
englober dans son Empire aussi bien l’Est que
l’Ouest et ce « aussi loin que peut porter le
regard
de l’aigle ». On
peut aussi
songer aux deux Empires romains, celui d’Orient et celui
d’Occident et voir,
dans cette particularité de l’Histoire,
l’origine de cette figure particulière
de l’aigle et, peut-être faudrait-il explorer cette
piste pour fonder une
explication sur l’emploi de cette figure
héraldique dans la partie «orientale»
de l’Europe; à noter également, pour
mémoire, une figure qui semble-t-il n’a
pas eu de suite, à savoir un aigle tricéphale
qui, selon certaines références
historiques, aurait été utilisé par
Frédéric II au XIIIe Siècle,
à l’époque où
il pensait adjoindre à l’empire le Royaume de
Jérusalem. Bicéphalie
dans les
mythes : La
figure de Janus Quittons
quelques
instants notre aigle pour nous pencher maintenant sur une autre figure
bicéphale bien connue, à savoir le dieu romain
Janus; Janus, le dieu aux deux
visages qui, comme l’aigle précédemment
cité, regardent à gauche et à droite,
le passé et l’avenir, l’Orient et
l’Occident. Janus le porteur de deux symboles: le sceptre, représentation du pouvoir temporel et la clé, image du pouvoir spirituel. Ou encore... Aigle
bicéphale
byzantin des Paléologues. Istanbul.
Photo © Pythacli. Bien que l’interprétation d’un regard différencié «passé – avenir» soit semble-t-il correcte, elle n’épuise pas pour autant le sujet: on notera ainsi que, sur la majeure partie des représentations, il n’y a apparemment pas de regard pour le présent: soit ce dernier est «embrassé» par un «troisième œil» (au sens où on l’entend dans des traditions orientales), soit il faut comprendre que le présent ne peut être ici qu’un «éternel présent», qui échappe à tout regard émanant du manifesté; on ajoutera que ce qu’embrasse Janus n’a, pour nous, pas de réalité tangible, puisque nous avons d’un côté ce qui n’est plus (le passé, qui n’existe pour nous que dans nos souvenirs, avec toutes les réserves qu’il semble utile de formuler à cet égard) et ce qui n’existe pas encore (l’avenir, que nous ne pouvons que conjecturer en fonction de notre propre perception, celle-ci d’ailleurs et non sans ironie, sans doute tributaire du passé dans une certaine mesure). Monnaie
1538. 1/2
Daldre. (Rodolphe II 1576-1612, Empereur Romain Germanique). Triangle
symbolique
et aigle bicéphale. Médaille de 1850. (Empereur
Nicolas Ier). pour
nous que dans
nos souvenirs, avec toutes les réserves qu’il
semble utile de formuler à cet
égard) et ce qui n’existe pas encore
(l’avenir, que nous ne pouvons que
conjecturer en fonction de notre propre perception, celle-ci
d’ailleurs et non
sans ironie, sans doute tributaire du passé dans une
certaine mesure). Il
apparaît, dans
cette perspective, intéressant de noter que des langues
comme l’hébreu ou
l’arabe ignorent la forme conjuguée
d’un verbe au présent: si, sauf erreur,
nous voulons dire en arabe que je suis ici, nous dirions simplement
«Jean-Philippe houna», ce que l’on
pourrait traduire littéralement par
«Jean-Philippe ici»; le «est»
étant omis, comme pour signifier que, quelque
part, le «vrai» présent ne peut
être que le présent éternel et
qu’il nous est,
en l’état du moins qui est le nôtre
actuellement, inaccessible. Janus
androgyne Les
deux Saint-Jean Existe-t-il
une
possible convergence entre l’aigle bicéphale et
Janus, en songeant en
particulier au «binôme» de nos deux
Saint-Jean, d’été et d’hiver ? Si
l’on se réfère à
René Guénon, citant par ailleurs
lui-même une étude de Louis
Charbonneau-Lassay, la figure bicéphale de Janus fut aussi
utilisée pour
représenter le Christ, figure androgyne portant le sceptre
et la clef et qui,
