Infos et Conseils pour le Corona Virus |
2019-nCov |
Epidémie
de la maladie à virus Corona Les virus sont des ensembles de
molécules ayant la capacité de
se reproduire au sein des cellules de l’hôte parasité. L’existence des virus a été
évoquée à la fin du XIXème
siècle devant l’existence d’agents infectieux qui pouvaient ne pas être
détectés par les processus habituels de filtration. Citons les travaux
de
Pasteur sur le virus de la rage, de Dimitri Ivanovski et de Walter Reed
et
James Caroll sur le virus de la Fièvre jaune. « C’est en 1953 que
André LWOFF a énoncé les trois
caractères fondamentaux faisant des virus des entités
originales : Les virus sont capables de
parasiter les cellules de tous
les êtres vivants (animaux, végétaux, champignons, algues et aussi les
bactéries. La plupart des virus n’ont que des effets limités sur les
êtres
vivants qu’ils parasitent. Certains virus par contre ont
un caractère pathogène (capable
de déclencher une maladie) plus ou moins prononcé. A titre d’exemple, la plupart
des rhumes sont dus à une
infection virale et sont bénins, c’est-à-dire que le sujet infecté va
se guérir
lui-même grâce aux mécanismes de notre système immunitaire ;
le SIDA par
contre est une maladie grave qui était souvent mortelle avant la
découverte des
médicaments anti-SIDA. L’infection virale qui a débuté
en décembre 2019 en Chine,
dans la région de Wu-Han est due à un virus de la catégorie des
corona-virus.
Les coronavirus constituent une vaste famille de virus pouvant
provoquer des
maladies diverses, allant du rhume banal au syndrome respiratoire aigu
sévère
(SRAS). Le virus en cause en Chine a
été baptisé
« 2019-nCoV » a la particularité de provoquer des
pneumonies
(infections pulmonaires) avec de la fièvre, un essoufflement.
L’incubation
(c’est-à-dire le délai entre la contamination et l’apparition de la
maladie)
est généralement de 7 jours mais peut aller jusqu’à 14 jours. Il semble
que la
gravité et le risque de décès soit lié à l’existence de comorbidités
(c’est-à-dire l’existence d’autres maladies, en particulier
respiratoires,
présentes antérieurement chez le sujet contaminé) et au grand âge de la
personne atteinte. Les formes graves de la maladie
peuvent entraîner une
insuffisance respiratoire nécessitant une ventilation mécanique et une
prise en
charge dans des services de soins intensifs. Il semble que l’origine de la
transmission soit animale (en
particulier les chauve-souris) mais le virus peut ensuite se
transmettre sur le
mode inter-humain par l’intermédiaire essentiellement des virus
contenus dans
les secrétions bronchiques qui peuvent se retrouver dans la salive, le
mucus
projeté par la toux et le postillonnement. Selon l’OMS à ce jour
(30/01/2020) il y aurait près de 8000
cas contaminés ayant provoqué près de 170 décès. Soit 1 décès pour 47
cas d’affection ;
il semble que le chiffre de 8000 contaminés soit sous-évalué car de
nombreux
cas bénins ont pu passer inaperçus. A ce jour (30 janvier 2020) il
ne semble pas qu’il y ait un test
biologique diagnostique
spécifique du
coronavirus 2019-nCoV. Les grands instituts de recherche (comme
l’institut
Pasteur) sont en
phase de travaux pour
élaborer ce test. Le diagnostic se fait donc aujourd’hui sur la
clinique et
l’amnanèse (c’est à dire la connaissance des circonstances d’apparition
des
symptômes). Les
traitements utilisés sont essentiellement symptomatiques, en
particulier pour les cas très graves l’utilisation d’une assistance
respiratoire. Du
fait de la rapidité de la transmission de ce nouveau virus et de la
gravité possible des symptômes la question se pose de savoir comment se
protéger efficacement. Dans
le cas général des habitants de la France : - Pour une personne en bon état de santé, vivant en France sans avoir voyagé depuis 3 mois, on peut raisonnablement dire que le risque de contamination supposant la rencontre aléatoire d’une personne malade ayant séjourné dans la région de Wu-Han, est extraordinairement faible ; en conséquence aucune mesure de protection particulière ne semble indiquée en dehors des principes classiques de bonne santé (voir plus bas). - Pour une personne âgée, ou pour une personne atteinte de maladie chronique avec baisse des résistances immunitaires, on pourrait conseiller d’éviter au maximum les lieux publics et en particulier le milieu hospitalier. Dans le cas des francs-maçon-ne-s fréquentant les loges maçonniques - Pour le cas général où aucun membre de la loge n’a été en contact avec un-e patient-e atteint-e de ce virus 2019-nCov et ne présente aucun signe respiratoire, aucune protection particulière ne semble s’imposer en dehors des principes d’hygiène (voir ci-dessous). - Pour un frère ou une soeur âgée présentant une pathologie respiratoire chronique, ou une maladie chronique avec baisse des défenses immunitaires, la prudence serait de déconseiller la fréquentation de la loge pendant la période d’extension de la maladie. Principes d’hygiène élémentaires : - lavage des mains après toute situation nouvelle ou toute manipulation d’objets souillés, - Eviter de postilloner - En cas de rhume banal, o lavage de nez avec serum physiologique, o mouchage avec mouchoirs à usage unique, o port de bavette Conseils pour renforcer les défenses immunitaires par des méthodes naturelles : - Avec l’homéopathie : o thymuline 9 CH : 1 dose par semaine, par exemple le dimanche matin o Eupatorium perfiolatum 9CH : 1 dose par semaine, par exemple le mercredi matin - Avec les oligo-éléments : Cu Au Ag oligosol : 1 prise le matin pendant les mois d’hiver - Avec l’aromathérapie : Huile essentielle de pépins de pamplemousse : 5 gouttes dans un peu d’eau au coucher. Publié suite à l'aimable proposition de notre F\ le Dr Alain Bréant |
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