du fait du regard très particulier
évoqué plus haut, est ainsi un
«Seigneur de
l’Eternité», chacun de ses visages
pouvant par ailleurs se référer aux fameux
«
Ct» et «Ω» christiques. René
Guénon attire
en outre notre attention sur le fait que Janus figurait souvent
à Rome, avec
deux clefs: l’une d’or et l’autre
d’argent, attributs que l’on retrouve de
nos jours dans
les armes pontificales, l’or et l’argent
symbolisant respectivement les
pouvoirs sacerdotal et royal. Il met en rapport ces deux clefs avec les
«portes
solsticiales» (et l’on voit
déjà ici le rapport possibles avec nos deux
Saint-Jean), «Janua Coeli» et Janua
«Inferni». Janus,
«Maître du
Temps» grâce à son regard, est donc le
«Janitor» qui ouvre et ferme
respectivement ces deux portes. Enfin,
Janus était
également le dieu de l’initiation aux
mystères et si Cicéron, toujours cité
par
René Guénon, devait avoir raison en disant que
Janus tirait son nom de la même
racine que le verbe «aller», il y aurait de quoi
ici aussi s’intéresser à
l’idée d’aller, de «suivre une
voie» et de ce que ceci peut signifier dans le
cadre d’une démarche que l’on
qualifierai, à défaut d’un autre terme
que nous
définissons de «spirituelle»,
qu’elle soit de nature exotérique ou
ésotérique
par ailleurs et ceci dans toutes les traditions. De
Janus à Jean Par
delà une
relative homophonie entre «Janus» et
«Jean», il est intéressant de tirer un
parallèle entre les fonctions d’ouverture et de
fermeture; mieux,c’est la
tentation de voir là une transposition, illustrant non
seulement la «permanence
du sacré» mais également une
manière d’assurer ce que nous appelons une
«iso
-fonctionnalité» d’une tradition (la
romaine) dans l’autre (la chrétienne). L’aigle
de Napoléon
1er, emblème impérial. Nous,
qui fêtons
traditionnellement les deux Saint-Jean, ne serons pas
étonnés de voir qu’aux
deux visages de Janus semblent correspondre les deux Saints Jean, qui
sont
Saint Jean-Baptiste et Saint Jean
l’Évangéliste et, sans rentrer dans
trop de
détails, il semble important de souligner que, de par leurs
vies ainsi que par
leurs œuvres respectives, ces deux saints sont, comme Janus
évoqué plus haut,
un commencement et une fin: – Un commencement, car Saint Jean
Baptiste est
celui qui prophétise la venue de Jésus-Christ et
qui, même, baptisa ce dernier
en le plongeant dans le Jourdain. – Une fin, car Saint Jean
l’Évangéliste est
celui dont l’ œuvre sans doute la plus connue,
l’Apocalypse – ou
«Révélation» –
clôt l’ensemble des Écritures Saintes
chrétiennes (i.e. novo testamentaires),
dont elle constitue assurément l’un des textes les
plus ésotériques, au point
qu’elle mériterait à coup sûr
des développements spécifiques lors des travaux
de SUB ROSA et avec l’appuis de ses Correspondant(e)s. Par
l’une de ces
apparentes coïncidences qui ne nous étonnent plus
guère, ces deux fêtes de
Saint Jean sont étroitement liées aux deux
solstices, celui d’été et celui
d’hiver, ces solstices dont Janus ouvrait, justement, les
portes. Du point de vue strictement astronomique, le solstice correspond aux deux périodes de l’année où le Soleil, élément lumineux s’il en est, se trouve à ses positions les plus méridionale, respectivement septentrionale par rapport au plan de l’équateur. Il résulte de ceci qu’au solstice d’été correspond le jour le plus long de l’année tandis qu’au solstice d’hiver correspond la nuit la plus longue: du point de vue de la lumière, ceci signifie donc les deux extrêmes entre la lumière et les ténèbres avec, entre ces dates, toute une «lutte», toute une dialectique qui résonne dans le cycle cosmique. Armoirie
de François
II de Habsbourg-Lorraine (1768-1835).
Illustration © heraldique-europeenne. Les
armoiries de la
Russie. Il
suffit, si l’on
songe au solstice, de mentionner les célèbres
«Feux de la Saint- Jean», pour
constater le rapport étroit que peut avoir cette
fête avec la Lumière, que
celle-ci soit d’ailleurs présente, manifeste ou
absente; l’étymologie même du
mot solstice nous y invite puisque nous y retrouvons
«sol», le soleil. D’ailleurs,
si l’on projette un regard sur cette «marche des
saisons», on ne peut que
constater que l’hiver «va vers
l’été», tout comme
l’été «va vers
l’hiver» et la
«belle saison», où le soleil fait
resplendir les épis d’or, n’est en
quelque
sorte qu’une matérialisation d’un soleil
contenu, comme une promesse, «en
puissance» dans les longs mois d’hiver: la
lumière jaillit donc des ténèbres7
et sa non visibilité ne signifie donc plus
forcément absence, mais une présence
autre, invisible, s’inscrivant elle aussi, dans le cycle de
l’Eternel retour. Il était dès lors tentant d’associer l’aigle bicéphale à nos deux Saints Jean, le Baptiste et l’Evangéliste – surnommé l’Aigle de Patmos comme le savent tous ceux qui ont lu le Trésor de Rackham le Rouge ! –, dans la mesure où, pris dans un ensemble – l’hypothèse d’un même corps ? – il y a une grande analogie de fonction: dès lors, comme Janus, l’aigle prend lui aussi, de par son aspect bicéphale, la possibilité d’un regard différencié, du passé vers l’avenir et réciproquement sans doute. Aigle
bicéphale
symbole du REAA.
Illustration © GLNF. Passé
et avenir
réunis, dans le regard de l’Aigle, dans un
éternel présent: nous avons pu
rapidement évoquer ces quelques pistes rejoignant le
symbolisme du bicéphale et
pour conclure cette introduction que le chemin à lui seul
est, de par
l’occasion de le parcourir, un «salaire»
bien suffisant, malgré tout, au terme
de ces quelques lignes, sachant que l’Aigle
bicéphale est également sollicité
dans le Rite Ecossais Ancien et Accepté, notamment sous la
forme des bijoux
émaillés ornant certains
décors. Ceci n’est assurément pas un
hasard, néanmoins,
sans entrer maintenant dans les détails, nous ne pouvons
conclure ces quelques
lignes qu’en précisant que qui, mieux que
«notre» aigle bicéphale, dont le
regard embrasse à la fois «le
passé» et
«l’avenir», l’Orient et
l’Occident,
pourrait être à même de contempler la
réalité dans toute sa complexité et,
ainsi, de rassembler ce qui est épars ? 1 Aquila chrysaetos. 2 In «Le Bestiaire du Christ», chap. 8. 3 LCL, op. cit. p 72. 4 LCL, op. cit. p 74. 5 LCL, op. cit. p. 86. 6 En grec, Ichtios; souvent présenté comme étant les initiales de Iesus Christos Theos Uios Sôter: Jésus Christ, Fils de Dieu, Sauveur. 7Ici le Post tenebras lux, devise par ailleurs de la République & Canton de Genève, Suisse ! Bibliographie : • GAFFIOT Félix, «Dictionnaire Latin- Français», Hachette, Paris, 2001, 820 p, ISBN 2011679400. • GUÉNON René, «Symboles de la Science sacrée», NRF-Gallimard, Coll «Tradition», Paris, 1962, 437 p, ISBN 2-07-029752-7. • SCHAUENBERG Paul (sous la direction de), «Le Royaume des Animaux», Genève, 1972, Edito-Service, Vol 1, 210 p, «Aigle royal». • LIGOU Daniel (sous la direction de) «Dictionnaire de la Franc-maçonnerie», Paris, PUF, 1987,1360 pages, ISBN 2-13-0418639-8 • CHARBONNEAU-LASSAY Louis «Le Bestiaire du Christ», Milan, Archè. Publié
dans le Bulletin de SUB ROSA : Une Parole Circule - Bulletin N°
7 - Avril 2011
-
Abonnez-vous
|
S007-1 | L'EDIFICE - contact@ledifice.net | \ |